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mardi 18 août 2015

28 JUILLET 2013 - Hallal et casher

Hallal et casher

ACTUMUTATION — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 28 JUILLET 2013 À 21 H 04 MIN 
L’abattage de bétail français par des « sacrificateurs » affiliés à des traditions étrangères et disons-le, arriérées, recèle un sens très fort. Un sens que nous n’avons pas vu faute d’analyser les situations avec autre chose que la raison raisonnante et qui comporte je crois 4 aspects.
 
Un sens caché
Au moins une de ces deux religions professe l’interprétation suivante de la Bible : « Le peuple de Dieu c’est nous et rien que nous et tous les autres ne sont pas des humains mais des animaux. Nous sommes issus d’un peuple qui paissait des troupeaux d’animaux au désert avant de les égorger au temple en sacrifice pour expier nos fautes par transfert de culpabilité. Désormais, avec le processus historique, nous ne paissons plus des troupeaux mais des «nations » que nous avons le droit de soumettre, tromper et éventuellement livrer au massacre si nécessaire. »
Voilà un point de doctrine qu’il faut connaître. Ils appellent ça pudiquement un commentaire. Ainsi leur cruauté envers les animaux ne serait que le masque de leur cruauté envers les « non-eux ».
 
Un sens symbolique
C’est le bétail des autres, pas ton bétail à toi gros huileux buté barbu à pieds plats. Pour élever un seul bœuf ou mouton il a fallu toute la science, tout le labeur, tous les suicides et tous les matins gris du paysan français de Lorraine agoni d’injures et d’indifférence générale. Il a fallu défricher des forêts, planter des clôtures, tatouer les bêtes, les nourrir et les vacciner, les rentrer à l’étable et les panser, il a fallu mille peines et soins chaque jour répétés, un travail dont les sphères géographiques du hallal et du casher sont très incapables (preuve en est ces réalisations locales médiocres voire absentes). Ce travail vaut beaucoup plus que les misérables sept cent euros par carcasse sèche payés à l’éleveur, argent qui n’est même pas le produit du travail créateur et du mérite mais l’argent des impôts des honnêtes gens (gens affiliés ni au hallal ni au casher).
L’éleveur construit, le crasseux barbu brouillon détruit. Et paie avec un argent qui n’est pas le sien. Labeur et soins quotidiens pendant années contre égorgement et agonie de 15 minutes. « Elever » contre « abattre ». Quel plus parlant symbole faut-il d’autre pour réveiller en soi le sens de la justice et de l’équité ?
 
Un sens imagé
Le progrès technique permet d’étourdir par électrocution  l’animal pour qu’il ne souffre ni ne se débatte lors de la saignée. Les pensées arriérées s’y refusent en se justifiant par 2 mensonges :

-          « Il faut que l’animal crée par Dieu pour nous soit en pleine conscience et santé au moment de l’abattage et que l’on rende grâce par une formule orale ». Faux. On rend les grâces avant de manger pas avant de tuer voilà la vraie Justice au sens religieux du terme. Associer systématiquement Dieu créateur à la mort et au sang d’autrui, même d’animaux, a quelque chose de profondément antinomique et malsain.

-          « Il y a un nerf magique sous la jugulaire qui, sectionné avec l’artère, anesthésie toute souffrance chez l’animal ». Ah tiens. Alors pourquoi l’animal se débat-il et respire-t-il encore jusqu’à 15 minutes après ?
Ainsi on se sanctifierait par la « pureté » des nourritures qui entrent dans la bouche ? Le bon sens enseigne exactement le contraire : on se sépare véritablement du bas monde corrupteur en gardant pur ce qui sort de la bouche à savoir les paroles qui ne sont que le produit des pensées intimes. Voilà la vraie gageure en matière de sainteté. Car combien de prétendus impeccables dévots* s’enorgueillissent de manger hallal-casher mais tiennent un langage ordurier, regardent le cul des filles qui passent et se laissent aller à tous les péchés (paresse, envie, jalousie etc…). Quel exemple, quelle crédibilité donnent-ils ?
Dernier élément révélateur de la crispation sur l’abattage à la barbare : est-ce bien là un point si capital de « bien égorger » ? Est-ce là toute la contribution très primordiale que l’on souhaite propager? N’y a-t-il pas d’autres propositions plus positives à émettre pour améliorer sa vie et celle de ses enfants ? D’autres domaines dans lesquels montrer une exemplarité morale ?
Derrière tout ce cinéma il y a surtout la jouissance sadique de donner la mort légalement, de s’arroger une dérogation spéciale à la violence et au sang, de répandre une sorte d’avertissement spectaculaire dans la société, une volonté de siéger et de régner sur du bétail sans défense bref derrière tout ce cinéma on trouve ce qu’il y a de plus bas et de lâche en l’homme.
 
Un sens littéral
La proportion d’abattoirs hallal et casher rapportée aux abattoirs traditionnels est tellement écrasante que les chiffres sont cachés au grand public.
Il n’y a pas « le » hallal et « le » casher il y a des dizaines et dizaines d’abattoirs hallal et casher alors que cela ne correspond à aucun besoin, à aucune tradition française et à aucun signe de la plus élémentaire gratitude envers un pays d’accueil généreux et nourricier.
Sur ce sujet comme sur tant d’autres (le niveau des impôts par exemple) il y a simplement trop.
 
