Analytics

mardi 18 août 2015

3 juin 2012 - GABEGIE

Gabegie MUTATION — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE À 17 H 58 MIN 

Solitude face aux évènements de l’actualité. Ne se sentir représenté nulle part, ne trouver aucun clerc qui parle pour soi en première ligne donne depuis trop longtemps l’impression très désagréable que tout est foutu, que tout le monde dort, que tant pis, que la vie n’a définitivement pas de sens, qu’il n’y a pas de gardien de la cité bien-aimée pas de good sheperd.  L’obscénité chaque jour répétée, triomphante de faits concrets appelle une posture de prostration et l’on attend que ça passe. On attend que ça passe mais ça ne passe pas. La gabegie ne passe pas. Ce désordre, cette chienlit, cette odeur de pourri. Car oui il y a des propos « nauséabonds » dont on ne nous a pas fait justice, et des situations nauséabondes et des gens aussi, très « nauséabonds ». Tout cela a déjà été dit mille fois, écrit, blogué cent mille fois. C’est la gabegie c’est la chienlit et nous allons essayer d’en dresser une incomplète liste. La presse et la publicité forment comme une gigantesque administration qui nourrit l’individu avec des informations. Informations sur lesquelles sont pratiquées des ponctions, des rétentions ou des surabondances selon le résultat émotionnel à obtenir sur l’individu. Informations qui ont des conséquences lourdes sur la population complètement bernée et maintenue dans l’ignorance. Ainsi l’administration est vérolée de fraudes, de manigances et de malhonnêteté : c’est la définition du mot gabegie. Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas Affaire Travyon Martin. « Un Blanc a tué un Noir aux Etats-Unis» titrent en substance TOUS les quotidiens français début avril 2012. Tellement ahuri, tellement hébété le bon lecteur, réceptacle à merde ne se demande même pas pourquoi ce fait divers traverse les océans et lui est communiqué. POURQUOI est-il important de communiquer cette info ? Y a un truc qui déconne non ? La réponse la voilà : il y a tellement peu de racisme des Blancs envers les Noirs (au contraire les premiers passent leur temps à cirer les pompes des derniers, pour rester poli) qu’il a fallu aller aux Etats-Unis au fin fond d’une banlieue pavillonnaire de merde pour trouver UN meurtre depuis 20 ans qui peut-être laisse un peu des doutes sur le fait que peut-être ce serait un peu raciste on-sait-pas-faut-voir. Là-dessus Obama bien à fond pour les Noirs contre les Blancs, 100% hostilité 0% gratitude fait un speech bien sentimental bien communautaire, bien « moi le Noir, ce petit Noir aurait pu être mon fils noir dans ma souffrance noire de ma conscience noire ». En fait ce meurtre n’est pas raciste, c’est une autodéfense un peu douteuse certes mais le soi-disant « Blanc » a quand même été roué de coups avant de tirer, son visage tuméfié en témoigne. WHY THE FUCK a-t-il fallu attendre 2 mois d’hystérie raciale pour pouvoir visionner sur des images de vidéosurveillance son visage tuméfié ? En fait ce Georges Zimmerman n’est pas un « Blanc » il suffit de regarder ses photos c’est quand même l’évidence. Et comme son nom de famille pouvait prêter à confusion les bons majordomes du Figaro s’étaient empressés d’indiquer sous le portrait du tueur la mention « Georges Zimmerman a reçu une éducation catholique stricte ». Pour bien que tu fermes ta gueule. Parce que le bonhomme il servait la messe tous les jours à la Frat’Saint-Pie X tu compran’ sale blan’ ? Bon. Solution du problème : ce n’est ni un meurtre raciste, ni un Blanc ni rien. La solution est la suivante : JAMAIS il n’y a de meurtre raciste de la part des Blancs parce que s’il y avait le moindre petit début d’ébauche de soupçon on serait immédiatement rencardé même si ça se serait passé à 15000 km de chez nous (cf l’affaire Travyon Martin). Par contre on sait très bien que les centaines d’agressions par mois qui ont lieu contre les Blancs ont une petite dimension d’hostilité raciale (« lui c’est un gouère », « eux on les baise », « d’la sale race » etc…) très difficile à prouver mais évidente et jamais dénoncée comme telle dans des journaux pourtant très « vigilants » (la preuve encore avec cette affaire localisée à perpète). Conclusion : l’absence d’affaire type « Travyon Martin » dans les journaux est la preuve de l’absence totale de meurtres racistes causés par des Blancs car ces évènements sont immédiatement et systématiquement exaltés et montés énormément en épingle par la « vigilance ». Ainsi il faut prendre acte qu’il existe une lecture « en creux » des journaux. Il y a ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas. Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas. Cette phrase qui compose le titre d’un ouvrage d’un certain Frédéric Bastiat est la plus indiquée pour évoquer la notion de gabegie. Allez encore une fois. En France comment cela se passe ? Réponse : A la moindre insulte d’un Blanc contre un Arabe, SOS Racisme sort du bois et immédiatement mille canaux médiatiques bombardent la population pour bien l’alerter sur l’atmosphère nauséabonde qui règne dans « ce pays » (ce pays nauséabond). Exemple : « l’agression » d’Audrey Pulvar par des hools du PSG. C’est ce que l’on voit. Aux permanentes agressions, intimidations, menaces dont sont chaque jour victimes les Caucasiens (quand ce n’est pas le meurtre) par des Arabes et Noirs, ni SOS Racisme ni aucun média n’émet de protestation sur l’insidieuse hostilité ambiante qui règne à l’encontre