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mardi 18 août 2015

Pour les métis pour les Arabes et les Noirs de France, pour tous les non-Blancs de France


Parlez de la France les mecs. Soyez plus Français que les Français. Soyez les combleurs de vide, soyez la nature qui construit, pas celle qui détruit... Les Français merdifiés doublez les sur leur droite et non sur leur gauche, les Edwy Plenel les Francis Lalanne Gérard Miller Olivier Besancenot Caroline Fourest Laurent Ruquier, Anaïs...
A Hong Kong je sortais avec des chinoises. Y en a certaines qui me disaient qu’elles n’aimaient pas les Chinois. Moi ça me foutait dans une colère noire d’entendre ça, je leur rentrais dans le lard « t’écoutes ce que tu dis bouffonne ? Tes frères ils se cassent le cul à bosser comme des chiens ils encaissent mille merdes, tes grand-pères tes grands-mères ils charbonnent comme des enculés et toi tout ce que tu trouves à dire c’est que gnagnagna les Chinois... Tu veux du fun bouffonne va à Disneyland »
La façon dont tu traites la Native est l’expression même de ta loyauté. Si tu veux être traité en frère, en prochain par les natifs, alors traite la native en sœur, avec un grand respect avec une humilité avec une admiration. Voilà.
Ceci est un plaidoyer pour l’émergence d’une classe de « hussards métis » des non-Blancs, des Céfrans pas purement de souche qui ont un amour profond, désinterressé, pour la France.
Les « divers » ? J’ai grandi avec les black-blanc-beurs. J’ai compris très tôt que ce sont eux qui détiennent la véritable matrice de la France, son enracinnement dans la vitalité pour les quarante cinquante prochaines années au moins. Je me suis reconnu comme un des leurs.
Là ou ça a bloqué c’est vers 2000, lorsque suite à plusieurs discussions, constats, recoupement d’évènements et d’informations, de rencontres et de relations j’ai compris qu’il y avait une fibre, une profession de foi qui se résumait ainsi : « Les céfrans, qu’ils veuillent ou non faire la paix avec nous de toute façon on débarque ici on va et on vient on engrange la thune et on baise leurs femmes qui sont trop belles trop salopes et trop gratifiantes ». Là ça a bloqué complètement. J’ai pris en pleine gueule cet espèce de fascisme objectif, ce fascisme « tout confort » qui est bercé par une vague favorable, un évident mouvement très profond et très puissant, une tectonique des peuples.
Mais au lieu cette tectonique, de l’aborder en humain en hommes qui reviennent de loin, en ex-miséreux qui surpassent leur misère pour s’élever spirituellement, j’ai vu des myriades des armées des légions de lâches tous d’accord entre eux, absolument solidaires racialement, sur la seule base raciale et religieuse, destructeurs tranquilles, déployés, impunis, et même... favorisés ! Voilà exactement ce que j’ai vu.
Je ne suis pas dans mon coin moi, à me monter le bourrichon comme un fasciste de bistrot. J’ai cotoyé, j’ai experimenté j’ai VU tout ça. Je le répète pour ceux qui ne me connaissent pas : Je suis un bâtard Céfran moitié kabyle élevé entre hauts et bas, parents divorcés, dans l’âge adulte abandonné. J’ai appris à connaître le monde en l’observant par deux lucarnes très éloignées l’une de l’autre : les rues de Grenoble lors d’interminables nuits blanches avec mes amis désargentés, et ma famille bourgeoise érudite qui habite à Paris VII, Paris XVI, Neuilly Boulogne et Versailles à qui j’allais parfois rendre visite. Je suis le bâtard.
Voilà j’ai ici analysé mon point de vue. Mon point de vue confère forcément une subjectivité à tout ce que je vais dire et ai déjà dit. Cependant c’est je le crois une subjectivité peu commune c’est pourquoi avec beaucoup de prétention je crois avoir des choses intéressantes à dire, en effet la plupart des « métis » sont de père étranger et de mère native : leur point de vue est automatiquement diamétralement opposé au mien. Ils pensent qu’ils sont le carrefour du monde, « l’objectivité parfaite » de par leur filiation, mais en réalité ils sont l’écume affleurant au sommet de la grande vague, le grand mascaré du torrent de l’histoire. Ils sont la masse. Et la masse exprime une subjectivité massifiée qui n’est pas l’objectivité. Je viens moi équilibrer la balance.
Il n’y a nulle gloire à tirer des mises à l’amende de Céfrans. Nulle gloire aux pogroms aux lynchages, aux bolossages aux dépouillages. Nulle gloire non plus au pourrissement de la chatte des filles blanches. Nulle gloire à ces razzias-là pourquoi ? parce que 90% de ces victimes sont DEMANDEUSES de ce traitement, perclues qu’elles sont de culpabilité de dévitalisation de questionnements stériles d’inexplicable diffus mais constant malaise dans leur chair dans leur race dans leur identité, ils et elles sont les statues ossifiées d’un monde ancien, les guerriers de carton-pâte renversables d’une pichenette, désarmés déracinnés désamiantés... Ce n’est pas de votre niveau. Si vous êtes des « bonhommes » battez vous comme des bonhommes. Montez des sociétés. Reprenez des exploitations agricoles. Charbonnez mieux qu’eux, montrez qui vous