 
* La photo a vocation à illustrer la notion de fausse dévotion. Ce personnage n’est autre que le français converti qui a tenté d’étrangler un policier qui contrôlait sa femme intégralement voilée à Trappes et qui a provoqué plusieurs jours d’émeutes (aucun mort par miracle une fois encore). Stupéfiante capacité mimétique du type qui a pris non seulement les vêtement mais aussi l’apparence physique et le même genre de regard haineux que ceux à qui il veut ressembler. Tout dans les signes extérieurs visibles: vêtements, bavardage, scandales en public etc…

28 SEPTEMBRE 2013 - Grenoble Villeneuve

Grenoble Villeneuve

ACTUSOZIAL — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 28 SEPTEMBRE 2013 À 22 H 02 MIN 
Il y a un petit scandale en ce moment à propos d’un reportage d’Envoyé Spécial qui aurait osé montrer le quartier de la Villeneuve sous un mauvais jour. Pour rappel la Villeneuve est l’un des pires quartiers de racailles de tout le Rhône-Alpes.

Michel Destot le maire socialiste en place depuis plus de 10 ans et son adjoint intitulé Jérôme Safar ne sont pas contents du tout de la tonalité du reportage. Ils reprochent à Envoyé Spécial d’avoir « mal parlé par rapport sur les frères ». Ce ne sont pas leurs propos exacts mais c’est l’esprit de leurs récriminations.
Grenoble je connais bien. Destot je connais je l’ai vu de très près, lui ai parlé plusieurs fois. Déjà je peux dire qu’il a une haleine pénible comme 20 bacs de compost. C’est pas Dieu possible de casser autant du bec surtout à un échelon aussi élevé. Le tutoiement vestimentaire s’étendrait-il au buccal? Faudrait-il en déduire un diagnostic primaire du style « de toute façon un gauchiste c’est crade ça pue »? Ce serait faire injure à l’injonction de complexité du réel. Certains gauchistes puent MAIS PAS TOUS.
Sous son mandat la ville de Grenoble qui dans les années 90 était déjà en pointe pour le niveau de violence de ses racailles (dans les années 90 il n’y avait guère de racailles encore qu’à Marseille, Toulouse, Lyon, Grenoble et la région parisienne. Et puis tout est allé si vite c’est fou…) a pris la tendance « Rio » que Vertume avait décrit dans un très bon article: gentrification des quartiers moyens et racaillisation des quartiers à problèmes.
Le dénommé Nabil qui apparaît au début du reportage est ce Nabil ci.
En bonne salope, lorsqu’un maire incapable, vendu aux plus dégoûtants lobbys, et responsable de la montée en puissance des racailles sur son territoire s’indigne, c’est pour protéger ses racailles chéries. Pas pour protéger les pauvres cons d’innocents que les pompiers ramassent parfois dans une mare de sang faut pas confondre! Cela n’indigne pas beaucoup Destot et Safar qui ont d’autres priorités: subventionner par millions d’euros des associations inutiles et malfaisantes, donner par piston des postes très bien rémunérés en argent public à des gens choisis pour leur appartenance communautaire, bref dépenser un argent qui ne leur appartient pas contre ceux à qui cet argent appartient.
A la 9ème minute voici la racaille gauchiste directement responsable de la construction de cette Ville-neuve, concept « pour remettre tout en cause, repartir à neuf et essayer de créer des rapports nouveaux entre les gens » textuel. Ces gens là ont barré depuis longtemps jouir de leur retraite d’enseignant ailleurs, avec leurs livres, leurs clopes et leur piano. Les racailles ils voulaient pas apprendre le piano c’est ça qu’ils trouvaient bizarre. Seuls sont restés la bande de vieux cons que l’on voit à la fin.
Grenoble bastion gauchiste de la gauche la plus inculte crasse et vendue à l’étranger, demeure un laboratoire très performant pour constater années après années quels genre de fruits pourris donnent l’arbre de la liberté: écoles anarchiques, professeurs de plus en plus crasseux, chômage, laideur architecturale, toute-puissance des racailles d’en bas et des racailles d’en haut, énorme taux de dépression et de pathologies mentales, énorme taux de divorce, surreprésentation de faits divers sordides, marasme des classes moyennes et de la jeunesse française de souche… bref tout ce que l’on connaît déjà partout ailleurs mais en plus caricatural encore, en mieux verrouillé, en encore plus concentré, encloué, rivé, scellé sur le dos des pauvres français moyens priés de faire avec. Tout pour ceux qui coûtent, rien pour ceux qui paient.
La Villeneuve a été pensée par une équipe de sociologues il faut bien s’en rappeler toutes les fois qu’une énième catastrophe se déroule dans ce paysage de coursives interminables tout jalonné d’embrasures et de coupe-gorges plus vicelards les uns que les autres. Racailles ne pouvaient pas rêver décor plus propice, plus sûr,  plus ouaté. Bijou l’explication de l’urbaniste coresponsable de toute cette merde « des problèmes? Y en a pas plus que dans les autres quartiers!« . Bijou la réunion des vieux gauchistes dont l’un émet un soupçon de prémisse de doute sur la viabilité de son vivre-ensemble parce qu’il s’est fait taper sur la gueule par des racailles qui incendiaient sa voiture. Evènement tellement révélateur d’un phénomène tellement plus vaste : pour que les gauchistes cessent leur déni il faut qu’ils soient pris à parti directement et physiquement par ce qu’ils ont engendré. Jamais les mots, la « pensée », la réflexion et le dialogue qui leur sont si chers ne les ont fait, en 30 ans, avancer d’un seul yard, fixés qu’ils sont dans leurs certitudes, leurs privilèges, leurs petites joies de cocu, leur merde. Chez ces gens connus pour leur mépris de l’activité physique et des manières martiales le coup de poing dans la gueule a valeur de retour du refoulé.
Jamais ces lâches ne feront leur autocritique et jamais les vautours qui tiennent les leviers de la ville ne feront leur travail de protection des contribuables qui les paient. La première chose qui leur est venu à l’idée est de lancer une pétition contre la chaîne qui a diffusé ce reportage (reportage qui n’exagère en rien les problèmes de la Villeneuve, et tous les Grenoblois qui connaissent les lieux pourront confirmer) pour « demander des explications ». Messieurs Destot et Safar veulent qu’on leur explique.