des Blancs depuis 40 ans et qui se traduit par des actes concrets de destruction physique. Exemple : le meutre de Yann Lorence roué de coups à terre par 20 CPF, dont les hools du PSG finissaient de commémorer l’hommage anniversaire, avant qu’ils ne voient passer Audrey Pulvar et Montebourg dans la rue et qu’ils ne les traitent de sales petites merdes. C’est ce que l’on ne voit pas. Les Pulvar, les Montebourg et tous les autres aux pompes bien cirées par les animateurs des médias, eux, leurs scandales n’éclatent jamais au grand jour, ou alors trop tard, après qu’ils aient bien accomplis leur œuvre de destruction. (Julien Dray, Richard Descoings, Larsen…). Ils sont couverts. C’est ce que l’on ne voit pas. On continue: -          Le hallal. Il y a une justice immanente qui tient à l’abandon de la religion chrétienne. Cette très belle, très raffinée, très intelligente religion presque entièrement reniée chez nous dit une chose très claire à propos de la nourriture : on peut manger de tout si on le fait avec « action de grâce » c’est-à-dire en considérant que l‘on reçoit cette nourriture de la main… eh bien de Dieu lui-même et qu’ainsi on en éprouve de la gratitude. Puisque même cette petite chose gratuite qui nous est demandée nous ne voulons pas la faire, voici que se met en place une justice immanente : l’irruption massive de rites barbares centrés sur le sang du « hallal » et du « casher ». Et toutes les explications du monde n’y font rien (explications interminables qui nécéssitent d’employer beaucoup les mots « égorgement », « sang », « nerf », « artère », « bête », si on a deux secondes d’instinct on se rend compte qu’on est en train de se faire arnaquer), ces rites nous sont étrangers et nous dégoûtent, tout comme cette passion pour le sang et les sécrétions rabachées dans les bouquins d’autres religions (il faut chier vers tel point cardinal, se laver les « parties honteuses » trois fois en prononçant la formule, il faut bien égorger jusqu’à la dernière goutte, gnagnagna skome sa fô faire…). Dans ce débat stérile qui n’a débouché sur aucune décision satisfaisante (y-a-t-il moins d’abattage hallal désormais ?) personne n’a pointé l’argument théologique. C’est la chienlit. -          Désormais les postiers sont des racailles, idem les chauffeurs de bus, idem les chauffeurs de taxi. La semaine dernière un taxi-racaille a failli écraser des gamins au passage piétons. Les colis sont perdus ou retrouvés ouverts. Ils sonpastousscomssa, padamalgame. C’est la gabegie. -          Après le lycée le chemin des études est tellement tortueux, l’esprit d’un jeune est tellement indécis, qu’il semble que sortir vivant de tout cela soit déjà un exploit. Il y a des histoires de validation, des mots comme « approuval », « passerelle », « cycle », « semestre », « partiel », « reconnu niveau II ». Il y a des milliers d’écoles de commerce, de design, de communication toutes parasitaires qui cherchent à vous arnaquer, et un marché du travail saturé. Tous ces parcours ne débouchent sur rien de bon, sur aucun travail productif, mais flattent vos bas instincts comme par exemple le narcissisme : porter un costume et débarquer à 8:30 (on précisera « A.M. » parce qu’on est un bon suceur) dans la « salle des marchés ». Avant d’en arriver là, un bon salaud de directeur d’école de commerce privée qui avait flairé l’aubaine t’aura bien enculé de 7000 euros par an. « Tu veux faire carrière ?… Minois? Tu veux être adulée! dis-moi ?… » Céline. C’est la gabegie. -          Steevy Gustave. Il faut bien voir, pour bien comprendre c’est comment la gabegie concrètement. Parce que toute ta validation et ton approuval,  elle se trouve un jour ou l’autre dans les mains d’un embusqué de l’administration du genre de Steevy Gustave. ¿ Te gusto la gabegia ? -          Goldman Sachs. Il parait qu’ils sont pas gentils Goldman Sachs. Alors qu’attendent tous les Anars « blacks blocks » d’habitude si prompts à l’action pour aller leur rendre visite dans leurs bureaux à Goldman et à Sachs? Pourquoi personne ne va les voir? Mystère. Il y aurait des arnaqueurs complètement déchaînés et absolument identifiés mais nulle part l’ébauche d’une petite réprobation. Pourtant ils ont des bureaux ces mecs, ils « existent ». Pourquoi les grecs n’attaquent-ils pas les bureaux de la GS si vraiment ces derniers sont coupables ? Pourquoi à la place harceler des policiers et faire des grèves et des débats ? Lâcheté. Bêlements de troupeau faible. C’est la chienlit. -          Entretien d’embauche. Ces articles intitulés « réussir son entretien d’embauche ». Cette étape obligatoire de la vie de bureau est certainement l’une des plus obscènes. Tout le monde peut réussir l’entretien d’embauche. Il suffit de jouer la comédie que l’on attend de vous. Car faire cela constitue la véritable signature qui paraphe le contrat que l’on vous tend. On vous dit en substance « j’en ai rien à foutre de ta gueule, j’en ai 20 comme toi qui veulent ce taf tous les jours, si tu entres ici t’as intérêt à t’user de ton mieux pour ma boîte de merde et à bien me faire rêver sinon chômage t’as compris ? » et l’on répond immédiatement par les plus exaltés serments de motivation, dynamisme et proactivité (mots-clés à placer impérativement dans l’entretien). C’est la chienlit. -          L’esclavage. Les Noirs te tiennent bien en respect avec cette petite rente. Mais c’est bizarre, si l’on regarde dans nos arbres généalogiques (la récente passion pour la généalogie