êtes, là d’accord vous les aurez niqués. Vous aurez été plus forts, plus valeureux. De la Beauce au Limousin ça fermera sa gueule. Comme des Jedi vous « rétablirez l’équilibre dans la Force » et l’on connaîtra la douceur de vivre, celle d’avant la catastrophe. « Qui n’a pas connu la France d’avant 1789 n’a pas connu la douceur de vivre» a dit Talleyrand, un politicien de l’ombre fin connaisseur de son pays déchiré. Vous n’avez pas idée combien la France peut être le pays de la douceur de vivre. C’est un pays à part. Il convient pour en découvrir les trésors, de l’aimer avec patience et constance, fidèlement, filialement, par-dessus tous les bavardages de l’actualité. En-dessous de Dieu seul. Ce pays est une bénédiction. Il vous offre une vie prospère dans laquelle tous vos besoins primaires sont comblés. Vous ne pouvez ici ni mourir de faim ni de froid ni de soif. Cela, c’est une bénédiction. Les paysages y sont superbes, le climat y est clément. Cela ce sont des bénédictions. Le style, cette expression du génie propre à la race qui vous a précédée est un style d’un raffinement extrême que vous pouvez trouver sous la forme de l’architecture, de la peinture, musique, littérature, danse. Vous pouvez vous servir de cette base là. Cela c’est une bénédiction. Enfin la technologie, cette création ex-nihilo sortie des cerveaux d’acharnés trouvailleurs de laboratoires est en France à un niveau très élevé, qui garantit ainsi un proportionnel confort de vie. Vous avez ainsi de nombreux soucis qui vous sont ôtés. Cela encore c’est une bénédiction.
Ces bénédictions sont propres à la France. Elles y sont « nées » et de là elles ont rayonné dans le monde. C’est la France qui porte grâce à ses habitants, et notamment ses habitants de souche, ses français de longue filiation, un génie spécifique et incomparable. Ce que nous disons ici c’est que tout ne se vaut pas. Libre à vous de l’accepter, de quitter une partie de vos anciens vêtements pour porter ceux, fleur-de-lysés et bleu-blanc-rouge de la France qui vous ouvre les bras. Vous êtes libre de faire ce choix. Car vous êtes libre aussi de hausser les épaules, de prendre la voix de basse, de commencer à réclamer, de commencer à « aimer la France mais... », vous êtes libres de tout cela. Sachez une chose : la très grande majorité des Français de souche NE VOUS ENCOURAGERA PAS à aimer la France. Ils vous diront eux même que c’est une affaire dépassée, que c’est pour les naïfs que c’est rétrograde. Ils viendront vers vous et vous les verrez Français de souche, garde personnelle de la patrie dans une totale fumisterie « La France ? J’m’en fous mec ! ». C’est comme ça : la très grande majorité des Français de souche détestent la France encore plus que les émeutiers de 2005. C’est pourquoi d’ailleurs les seconds sont les enfants des premiers, mais ça c’est une autre affaire...
Ce que je vous dis moi le bâtard Lounès Darbois-Beaumont c’est qu’il faut placer l’amour gratuit et inconditionnel pour la France notre pays au-dessus de tout, en dessous de Dieu seul. Pourquoi ? Parce que cet amour là est la seule chance que nous ayons pour éviter qu’un jour nos enfants respectifs en viennent à s’entre-tuer. Et ne croyez pas que si vos enfants « gagnent » contre les enfants des « autres » vous aurez ainsi quelque part gagné, que vous aurez gagné la lutte pour la perpétuatiuon de votre lignée. Non. Si vous croyez en Dieu vous savez que ces choses là sont impardonnables. Que l’on est un jour jugé sur nos actes. Qu’il n’y a pas de pardon pour les dettes de sang. Que le crime des parents retombe sur les enfants. Que le croyant qui tue l’infidèle, le kouffar le goyim, « l’autre » et qui croit s’en tirer à bon compte parce que la vie de « l’autre » vaudrait moins que celle de ses frères se verra murmurer ces paroles au jugement dernier : « Ah ! Insensé qui croit que je ne suis pas toi »*.
Encore une dernière chose. Personne ne vous obligera à aimer la France. Personne n’ira vérifier votre sincérité, votre loyauté, votre pureté de cœur. Personne ne vous inquiètera si vous trahissez, si vous retournez vos alliances si vous travaillez à détruire secrètement la France. Cela signifie une chose: c’est que what you see is what you get. Si véritablement vous êtes des croyants, si véritablement vous pensez comme moi que nous avons dans une autre vie dans un autre monde, vécu dans un Paradis duquel nous avons été chassés, alors voilà offerte à vous la France, pure et sans défense, l’occasion de votre renaissance. La France et ses 2500 ans d’histoire voilà un écho de territoire originel dans lequel vous pouvez si vous le souhaitez, dire « non » aux occasions de chute. La France est l’occasion terrestre de faire preuve de votre sincère amour de Dieu, l’occasion de montrer en paroles et en actes que vous l’aimez Lui davantage que les biens du monde.
Avec l’expression de mes plus sincères considérations.
*Victor Hugo dans les Contemplations. Cependant cette phrase est un condensé évident de très nombreux textes sacrés.

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