 
 
Pour approfondir sur la Villeneuve, l’article de Bouteille à l’amer.

18 AVRIL 2013 - Envoyer d’autres chères pensées

Envoyer d’autres chères pensées

RÉCIT — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 18 AVRIL 2013 À 21 H 56 MIN 

L’après-bac je l’imaginais grandiose, le genre grand esprit et grandes manières, Edouard Baer et Jacques François, lampes dans les coins et plafonds à moulures. Mais cette jeunesse à Grenoble s’est passée surtout dans les taudis, le vacarme et les odeurs de merde.
« Non moi j’interviens pas ça me regarde pas c’est les business à Fred-le-crado ça… « . Cette explication avait le mérite de mettre un nom sur une figure, et quelle figure! Fred-le-crado  assis par terre sur le bitume les yeux embués dans le vague, beuglait des explications incompréhensibles à cause de l’ébriété et d’un nez bouché bulleux de morve sanglante sur un visage cabossé par les coups. Il était comme ça assis au milieu de la foule les jambes tendues, le buste droit comme un petit enfant dans son parc à jeux. Et il avait beau articuler le type debout en face ne voulait rien savoir, non vraiment l’accusation « d’avoir mal parlé à sa meuf » demeurait. Et la meuf ressemblait à Mena Suvari dans American Beauty, et le type était le parfait riche beau gosse à frais polo et tronche de Corto Maltesse, et Fred-le-crado ainsi surnommé dans le milieu des « moisis » occupait quant à lui le plus bas cran de l’échelle de la séduction. Et le riche beau gosse a déclaré « t’as pris une trampe ça c’est pour lui avoir mal parlé la première fois !»… et il a rajusté ses lunettes de soleil. « t’as repris une trampe c’était pour m’avoir mal parlé à moi ! »… et il s’est campé immobile. BAM « et ça c’est pour la route ! », énorme coup de pied rotatif sans prévenir PLOF ! fort gracieuse volte toute jambe tendue en arc-de-cercle en pleine tête de Fred-le-crado dont le buste prolonge de suite le mouvement comme un compas brusquement ouvert, allongement parfait sur le bitume tête la première. Et le « oooooooh » de la foule étonnée… Jamais suprématie du beau sur le laid, du riche sur le clochard, de la santé sur la maladie ne fut à ma connaissance plus triomphale, plus incontestable, plus totale. La rumeur de la rue ne pouvait même pas défendre Fred-le-crado coupable d’avoir « mal parlé ».
Les empoignades, les gueulantes les geysers de mousseux, les éruptions spontanées de vie vivante lorsqu’on se tordait de rire dans les allées d’immeuble à cinq heures du matin, ces moments comme des enclaves d’air pur au milieu du vide sidéral cosmique infini néantissime.
« wouhouhou »
Hipsters c’est le magasin Colette qui vous a permis d’exister et vous ne le savez même pas.
« Oué mais je crois les krétchiens y mangent dju por jkroi. Et aussi de l’Al-Kohl. Et aussi ils ont commis le pire krime contre la divinité c’est que c’est des associateurs. Aya ç’pas bon… »
Derrière la fenêtre il y avait la rue. Et dans la rue il y avait les multiples possibilités de l’inconnu qui allaient s’amenuisant avec le temps et forçaient d’autant plus à aller les affronter avant qu’il ne soit trop tard. Tous ces kilomètres de désolation grise c’était l’affreuse injonction du temps qui passe ponctué d’un gros point d’exclamation tout au bout.
Bouffer pour quoi faire? Les apports glycémiques ne font que maintenir un douloureux éveil au monde. Jeûner? Seulement un jour de jeûne et l’on ne pense plus qu’à bouffer. La voilà à peu près la « condition humaine ».
Maître Babouin de son arbre perché descend invité par les mages
Votre mission: découvrir les besoins du client. Vous constituer votre portefeuille-client. Vos atouts pour réussir: votre résilience, votre aptitude à convaincre. Ce que nous offrons: un environnement motivant, des commissions déplafonnées et des perspectives d’évolution rapide. Nous cherchons moins le prestige des diplômes que les compétences du candidat.
Parfois les vrais salauds se font réellement choper. Et très vite la presse s’en désintéresse, cesse bizarrement toute investigation.
Voici comment savoir sans se faire happer par l’information: Zapper toutes les chaînes de la télé en coupant le son pendant 5 minutes puis éteindre. Cela suffit pour être informé.
Au fur et à mesure des années l’éclairage sur les plateaux de télé s’est intensifié.
Dans l’émission de Ruquier chacun prend parti pour tel ou tel camp oubliant que le vrai salaud fouteur de merde c’est Ruquier.
Ardisson avait additionné toutes les qualités nécessaires pour réussir: demeurer extrêmement neutre mais enjoué, impossible à cerner, impersonnel, intemporel, toujours semblable. D’allure ni typée ni fade, inclassable, impossible à coincer même en cas de faute. En effet il parvenait à se justifier d’une manière à la fois posée et pugnace en usant d’arguments imparables. Seules les pires raclures de la planète savent bien faire cela: les grands avocats, les chefs des ventes « grands comptes », les grands intermédiaires.
En principe les escrocs se vantent dés qu’ils ont fini : « yeaah lui je l’ai bien enculé! « . Ils relâchent la pression, ils ont ce bref instant de détente où ils exultent, ce « trajet-retour » où ils reviennent à la base. Ils sont doubles et l’assument. Mais les très grands escrocs eux, se sont rivés le masque d’arnaqueur tellement profondément dans la chair qu’ils ne se vantent même plus, qu’ils ne débriefent même plus. Passés complètement de l’autre côté ils semblent à peine avoir encore conscience de la frontière entre vérité et mensonge. Ils sont cohérents avec eux-mêmes. 
La fille était tout juste majeure et redoublait sa terminale. Elle avait pris sans autorisation la voiture de ses riches parents partis en voyage pour « aller faire la fête » à 150 kilomètres de l’autre côté de la frontière pendant tout le weekend. Elle engloutissait des verres de vin dans un bar, puis achetait une bouteille chez un paki, cavalait à toutes les enseignes éclairées, gueulait, aguichait, remontait dans sa bagnole, conduisait un peu plus loin, hurlait un truc à sa copine par-dessus la musique tout en consultant des SMS fréquents, zappait du virtuel au réel avec un sourire halluciné  appelait un sex friend indisponible puis un autre, puis déposait ses amis dans une boîte avec pour projet de repasser les prendre à 6 heures du matin puis fonçait charger un troisième sex friend à l’autre bout de la ville pour passer la nuit chez lui car elle n’avait plus assez d’argent pour l’hôtel. Cette fois j’étais complètement largué.
Emma West
Il est extrêmement facile et lâche de s’acharner sur l’anglaise Emma West. Elle était seule contre tous et elle a parlé comme un homme, mieux qu’un homme, lionne clanique fidèle sortie d’une carte chance qui ose bien en face, porteuse rarissime d’une parole dure aux étrangers et douce à son prochain, inacceptable disparité qui a plongé le monde dans la stupéfaction, menace dix fois plus pernicieuse que le racisme d’homme : le racisme de femme jolie et pauvre. Sa colère trahissait la vraie pulsion de vie, la  vraie folie de perpétrer son clan dans le monde contre le monde malgré le monde, d’y faire vivre son gamin le seul blond de toute la rame contre toute la rame bientôt contre tout le pays ligué contre elle. C’est peut-être le fait divers étiqueté  » identitaire  » le plus important de ces trente dernières années si l’on sait bien le regarder.