permet de remonter facilement jusqu’à 1730) on ne trouve jamais dans nos ancêtres de personnages dont le travail a consisté à acheter, transporter et vendre des esclaves. Donc si « c’est pas nous » c’est qui ? Ça doit bien se trouver ça, une petite liste d’armateurs de bateaux d’esclaves du 18èmesiècle ? C’est qui les coupables ? Quand on pense que l’on enseigne aux petits Blancs par charters d’écoles primaires au « musée de l’esclavage » à bien avoir honte d’une faute qu’ils n’ont commise ni individuellement ni collectivement et à bien adorer en réparation le bon étranger…  Chienlit. -          Les Australiens. L’Asie du sud-est il y a quelques années était remplie d’Australiens (aujourd’hui davantage sans doute). Récemment en « traînant sur internet » il y avait cette vidéo, impossible de la retrouver,  d’un stade rempli de jeunes australiens blancs en train de faire des combats de cavaliers, le genre ou l’on grimpe sur le dos de son camarade et l’on essaie de faire tomber l’adversaire lui aussi juché sur le dos d’un ami. Ils avaient des têtes très porcines, ça sentait le monde bien épais bien mufle, ce jeune monde WASP qui sent la bière et la crème solaire sur des torses blancs sous le soleil, les tongs havaïannas et le gel dans les mèches effilées, ce monde de gros cons qui gueulent, qui sont ivres, et qui est censé composer l’élite du monde blanc. Les Australiens comment dire… C’est dégoûtant voilà c’est tout. C’est un petit hors-sujet juste pour en rabattre un peu sur la « white pride » et ce genre d’idéalisations abstraites car dans le réel ça ne correspond à rien de glorieux. -          Bob Marley. Bob Marley l’idole des jeunes, voilà la lumière que c’était. Voilà la grande conscience cannabique qui combat le pouvoir. Que l’on repense aux nombre de posters de Bob Marley qui sont vendus dans le monde à chaque seconde. « I mean bikoze doze politishans put you on pansions… » Silence, le grand sage parle: -          Le père de Merah. On peut trouver que j’ai des propos extrêmes parfois. Les gens qui trouvent cela sont soit des Blancs qui ne connaissent pas l’incroyable niveau d’hostilité anti-Blanc anti-France qu’il y a en Algérie (haine entretenue par le pouvoir et la presse), soit des Arabo-métisso-quelquechose dressés depuis leur enfance à détester tout ce qui peut se rapprocher de l’image du Français blanc essentialisé. Le père à Mohammed Merah, sa lâcheté, son vice, je connais cette posture et ce discours sur le bout des doigts pas en tant que citoyen détaché qui regarde internet mais en tant qu’authentique métis élevé dans une double culture. S’pas comme twâ. On va résumer un peu le parcours du pèraméra : 1) abandon de famille et du petit Mohammed très tôt, 2) trafic de stup, 3) fuite en Algérie, 4) lorsque son fils meurtrier de 7 innocents a été tué par le RAID il a reparu soudain pour menacer de porter plainte contre la France, 5) il a exigé de la France que le cercueil de son fils soit rapatrié en Algérie (genre « aya laissez nous enterrer NOS morts »), 6) le pouvoir algérien se refusant à cela, il a alors cette fois fermé sa gueule et s’est soumis à la décision de SON EXCELLENCE (genre : « ah c’est pas possible mssieu boutéflika ? Ah ok comme vous voulez, à vot’selvice »). C’est-à-dire qu’on retrouve bien tous les stigmates du plus pur stéréotype algérien lâche, plein de haine et de rancœur : haine de la France, abandon de famille, fuite, fierté ethnoculturelle énorme, incapacité totale à mener à bien une entreprise de travail concrète et saine, culpabilisation systématique de la France, soumission bien bigotte et servile systématique à l’Algérie. Eh bien moi je suis un peu algérien quelque part et j’ai une très haute conscience de cette attitude des Algériens depuis l’enfance et je ne puis dire à quel point cette attitude me dégoûte. Et malheureusement très peu de gens peuvent me comprendre sur ce sujet parce qu’ils ne vivent pas cela de l’intérieur. -          Si les femmes étaient véritablement ces êtres sensibles, bienveillants, empathiques et purs que l’on nous vend chaque jour par mille canaux de communication, alors tous les agriculteurs seraient des hommes mariés et chaque soir correctement massés et flattés et aimés après leur journée de travail. Or cette profession connaît le plus haut taux de célibat et de suicide de toutes les catégories socio-professionnelles. Cette profession est aussi l’une des plus indispensables et des plus dures avec celles de policier, d’éboueur, de chauffeur routier, de manutentionnaire et de commis de cuisine… On peut résumer la « tendance lourde » par cette phrase : Tous ceux qui sont utiles et humbles dans une société seront traités comme de la merde. Par contre les petits enculés d’employés de bureau sont davantage que la moyenne bien sucés et dorlotés et rassasiés de minauderies. C’est la chienlit. -          Dans le rap depuis 10 ans seuls les plus haineux, orgueilleux et caricaturaux ont réussi : Diams, Sniper, Youssoupha, toute la clique Skyrock. En réalité il a existé des ébauches de rap intègre fait par des gens qui avaient un sens des responsabilités. Mais cela reste de brèves tentatives vite ralliées au torrent pour éviter les ennuis. Il y a eu des Donchoa, Karlito, Luciano… Quelques rimes enthousiasmantes dans un ou deux morceaux et puis s’en va. « J’ai lu des quantités de poèmes. Des vers soit disant galants, raffinés. J’en ai trouvé trois ou quatre de bons…. Sur des milliers. Ah non vraiment la légèreté n’est pas