En comparaison les trois quarts des meufs répandues dans ce qu’on appelle l’Occident sont des meufs de MERDE de la honte de la merde, il faut être un peu maghrébin comme moi pour le comprendre. Tous ces Blancs là à genoux devant léfemmes (sacrées) qui sont précisément la cause de tous leurs malheurs je les méprise je leur pisse dans la gueule ils ne savent pas ce que c’est qu’une femme, que ça peut être cent fois mieux que les boulets qu’ils traînent. Je n’ai jamais hésité à dire en face à une meuf de MERDE qu’elle était une meuf de merde et je préfère la solitude à la honte c’est parce que je suis beaucoup plus con que la moyenne. Nous avons été dressé comme des chiens depuis l’enfance à courber la tête devant la plus ignoble ingrate traîtresse ennemie imaginable figure féminine qui soit: la figure « plus athée que soi », « plus à gauche que soi », « plus canaille que soi », « plus indépendante que soi ». Il faudrait c’est exigé, pleurer transporté d’émotion devant « cette femme si forte si libre » barrée avec les meubles après calcul du ratio risque/magot. C’est les chansons de Julien Clerc, c’est le Mariage de Figaro, c’est toute cette merde… Mais lorsqu’on quitte la France, lorsque l’on se sort la tête du cul on se rend compte qu’il existe ailleurs d’autres missions mises dans les mains des femmes que l’hostilité, le divorce et la fuite avec la sève escroquée au bonhomme. Le grand malheur on s’en rend compte à l’étranger c’est que « nos » femmes sauf exception n’ont jamais l’instinct de vie ET l’instinct de clan mais soit l’un soit l’autre.
Si chaque grande ville de France comptait seulement un petit millier « d’enragées volontaires » de l’espèce de Emma West et de Jacqueline Woodhouse alors nos ennuis seraient résolus très rapidement. Personne, aucun cargo d’immigré, aucune pelletée de crépu d’ou qu’ils sortent, aucun décret-loi, aucun serpent racailleux cannabique, aucune loi aucune industrie aucun principe frauduleux, aucun lobby même le plus immonde ramassis la plus concentrée fourmilière de cafards richissimes déchaînés de racisme à mort anti-blanc ne peut tenir une seconde la distance contre une femme qui a décidé d’avoir ce qu’elle veut.
Une seule Emma West donne à penser sur ce que pourraient être toutes les autres femmes si elles se réveillaient. Remorque de tracteur si lourde à tirer, tronche de lendemain de fête si laborieuse à animer, qu’est-ce que tu as porté comme projet de vie, comme foi, qu’est-ce que tu as chéri en secret, qu’est-ce que tu as produit concrètement, qu’est-ce que tu as fait à part essayer de ta-mu-zer? Sale grosse putain? Quelle vision tu as de toi-même à part la matronne ou la soumise, le tri-orifice réceptacle à foutre pour plus gros taureau possible, la molle vautrée pieuvre humaine avec tentacules psychiques intégrés pour succionner la moelle « gentil garçon », pour obéir à tous les exacts parfaits clichés misogynes les plus haineux, les plus ancestraux sauvages schémas reptiliens tous inscrits en filigrane de chaque page de magazine féminin? Les gros porcs Pierre Woodman sodomisateurs ont toujours proclamé leur « amour de la femme », ils ont bien compris eux, « comment il faut parler aux femmes »! pour transformer 3000 adolescentes prolétaires slaves en putes internationales sans être inquiété. Est-ce que jamais pourrait germer chez toi une ébauche d’authentique sentiment fraternel, de protection de la vie des siens d’abord avant le maquereautage par les idées et les étrangers, ce serait déjà un bon début, et « sentinelle de l’invisible » on verra après… Il existe toute une échelle de degrés disponibles entre la « Vierge à l’enfant » et « Yzraack’s anal whores #4 Ben Kalkenstein L.A. production » mais tout démontre un tropisme vers la deuxième solution rendue beaucoup moins choquante, beaucoup plus libératrice tout compte fait (tout 20-ans-dans-les-bagnes-de-l’EN + magazines-lus + bavardages + sa-propre-opinion fait).
Bénie sois-tu Emma West, madone à l’enfant, vivante insulte dans leurs faces, l’honneur retrouvé des authentiques opprimés, l’audace des tièdes la force des faibles briseuse de chaînes. Nombreux en secret t’admirent te révèrent te vénèrent pour cette simple toute petite diatribe inédite montée en épingle jusqu’aux tribunaux. J’espère qu’ils étaient aussi nombreux pour t’y applaudir. Pendant que la société de prostitution légale LA Direct Models propulsait sa chair humaine sur le devant de la scène et qu’Hollywood façonnait la Golem Naomi Watts pour les savants rôles de putain que l’on sait, pendant que tout ces infrasons grandissant en bruits du monde ravitaillés par millions de dollars retentissaient sur les cinq continents il y avait une petite souchienne de Whitechapel qui pour de vrai, gratuitement, sincèrement, individuellement, avait rétabli l’authentique  »stand up speak up« . Puisse la France se couvrir de converties Emma West toujours plus insolentes, plus étonnantes, plus loyales, plus à craindre. Il n’y a pas de menace plus terrible à leur monde qu’une jolie femme raciste pauvre. Milliers de fleurs devant vos portes.
So raise your hand and learn to love your land for the white revolution needs your uncorrupted hand. Le pays, la race, la tradition ce sont les vraies épreuves divines sur terre pour pour éprouver le « Gardien de son frère », pour prouver que l’on aime son prochain, son comme-soi, que Charité n’est pas une parole en l’air. Les vicieux disent que le pays est une idole, ils font semblant de ne pas comprendre.
On sait très bien ce qu’il faut faire pour stopper l’immigration: couper les robinets à subvention de l’Etat providence car ils agissent comme des pompes aspirantes.
Il faudrait pouvoir une seule fois se dépêtrer tout entier du grand mensonge juste pour le survoler un instant et le décrire tel quel, le gueuler bien fort en une seule phrase de 300 pages et alors on aurait accompli son devoir pour toute la vie.
« Exciting job opportunities« . On peut résumer tout travail dans un bureau à cette sentence: « Etre assis face à un ordinateur dans une salle fermée éclairée au néon ».
Signifiant
Signifié
Occuper une salle fermée
Coupure avec le « cosmos » (air, saisons, météo, nature, jour et nuit…)
Eclairage permanent au néon
Maintenir artificiellement un jour très mal imité
Assis
Seule la tête travaille, le corps est inutile
Face à un ordinateur
Attention continuellement et uniquement et totalement happée par ce qui se passe à l’intérieur du cadre de l’écran
Sollicitations de tiers
Brise la continuité d’un raisonnement
Tâches données de façon impromptues
Retire toute cohérence à la journée de travail
 