de ce monde ». Céline encore lui, dans une interview je sais plus où. Mais bref, peine perdue. Essayer de circonscrire la gabegie est peine perdue, déjà le récit se noie dans des explications pénibles à lire, pardon lecteur, et ça ne changera pas la face du monde. C’est la chienlit c’est la gabegie, c’est parce que les temps s’accomplissent paraît-il, parce que Deutéronome 28 :15, ce genre de choses. Oui tout est biaisé, détraqué, tout est puté. Les enfants de 10 ans *************************************************************************************** s’est barré comme le père d’Obama, comme celui de tous ces pères de merde, tous ces lâches qui se disent hommes alors qu’ils n’agissent qu’en femelle tout le temps, toute leur vie. Ils ne savent pas ce que c’est que de prendre soin vraiment d’un enfant et d’une famille. Les femmes ont un boulevard devant elles pour être enfin ces mères abusives horizons uniques d’enfants complètement à leur merci, à leur seule merci. Tu imagines avoir pour mère Ségolène Royal ? La prime ne va qu’à des mères Ségolène Royal, des mères Clémentine Autain, le genre femme-pieuvre qui jacasse avec beaucoup d’énergie contre l’homme blanc, seulement contre l’homme blanc « et TATATA et TATATA et TATATA ». Un programme s’accomplit. Quiconque s’y oppose est immédiatement roulé dans la merde, dénoncé, humilié, c’est scientifique. 17 millions de sodomisés sont allé voir le film Intouchables. Le Figaro consacre des articles à Mickaël Vendetta et à des affaires de cul bien racoleuses jadis cantonnées à «Entrevue », quant à Morsay et d’autres ultra-haineux, ils entrent peu à peu dans le mainstream, aucun « vigilant » ne vient jamais brandir leurs casseroles. On en fait des tonnes sur cette étrange affaire Trayvon Martin,  Pulvar twitte son agression raciste et ça fait la une de tous les torchons pendant 3 jours. Qui sont les meurtriers de Yann Lorence ? Pendant ce temps la génération montrée dans l’émission « Pascal le grand frère » (peut-être l’ une des meilleures émissions récentes, si l’on sait bien la regarder) crève embringuée dans une misère qu’elle ne comprend même pas, ravagée par les divorces, le diktat des racailles d’en haut (élites pourries, gabegie de l’administration) et des racailles d’en bas (« kess tarrives ? Baisse les yeux sale gouère ! »). La vraie foi, le vrai Quaere Deum, l’Ekklesia qui pourrait encore donner un sens à leurs vies, ne recrute pas et il faut 2 ans de « parcours » à faire fuir le plus vaillant des nouveaux convertis avant de recevoir le baptême. Les chrétiens d’Orient persécutés ne soulèvent l’indignation d’aucun gauchiste, d’aucun artiste engagé, d’aucun islamo-judéo-quelque chose qui pourtant vous avait juré sur la tête de sa mère être animé avant toute chose dans la vie par une infaillible conscience universelle. Dès qu’il s’agit de faire du mal à quoi que ce soit de discret, de beau, de fragile, de humble, de raffiné, alors immédiatement tout est facilité, porté, évident. C’est à la fois la chienlit : un phénomène de pourrissement qui semble irrésistible et naturel, et c’est à la fois la gabegie : un immobilisme entretenu administrativement de façon tacite par des gens et des décisions délibérées. Demain les personnalités politiques incontournables seront Steevy Gustave, Morsay, Max Boublil, Clémentine Autain, Rokaya Diallo et Houria Bouteldja. Ce sera eux ou leurs fils spirituels appelés à se multiplier et à prospérer pour régner sur une caste de Blancs complètement ahuris et maintenus dans l’ignorance, une sorte d’élevage de Blancs à ponctionner un peu de temps en temps comme un quota de pêche, des petits prélèvements comme dans un bar à transfusion sanguine (y a bien des bars à eau). Enfin je ne connais pas l’avenir… Des jeunes filles fuguent par milliers chaque année, se convertissent, se prostituent à tout ce qui peut rendre service à la chienlit. Deutéronome 28 :15. Tremble devant l’Eternel, gros. « Celui qui tient les femmes tient toute la société » signé Lénine. « Puissante et indépendante », échappant à tout contrôle elle devient l’agent de chienlit le plus destructeur après la bombe atomique, entièrement téléguidée par un tropisme de mort, ne donnant son vote qu’aux salauds et ne le retirant qu’aux humbles, qu’aux bosseurs, qu’aux idéalistes. Que l’on regarde honnêtement le phénomène, cf les militaires qui rentrent de mission et trouvent la maison vidée, cf les mecs qui ont entretenu une copine pendant ses études et se retrouvent plantés au moment où cette dernière entre dans la vie active, cf tous les suicidés de France et de Navarre : 75% des suicidés sont des personnes de sexe masculin dont l’acte a pour origine une « déception sentimentale » comme disent pudiquement les faits divers. Martyrs du torrent de l’histoire pris noyés dans un tourbillon, ayant même renoncé à essayer de comprendre. Le message salvateur parvient par bribes dans l’écouteur, comme un ensemble éclaté à reconstituer. En fait ces scandales sur le hallal, sur le voile, sur la racaille, nous disent des choses sur nous, des choses que nous devrions faire ou être. Oui il faudrait éduquer les femmes à être vêtues pudiquement (surtout si elles sont belles), oui il faudrait avoir un rapport de grande humilité à la bouffe et à l’alcool, oui il faudrait savoir se battre et adopter une certaine conscience clanique. Il faudrait ce genre de choses là, bien rébarbatives, bien rétrogrades : « une cure effroyable pour purger tout le penchant vers la tripaille ». Sur ces points là c’est nous qui avons tort, pas les « autres ». Tout comme on a eu incroyablement tort de rejeter à priori les choses de la religion, de sans cesse sélectionner l’option la plus gauchiste, la plus fainéante, et en définitive la plus laide d’entre toutes les options. Même les plus abrutis gauchistes automatiques finissent par reconnaître (tard, très tard, trop tard) que c’était mieux avant. De quoi meurt-on docteur Destouches ? « Nous crevons d’être sans mystère, sans légendes, sans grandeur, les cieux nous vomissent ». Si l’on n’a plus en soi de mystère ni de légendes ni de grandeur, alors on ne peut pas dégager decharisme. Les jeunes français des classes moyennes complètement a-charismatiques : qui parle pour eux ? A part des malveillants ? Est-ce que l’on veut bien se souvenir du désespoir que c’était d’avoir 18-20 ans et d’être sommé de se lancer dans la vie… Ces classes-là se font, génération après génération, coucher comme les lignards de 14 au sortir des tranchées, à la mitraillette. Rafales de dépressions, de bad trip au shit, aux drogues, de déceptions amoureuses, d’échec scolaire, d’indécision atroce, de voies de garage, de chômage, d’agressions par la racaille, de frustration… Toujours les mêmes histoires, toujours, de Lille à Nice. Ils ont été dressés comme des chiens de garde pour détester tout ce qui pourrait les sauver : fermer sa gueule, écouter les anciens, se tenir humblement, tenir aux trois vertus théologales, épargner 30% de son salaire, chercher à se marier et à faire des enfants, aimer le travail manuel concret et productif, faire un sport, avoir une conscience morale, bref tous ces éléments qui sur le long terme vous sauvent, finissent par vous sauver. Cette pauvre race blanche de merde qui n’a aucune mission ni protection ni bienfaiteur désintéressé est devenue un objet de stupéfaction à travers le monde. Ses micro-effondrements ici et là s’accomplissent au vu et au su de la multitude (internet) qui est ainsi traversée de messages et d’ondes de déflagrations. On s’interroge. Puis c’est la prostration. On n’y comprend rien de toute façon. Ces enseignants de lycée et professeurs d’université lisaient des fiches rédigées une fois pour toutes et qui jaunissaient d’année en année. Tête baissée sur ces fiches, ils ânonnaient des paroles aussitôt copiées tête baissée par des jeunes français des classes moyennes dont le destin est décrit plus haut. Et c’était la transmission du savoir, ça. Pas d’esprit vivant, pas de vibration, surtout pas de passion. La gabegie on l’a apprise à l’école. L’absence d’émotion, le culte d’un monstre froid, efficace comme un algorithme financier : l’esprit scolaire. A ce jeu-là ne s’en sortent que les plus froids, que les plus dépassionnés et épais esprits qui s’en vont alors parachever de peupler un monde déjà extrêmement froid. Le top du top c’était bac S puis prépa ESC puis ESC puis aller bosser à Londres comme mathématicien des banques. C’est la prime qu’à la laideur. En fait il y a les « indignés » et en face les « endormis ». Lesquels des deux sont les plus détestables ? Pas d’art, même en cinéma, ce sous-art, rien, plus rien. Ou sont les bons films ? Les choses du calibre de Apocalypse Now, Taxi Driver, ces moments où l’on sent de la vie dans son époque. Il n’y a plus de clercs. Allez il y a bien quelques Richard Millet, Hadjadj, Bennassar, Soral, Finkie, Onfray… Quelques bribes heureuses ici ou là qui parfois suscitent un peu d’envie de se redresser. Mais ce sont des bribes éparses, timides, composites, sujettes à « débat » et à bavardages controversés interminables. Il n’en sort aucune décision, aucune direction, et l’opinion publique est fatiguée d’être « alertée ». On ne veut pas être alerté, on est déjà très alerté, épuisé d’être en alerte précisément. C’est ça… et puis c’est plus ça. Et puis tant pis. Trop de conflits, pour tout, pour rien, l’esprit de conflit entre gens qui devraient être amis. Conflits absurdes, « histoires », « problèmes », gabegie, chienlit. Il ne peut pas y avoir de clerc parce qu’il n’y a pas de façon de parler. Très peu de gens maîtrisent à la fois une façon de parler (la forme) et des idées saines exprimées clairement (le fond). Des gens comme Jacques François avaient une façon de parler, un style. La France était jadis peuplée de professeurs, d’orateurs, de rhéteurs qui avaient une véritable façon de parler (il suffit de zapper sur ina.fr) et qui ainsi transmettait leur esprit comme par injection dans les autres corps. Leur langue admirable formait une aiguille suffisamment fine pour passer dans les veines des auditeurs, et ces gens-là transmettaient leur vie intérieure, ils travaillaient à l’enchantement du monde. Mais putain mais les clercs d’aujourd’hui sont chiants à mourir. Lorsqu’un pote te conseille la dernière conférence super-réglo sur la bonne ligne de untel ou untel on voit quoi ? On voit un type en train de produire péniblement des phrases, un « endormi », un pédant qui prend son temps, qui jouit de passer à la télé, qui a bien bouffé, qui fait dormir, qui lit un truc, qui nous ennuie. Il y a très peu de combattant, ou alors ils sont du côté de la chienlit et de la gabegie. Guerriers rares, si rares… Pour des centaines d’endormis combien de combattants ? Pour quarante ronfleurs sur chaire combien d’Edmond Rostand? Pour vingt mille légions mélenchoniennes combien de Michel-Marie Zanotti-Sorkine ? Des types comme Onfray, Luchini, Soral la raison pour laquelle