En fait les emplois de bureau constituent la seule survivance du fascisme tel qu’on se le figure.
MC Jean Gabin et le groupe Orties illustrent respectivement la vraie subversion et la fausse.
Dans une guerre les meilleurs hommes du pays se font tuer et à la fin il ne reste de vivant plus que les femmes et les malins planqués. Ces derniers font alors venir des immigrés pour remplacer les morts. C’est toute l’histoire de la France depuis 1789: mourir trompé par des malins planqués et c’est pourquoi il faut ne jamais jamais aller à la guerre.
Les vieilles matrones de paroisse sont l’impression en creux des jeunes salopes de ville.
« mais lorsque nous sommes avec des amis-euh tu ne me valorises pas asseeeez… »
Depuis que j’ai « découvert » des choses assez dérangeantes il y a 2 ou 3 ans je n’arrive plus à penser pareil qu’avant sur certains sujets à risque. C’est quelque chose de très embêtant que de ne plus parvenir à nier que nous vivons effectivement sous une tyrannie ***** et *************. C’est un cliché qui court depuis des siècles. C’est parce que cela fait des siècles que ce cliché est vrai.
Les populations préfèrent le bobard ***** car il apporte de la tranquillité, et la tranquillité est un bien très précieux.
Chrétiens ces gens à qui vous faites les yeux de l’amour ont à peu près autant envie de se convertir à la Vraie Religion qu’une jolie jeune bourgeoise de se marier avec un ouvrier vous voyez? Ils n’y ont aucun INTERET.
C’est un péché contre Jésus que de leur faire du gringue et un péché contre Dieu que de les craindre.
Le joug que les psaumes vous appellent à secouer c’est le joug de leur tyrannie.
Personnellement je n’en reviens toujours pas.
Quand on sait cela il vaut mieux faire semblant de ne pas comprendre ou fuir dans le bavardage d’ordre général en argumentant de manière désincarnée. Comme si l’immense mensonge n’était pas très incontestablement incarné justement, visible, factuel. En face d’une prise d’otage se mettre à pérorer sur « le concept du libre-arbitre de l’otage » tout en levant les mains c’est avouer son incompétence. Que l’on réponde sur les faits seulement, tout le reste n’est que vanité, vautrage dans l’abstrait, bavardage qui entretient le bavardage.
Les faits concrets les voici. Surreprésentation extraordinaire des gens de ce sérail dans les domaines suivants: production et diffusion de la pornographie, origine des armateurs de bateaux d’esclave, trafic de drogue, plagiats de livres et d’idées, incitations à la haine de la France, incitations à la haine de la race blanche, incitations à la haine de l’Eglise, conceptualisation et diffusion du gender, mariage gay, dead white males, suppression/modification du nom de famille, élévation des taxes sur héritage, diffusions d’image pour grand public qui représente le métissage systématique d’un Noir et d’une Caucasienne, entretien de mensonges et d’exagérations sur un martyrologe passé pour culpabiliser d’avance les gens qu’ils persécutent, appauvrissement des Français qui les accueillent par intrigues fiscales à l’intérieur de l’Etat, truquage des informations participatives dans Wikipédia, financement colossal des campagnes d’Obama et écrasante majorité de vote communautaire en sa faveur aux deux élections, triche et cooptation communautaire pour squatter les jobs importants et valorisants, origine de la législation sur le divorce et surreprésentation dans les avocats spécialisés dans les divorces, lobbyisme pour les manipulations génétiques type GPA, mise en place de structures pour favoriser l’immigration et l’impunité de la délinquance.
C’est une toute petite partie des faits visibles. Répondre sur les faits seuls ou se taire.
Comment savoir si un artiste est un vrai artiste et non un escroc? En le mettant à l’épreuve de la poésie et du lyrisme. S’il n’est pas capable d’en produire c’est qu’il est un escroc.
Il y a chez les vieux hommes bien habillés l’accomplissement de la promesse selon laquelle on se bonifierait en vieillissant. Or l’écrasante majorité de vieux qui s’exhibent hirsutes, déboutonnés et affublés de k-ways multicolores témoignent du contraire.
Il n’y a plus de vrais vieux. Il y a 20 ans les vieux étaient les derniers tenants d’une tradition millénaire. Aujourd’hui les vieux sont les derniers tenants des commencements de la subversion.
Les plus belles pages sur l’enfance et la mission de l’école figurent dans un livre intitulé « Les beaux draps ».
Élève puis étudiant puis employé de bureau, conducteur de voiture et mangeur de soupe en sachet, homme du 21ème siècle à quoi t’ont servies tes larges épaules?