leurs vidéos sont autant regardées c’est pas parce que ces gens-là ont des choses extraordinaires à dire. S’ils sont regardés et écoutés c’est parce qu’il existe chez eux un reste de langue et d’esprit et que ce sont à n’en pas douter des combattants, des anxieux d’accomplir une épopée, des gens qui croient qu’il y a dans le monde des innocents à relever et des salauds à punir. Leurs innocents et leurs salauds à eux certes… Mais enfin ça se respecte. Ils ne sont pas encartés, n’ont pas bénéficié de pistons. Ils sont pénibles, on n’est pas d’accord avec eux c’est sûr. Mais c’est à peu près tout ce qu’il reste, ces quelques rhéteurs ici et là, qui savent improviser oralement. Et en soi ce n’est pas grand-chose : des petites vidéos un peu courageuses, quelques prises de position un peu honnêtes, de fugaces moments d’incertitude lorsque la langue devient vie, parfois, vite fait…  C’est pas grand-chose mais comme personne ne le fait c’est déjà beaucoup. Et c’est tout ce qu’il y a. Des clercs en réalité il en faudrait des centaines tous plus lyriques et déchaînés les uns que les autres pour remplacer la mort par la vie, pour bien dénoncer et ridiculiser toutes les arnaques qui nous sont entrées dans les chairs jusqu’à la moelle à en devenir des prothèses. L’arnaque des ESC privées, l’arnaque des diplômes en 5 ans qui ne débouchent sur rien (« master en sciences de la communication »), l’arnaque des auto-écoles comme système bien rôdé pour extorquer de l’argent au nom de la loi, l’arnaque de l’indignation « aya ils nous a dit racailles », l’arnaque du discours politicien « faire vivre les valeurs de la république », l’arnaque des impôts qui te prennent 75% de ton dû, l’arnaque des projets entrepreneuriaux bidons (« ça bouge chez les innovateurs ! »), l’arnaque humanitaire, l’arnaque du sida, l’arnaque écolo, l’arnaque de la résistance, l’arnaque de l’espérance, l’arnaque sur le sens des mots, l’arnaque partout tout le temps. Même ce site covoiturage.fr est devenu une arnaque. Récemment ce truc qui avait une stricte vocation de mise en relation gratuite entre un conducteur et un passager est devenu une agence de covoiturage qui ponctionne un pourcentage sur chaque transaction, « pour votre confort et votre sécurité ». Et pour bien que tu fermes ta gueule il t’envoie les « testimonials », les témoignages ravis de covoitureurs qui ont testé et aimé ce système que toi petit con isolé et cochon de payant tu n’apprécies pas à sa juste valeur. Or ça, ce processus-là, c’est la quintessence de la chienlit : isoler des gens qui ont vocation à s’unir puis les vaincre les uns après les autres en les mettant au pied du mur et en leur opposant des avis contraires, réputés majoritaires. La démocratie, l’immigration, l’avortement, l’infidélité, l’impunité judiciaire des racailles, le niveau exorbitant des impôts, fonctionnent tous sur ce mode-là. On croit à la révolution parce qu’on croit que le bien triomphe de l’ignominie à la fin. Mais même le concept de révolution c’est une arnaque, ça ne marche jamais, ça aggrave les choses et c’est pour les cons. Ce n’est pas la révolution qu’il faut. Ce qu’il faut c’est que les salauds soient punis et que les innocents soient restaurés, aussi limpide que ça. Voilà la pénible et révoltante irréalisable injonction que personne ne veut entendre sans hausser les épaules, tout le reste c’est des grands discours pour fuir cet impératif, le seul impératif moral absolument impossible à nier. Par exemple, si les racailles en France se comportent de façon aussi ignoble ce n’est pas parce qu’ils sont désespérés mais parce qu’ils détiennent la certitude (très justifiée) que le mal qu’ils causent ne leur fait courir aucun risque de punition désagréable et qu’ils sont à ce titre, comme tant d’autres qui vivent sur le dos des Blancs, pleins d’espoir et d’espérance comme on dit face à des frustrés qui se crispent sur leurs acquis.  Eh bien il existe un lobby qui se bat pour inverser cette tendance d’impunité judiciaire en France. Ce minuscule lobby (Institut pour la justice) est tenu à bout de bras par deux ou trois personnes qui ont contre eux non seulement toute la stupidité, la haine et le fric de régiments d’avocats bien francs-maçons, bien  « Terra-Nova », de Respect Magazine et de toute la pensée automatique (les pleins d’espoir et d’espérance) mais aussi tout le scepticisme et le chipotage des bourgeois blancs imbéciles jamais confronté à la violence (les frustrés qui se crispent sur leurs acquis) et qui trouvent systématiquement des excuses à des égorgeurs de sang-froid. Voilà pourquoi personne ne veut faire le travail : parce que ceux que vous servez gratuitement vous crachent à la gueule et que personne ne vous soutient ni ne vous remercie. Le journalisme. Il n’y a pas de mots assez forts pour dire à quel point d’abjection est rendue cette profession de nos jours. Un journal comme le Figaro est devenu une sorte d’organe de propagande de Terra Nova, rien de moins. C’est la gabegie des politologues, « spécialistes », experts-psychiatres, analystes qui prédisent un truc et se trompent complètement (affaire Merah, lorsque les « experts » et tous les journaux certifiaient qu’il s’agissait d’un acte de terrorisme néo-nazi) mais comme l’article est vite supprimé, personne ne va leur demander des comptes à ces experts, et jamais ils ne PAIENT pour leurs fanfaronnades. Et ainsi on intègre que les salauds, les menteurs et les arnaqueurs ne sont pas inquiétés. Et puis on