Les réponses des prélats sont souvent hors-sujet. Ce n’est pas d’avoir été chassé du paradis le problème mais d’avoir été chassé de la possibilité du paradis.
Chienchien à sa mère, chienchien à sa meuf, chienchien à son salaire. Force canalisée dans un entonnoir, passée au tamis, filtrée, assaisonnée  mise à rassir, mise à tiédir, serrée de ficelles de contention, servie nature.
Dire merde à son père c’est facile. C’est dire merde à sa mère que très peu de gens savent faire.
Ensevelis sous des montagnes de textes depuis l’enfance, forcés à s’asseoir  à écouter, à noter. Dés le CP on vous force dans l’abstrait incapacitant inextricable.
« Ce qu’elles veulent ». Puisqu’elles portent la vie alors la somme des êtres vivants est nécessairement l’image de la somme de ce qu’elles veulent.
Les métis sont les agents dormants d’un chaos télécommandable à distance, qui se repaissent disséminés dans l’harmonie.
Les champignons poussent sur les souches rases.
La sélection naturelle n’est jamais gratuite. Les mères qui ont enfanté des métis n’ont pris aucun risque face à la société au contraire: dans un monde entièrement asservi à l’antiracisme elles savaient que l’enfant grandirait porté par tous les favoritismes.
Il n’y a pas mieux barré dans la vie qu’un métis et un fils de riche. D’ailleurs les métis sont les fils de riche des crevards.
La conscience de ton intérêt fait surface en un éclair dans certaines situations qui engagent la survie: les bagarres et l’accouplement.
Ce sont surtout des desouche qui se suicident, partent en HP, ne quittent plus leur lit.
Plus les Blancs se raréfient et plus la vie devient difficile d’abord aux Blancs qui restent, puis aux autres groupes qui réalisent trop tard que leur confort provenaient des Blancs.
Dans un monde où l’immoralisme et la transgression sont la norme, seul le racisme a vu son niveau d’interdiction augmenter.
Le rythme intérieur d’un adolescent ne peut pas survivre aux centaines d’injonctions extérieures par minute qui émanent d’une grande ville et qui brusquent, salopent et barbouillent les balbutiements de son être profond.
L’adolescence et surtout l’âge étudiant sont l’époque de la plus grande vulnérabilité et par conséquent de la plus grande soumission aux codes et aux modèles les plus tyranniques.
La vraie tyrannie ne provient pas d’une autorité verticale mais d’une injonction horizontale, d’un contrôle émanant de tes alter-ego et non de tes supérieurs.
Toutes les grandes entreprises coercisent les employés en leur suggérant un intérêt à contrôler le collègue, jamais en faisant régner une terreur visible directe.
Il faut toute la bêtise et la prétention d’un diplômé d’ESC de gauche pour que le contrôle horizontal puisse régner sans susciter de récrimination efficace.
L’ambiance détendue, le tutoiement du manager, et le « casual friday » sont non seulement des attrape-nigaud mais des concessions que personne n’a sollicité et qui n’améliorent en rien la réussite professionnelle concrète.
Les « company’s values » dont tu as tant chanté les louanges sont précisément celles qui t’ont perdues.
Le manager employait des « grandes gueules self-confident » pour forcer les ventes? Il a fini débordé par ses employés pleins d’aplomb pour ouvrir leurs grandes gueules retournées contre lui.
En fait tous ces gens sont restés des enfants rivés aux rails de l’école. Ils n’ont jamais rien pensé par eux-même, ont toujours eu la peur du surveillant, ne se sont jamais vraiment rebellés. La vraie rébellion s’attaque au vrai pouvoir. Le monde blanc chrétien de droite n’a aucun pouvoir car il n’impose aucun interdit répréhensible. S’attaquer au vrai pouvoir nécessite de dire des choses interdites.
La sociologie du parc des princes. Ce lieu a imité en miniature la société française depuis 30 ans jusqu’à en donner aujourd’hui une représentation très fidèle: des petits blancs du virage Boulogne haïs par des black-blanc-beur du virage d’en face sous le regard oblique narquois de riches gros porcs assis dans la tribune, occupés à encourager des joueurs de plus en plus étrangers et friqués qui les méprisent.
Ses billes bleues, et sa frange et ses hautes joues c’était un peu de clarté et de lumière dans un désert maronnasse, un défi au pourrissement mondial. Mignonne tronche… Comme la vie pulsait fort, comme j’avais bien fait de venir. La lumière rasante, l’air, les kilomètres-cubes de lumière douce, cette splendeur vaste toute muette. Comme la vie semblait une maîtresse bienveillante tout d’un coup, prometteuse de mille autres moments comme celui-ci qu’il suffirait de saisir rien qu’en se levant.