oublie. L’article a disparu de toute manière. Et ça peut recommencer. A part « Faits & documents » et quelques sites inconnus, personne ne fait de véritable travail de journalisme, d’enquête et d’investigation. Car en réalité c’est un boulot très ingrat et pénible (mais nécessaire) de fouille-poubelle, d’archivage et de fiches. Or, putain de bordel de merde, ou sont les archives impitoyables à charge contre tous ces Yannick Noah, Djamel Debbouze, Laurent Ruquier, Gérard Miller, Arnaud Viviant, Diallo, Sopo, machins qui foutent la merde depuis tant d’années ? Est-ce qu’il va falloir attendre qu’ils décèdent pour apprendre enfin qui ils étaient vraiment comme lorsque Descoings fut révélé (quoi ? Tu savais pas ??) « en fait » corrompu, partouzeur gay, richissime, pourrisseur de jeunesse et coké jusqu’aux yeux rien que ça ? Ne fallait-il pas répéter cela de son vivant pour le calmer un peu quitte à risquer un procès dans lequel on aurait pu prouver les allégations? Pourquoi si peu de gens avaient fait le travail ? Chienlit, gabegie, tout le monde savait, personne n’a rien dit, et aujourd’hui c’est trop tard. Pour les jeunes: chômage ou alors prostitution. Métiers inutiles… Journaliste, webdesigner, marketing planneur, auditeur, « chef de projet »… Du service au service très codifié avec des process et des vérifications de process. Gabegie. A quoi ça sert ces métiers prestigieux si durs à atteindre et à garder si c’est pour habiter à Paris un logement malsain avec une copine de merde? Des milliers de gros cons de Blancs honnêtes citoyens vivent ainsi comme des esclaves. Qu’est-ce que cela produit concrètement comme fruit ce genre de vie là ? Zéro enfant et un sperme qui moisit dans les couilles de cadres soumis de 37 ans. Comme quoi ça valait le coup de se donner tout ce mal hein ? C’est du perdu d’avance qui pue la mort, voué aux séparations atroces avant retrouvaille seul et vieux et déclinant face à un miroir avec éventuellement une garde d’enfant retirée et une obligation de versement de pension. Il n’y a que les femmes qui tirent leur épingle du jeu à ce jeu-là, jamais les hommes. Aux sceptiques de se renseigner furtivement sur la génération « Margaux Mottin », qu’ils comprennent quelle heure il est. C’est complètement verrouillé. Pourquoi toute cette merde ne s’arrête-t-elle pas ? Pourquoi personne ne bouge ? Parce que très étrangement, on n’en souffre pas assez. Tout cela nous dégoûte mais on mange encore, détail important. On mange encore. Même au chômage tu manges, tu es protégé du froid et de la pluie, tu peux te branler sur des sites de cul, tu as accès à des divertissements et à l’alcool bref l’esprit est occupé et tous les besoins primaires satisfaits, situation très peu propice à faire esquisser ce « pas de côté » qu’évoquait Houellebecq dans ce texte magistral intitulé « Approches du désarroi », à lire et à relire et à re-relire. La souffrance engendrée par la gabegie est encore par trop une souffrance de riche. De riche au SMIC et au chômage, mais de riche quand même. En réalité pour commencer à bouger il faut soit avoir mal, soit avoir peur. Mal on oublie, donc. Peur par contre… Qui a peur en France ? Réponse : tous ceux qui ont quelque chose à défendre : une famille, des enfants. Eux ils bougent un peu, des fois, certains d’entre eux. Avoir une famille tout d’un coup ça vous fait voir les choses autrement. Se moquer des « gens qui ont peur de l’insécurité » c’est une posture de salonneur et de mec qui n’a pas d’enfant ou qui n’aime pas ses enfants. Car en réalité lorsqu’on aime ses enfants et qu’on veut le meilleur pour eux, on a peur pour eux. Les gens de la chienlit nous ont rabâchés que dans l’amour « véritable » (qu’ils tutoient à coup sûr, ces intrépides chevaucheur de l’Agapè) il n’y a ni jalousie ni peur. Eh bien qu’ils attendent d’avoir des fils et des filles qui vivent à la merci des racailles, on en reparlera. On pourrait encore parler longtemps comme cela du niveau déontologique catastrophique des médecins, du cauchemar des hôpitaux, de la SNCF et des Thalys hors de prix jamais à l’heure, des MJC « le Polygone » dans une cité de merde, des peintures murales du centre aéré de Saclay, de l’introduction de « The departed », des fils de riches à larges épaules avec des grosses loutches qui tirent la tronche aux terrasses de café le samedi aprème absorbés par la contemplation du minuscule écran de leur téléphone… mais non. Fallait juste que ça sorte, c’est fait. Chapeau si vous avez tenu la lecture jusqu’ici. Le reste en images.             Ainsi à en croire les endormis de chaque bord il y aurait d’un côté le monde dévoyé à ne pas toucher et de l’autre côté l’infaillible impeccable voie morale de la FSSPX. Caricature. Se servir des outils enseignés en école de commerce pour les employer dans un combat de Bien Commun. Voilà le véritable travail trans-courants. Encore un travail chiant et jamais fait. Tous les baromètres indiquent que la haine contre la race blanche a atteint un niveau absolument fantastique, quelque chose de l’ordre d’une prophétie biblique. Sait-on par exemple que le nombre de personnes que l’on peut raisonnablement classer comme « White » est récemment entré, dans l’indifférence générale,  en récession aux USA ? Or, non seulement plus personne ne veut lire ces baromètres  parce qu’il n’en a pas l’envie (aucun « vigilant », que des « endormis », les races n’existent pas vous voyez bien Madame Michu) mais surtout très peu de personnes peuvent décoder un message disséminé sur plusieurs fronts à la fois. Pourtant c’est simple : 2012, que disent les journaux ? Que disent les films qui sortent au cinéma ? Que dit la pornographie ? Que disent les partis politiques ? Que dit le rap ? Que disent les filles ? Que disent les garçons ? Qui entre en Europe et qui en sort ? Qui engorge les hôpitaux et qui engorge les tribunaux ? Et au-delà des constats laborieux, chiffrés, écrits, que dit simplement l’air du temps que l’on respire par tous les pores de notre peau ? Que te dit ton instinct ? Un test de ce genre convaincra du niveau d’endormissement de cette population foutue, en phase terminale. « Personne ne bouge », oui personne ne bouge. Le principe de la caméra cachée (François Damiens, Laurent Baffie, Pascal Sellem…) permet de bien lire une population. Que voit-on ? Des gens qui lorsqu’ils sont pris au piège adoptent une posture de docilité incroyable. Les rares fois où ces affaires de caméra caché ont mal tourné c’était avec des CPF mais ça personne ne le dit. On a d’un côté une population dressée à réagir au quart de tour face à l’imprévu et de l’autre côté les sempiternels « endormis ». Tout cela n’augure rien de bon. Un principe supérieur téléguide les choix et les modes de vie. Pour avoir une fille il faut « payer ». Payer de la valeur que l’on représente sur le marché, payer de son temps, de son énergie, de son argent. Jamais fille ne paie vraiment, mais elle vit sur les dépenses du bonhomme. Cherchez celle qui paie pour le mec, celle qui se bat pour lui, celle qui l’aime (vraiment) encore lorsqu’il a échoué (vraiment). Y en a pas plus que de filles désirables mariées à des agriculteurs. C’est complètement verrouillé. Les nouvelles sont mauvaises. On ne peut même pas se battre. Les jeunes filles habillées en pute essaient de ressembler à celles des affiches qui jalonnent le chemin de l’école. Tous ces gens qui bouffent pour passer le temps. C’est effrayant comme ils bouffent. Frontières, cloisonnements, caricatures. Chacun joue sa partition, chacun incarne son stéréotype, chacun mange ce qui se trouve dans son assiette. C’est soit « elles n’ont pas de valeurs » mais sont belles et attirantes et leur mise est soignée, soit « elles ont des valeurs » et c’est pas ça. C’est à peu près tout. La quête très naïve se heurte dans le monde réel soit à la salope impitoyable soit à la dépressive-déprimante un peu cracra. Trop de bons garçons ont été écoeuré par la salope impitoyable et rebutés par la dépressive cracra. Et que pouvaient-ils faire ? Trop de nerfs de toute manière. C’est une maladie. Solitude, orgueil. Se débattre dans un piège. Cernés d’ennemis invisibles, acculés au mur, strangulés de problèmes insolubles, seuls. « Il n’y a rien à faire ». Sur-femmes contre sous-hommes. Honnêtes travailleurs contre savants lâches. Triomphe des salauds, triomphe des seuls salauds et d’aucun autre. Paris 17 millions d’habitants. Kilomètres de barres d’immeuble, traversée du désert, seul. Fatigue du sens. Les salauds se repaissent, ils ont tout leur temps. Ils maîtrisent l’art d’avoir raison, ils savent convaincre que le mal c’est le bien. Ils sont plus forts, plus riches, plus nombreux, et leurs paroles qui flattent l’oreille promettent des choses agréables. Trop de temps a passé sans que la tant espérée Justice ne soit rendue. Les barres d’immeuble ? Personne n’est responsable. Il le fallait. Et c’est comme ça. Et puis tant pis. Et puis c’est tout. Personne n’est du bon côté, personne n’a de compassion. Ils veulent que les bons disparaissent. Le combat, l’amour et l’indulgence ne va qu’à eux, que pour eux, que contre les bons. Mourir sans enfants. Noyade. Le regard implore et le corps s’épuise dans l’eau glacée, terreur et hoquets. La noyade, mort en conscience, en silence. Damnés, coupés de la source vive. Ça ne veut pas. Dans les veines  coulent péniblement un ruisselet pauvre et lent comme une boue. Qu’est-il arrivé ? Valeur zéro sur ce marché ou l’on stationne en vain, et la vie adresse ses injonctions implacables. « Marche ! ». Sous les fardeaux sous les crachats sous le fouet, comme des bêtes comme des esclaves comme des damnés. Tout espoir est vain, toute ébauche est raturée, tout est biaisé tout est vicié. Ça ne veut pas. Apnée trop longue, parcours qui n’arrive pas, travail sans salaire. Agriculteurs morts sans enfant, suicidés et stériles.  Salauds au nirvana, gavés repus en orgasme continu. Il faut visualiser de nombreux détenus forcés en file le long d’étroits couloirs de métal sans issue, ils ne sont d’aucun secours les uns pour les autres, isolés, comptés et  livrés sans défense en pâture à des monstres pour la distraction de ricaneurs. Elevage de chair femelle disponible, butin de pillage, esclaves joie de bourreaux, aubaine, jouet, stock, enjeu. Dernières parcelles d’innocence passées à la moulinette des galas d’école de commerce, au rouleau-compresseur des dimanche lorsqu’il est quinze heure trente et qu’il ne se passera rien, et que dehors la pluie recommence à tomber. Gagner du temps. Le fruit de la gabegie c’est le bordel et ça prend beaucoup de temps pour remettre en ordre le bordel et pendant que l’on est occupé à cela le temps passe, et plus le temps passe et plus le pourrissement avance. Le diable gagne du temps pour qu’un jour on se réveille devant le fait accompli.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci d'utiliser, au minimum, un pseudo.
A défaut, je supprimerai le commentaire.
Merci à vous!