19 JUIN 2013 - De la part d’un gros bâtard

De la part d’un gros bâtard

ACTU — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 19 JUIN 2013 À 23 H 15 MIN 
La prime ne va qu’aux prédateurs qui ne produisent rien et vivent en se repaissant sur les producteurs, à ces parasites décrits par Ayn Rand où les producteurs sont les 20% de vrais blancs que l’on trouve dans chaque pays occidental. Tous les autres sont des parasites immigrés, métissés, renégats. Les racailles-d’en-haut appelons les comme ça, sont très coupables car ils sont l’avant-garde de toutes les autres racailles. Ils arrivent historiquement avant les autres dans le pays d’accueil et y instaurent un climat de parasitisme, de haine et d’ingratitude dans lequel s’engouffrent à leur suite tous les immigrés, apostats, tièdes etc…
La candeur soumise ça va deux secondes quoi. On est là face à des gens ultra-méchants qui n’en n’ont absolument rien à foutre des types honnêtes et humbles sur qui ils marchent et grâce à qui ils marchent. Mais lecteur tu t’en doutes quelque part comme la majorité des gens honnêtes mais que tu refuses d’adhérer parce que c’est trop désagréable et triste. L’admiration béate du peuple de l’ancien testament c’est vraiment pour les couillons et les cocus qui ne comprennent rien. Là je lis Blaise Pascal et effectivement fallait vraiment être cloîtré dans une chambre comme lui pour écrire des conneries pareilles. Le mec il te parle des gusses on dirait qu’il croit voir un ange dans une extase ou quelque chose comme ça. Ça se voit qu’il n’a jamais eu connaissance des racailles-d’en-haut de son époque. Des fois je me demande si les chrétiens ne sont pas tout simplement des cons par choix, qu’ils ne veulent pas se rendre compte par choix. Et les blancs non-chrétiens idem.
Chrétiens ou pas nous professions la religion « en pleine lumière » sortie des ténèbres, sans mensonge ni dissimulation. Nous nous querellons en pleine lumière sous le regard des autres restés eux dans les ténèbres et ils ricanent de nous et attisent les querelles et nous ne pouvons pas les voir parce qu’ils sont dans les ténèbres. C’est exactement ça l’image.
A la church on a eu le maître de chant, un vieux de 80 ans environ gentil mais chiant oh putain, très très béat, très très « répétons ensemble Jésus je veux te recevoir dans mon coeur » il a fait répéter ça et d’autres trucs à toutes les ganaches. Pour des enfants ok je veux bien mais moi ça me fait dégueuler complètement. Je pensais pendant qu’il ânonnait ses trucs à toutes ces racailles qui transformeront les filles de l’assemblée en putes ou en mégères méchantes dans 10 ans, aux muslims qui attendent le prétexte propice pour massacrer et piller tout le monde, aux blancs riches à fils unique bientôt divorcés qui croient qu’ils existent, à Dieu que l’on prie et ne nous exauce pas et nous donne du fumier, à cette Eglise qui n’attire que des vieilles filles frustrées épouvantails pour chasser les indécis, aux filles qui ont tous les droits et qui dès 14 ans sont rivées à un destin qui ne peut que faire le plus grand mal à tout ceux qui les approcheront… Tout ça sans espoir, à dégueuler complètement. Ah j’ai détesté cette mascarade, ces gens, cette illusion dans laquelle on entretient les enfants et les familles, ce ronronnement en place de vie, cette transhumance laborieuse vers l’abattoir ah que j’ai détesté ce cambouis d’esprit qui ôte toute vie tout enthousiasme toute ferveur toute audace et qui catalyse ce pauvre misérable monde blanc. Ces voix femelles, ces enfants mâles qui chantent femelle à la chorale toujours plus loin dans les aiguës comme des femmes, et les femmes qui méprisent la religion, toujours le verbe haut, et ces hommes soumis, à côté de la plaque. Il n’y a rien, rien d’aimable rien de vivant rien de porteur dans tout ça.
Kyrie Eleison? Mais Dieu ne nous sauve pas du tout, n’a pas du tout pitié de nous mais pitié des autres qui nous persécutent et c’est ça l’histoire c’est porter la croix des salauds qui se repaissent sur toi eh bien moi cette croix des sado-masos je n’en veux pas du tout je n’ai rien demandé de ça. Quand on est honnête et bon on fait direct fuir toutes les meufs. Quand on est vicieux, méchant, on attire leur curiosité, regards soumis voilà l’histoire. Il y a ces prières particulièrement ignobles ou l’on demande à Marie de « souffrir beaucoup » pour je ne sais quoi (péchés, injustices, conneries) mais c’est vraiment mais GERBANT quoi. Et on a cette armée de moutons d’abattoir complètement châtrés qui rabâchent comme des cons que oui oui il faut bien beaucoup souffrir pour nos péchés nos indignes iniquités jamais assez réparées pour le Dieu qui aiment nos persécuteurs autant que nous, oh pardon pardon pour nos indignités tiens on va disparaître ça vous va comme ça? On a porté votre alliance on s’est bien fait insulté pour vous (à cause de nos péchés bien sûr, c’était mérité) et maintenant comme on a pas assez payé on va tous se faire buter par les immigrés que vous avez laissé venir chez nous voilà une riche idée pour « souffrir beaucoup » pour marie et tout ça hein? Putain et les mêmes cloportes lâches pourris de tiédeur jamais capables de défendre les chrétiens ou d’appeler un proviseur anti-catho pour lui dire de se calmer ils sont très capables de rabâcher volontairement de pareilles prières atroces voilà jusqu’où mène la lâcheté morale et physique, la tiédeur, l’abandon de virilité, la prime au calme et au ronron. Moi je suis peut être un énervé mais oh putain eux qu’est-ce qu’ils sont calmes. Leur calme est un renoncement. « Renoncement chrétien au monde » clament-ils, ils ont toujours raison, ils ont toujours le petit jésuistisme habile automatiquement appris façon croyant de bibliothèque façon tous ces cons de tièdes qui ont PEUR et qui sont cocus. Notre foi est totalement à côté de la plaque, presque à 100% dysfonctionnelle et c’est pourquoi ceux qui l’ont l’abandonnent le font sans regret et ceux qui ne l’ont pas n’en veulent pas. Cette foi est femelle 100 fois trop 1000 fois trop, beaucoup trop gnagnagna et ne donne aucune force dans le monde.
Ces meufs surtout méritent le plus notre colère. Leur stupidité leur dureté leurs grimaces grincheuses ne méritent aucune excuse, aucune pitié. Ce sont elles qui pourrissent toute la situation, et dans le trio infernal femmes-racailles d’en haut-racailles d’en bas elles sont les premières fautives, toujours à chercher la merde, à exiger, à sélectionner les hommes bien vicieux bien violents bien méchants bien riches , là toutes soumises bien caresseuses de couilles, ne réservant des querelles et des mines grises qu’aux bons gentils bonhommes et c’est de ça que crève le monde, de la prime donnée aux méchants et retirée aux bons par l’arbitrage des femmes. Comme un feu ravivé les méchants revivent galvanisés de l’oxygène qu’elles leur soufflent pendant que la flamme des bons vacille, étouffée, sans air.
Leurs carrières leurs sorties leurs potins débiles leurs haines, leurs opinions soufflés par d’autres, leurs tenues leur esprit lourdaud tout est à dégueuler chez ces femmes qui ne propagent que le mal. Elles grattent les boulots au physique, au bluff, à la veulerie d’employeurs trop heureux de jouer à Dieu, trop heureux de  jouer le « protecteur ». Protecteur des racailles, protecteur des femmes, l’homme blanc est le plus grand jobard cocu impuissant de la terre toujours protecteur d’un oppresseur contre son propre frère, zéro charité vécue. D’ailleurs la plus récente tendance dans la pornographie est le cocufiage. Il y a une exaltation absolument phénoménale du cocufiage dans toute la société il faudrait quand même s’en rendre compte.
Bref écrire ça ne sert à rien non plus, comme tout ce que l’on entreprend. La seule chose qui réussit c’est la gangrène immigrée, le parasitisme racaille, les divorces, le vol, les iniquités, les vengeances par rancœurs inventées, le reste ne réussit jamais vraiment. « Aaaah mais ouiii mais Jésus l’avait bien diiit, le royaume n’est pas de ce monde ». J’anticipe le jésuitisme automatique qui répond habituellement aux constats d’évidence.
C’est bien gentil les « initiatives organisées ». J’ai regardé un peu. Et je me demande d’avance ce que je peux dire à des messieurs de la Tocnaye et de Montmirail, et à des Quitterie-Capucine qui les accompagnent éventuellement (une Quitterie pour 4 Hubert). Et puis ces meufs, que je connais, me font pas kiffer de toute façon, lourdes, sûres d’elles, sûres de ce qu’elles veulent et méritent, et quand elles sont soit disant timides c’est un mot poli pour dire déprimées. Elles sentent une odeur de sous-bois, de yin fatigué, épuisantes d’avance. Oh je ne suis pas un « frustré » (honte sociale numéro 1). J’en ai léché des chattes j’en fais s’agenouiller des mignonnes (ah l’enculé il s’est régalé un peu? alors bien fait pour sa gueule maintenant). C’est ça qui aide à vivre. En dehors de ça y a pas de place pour un bâtard honnête dans ce monde. Y a pas de meuf, pas de job, pas d’espoir, pas de destin y a rien. Personne peut me jouer le couplet « à toi de te faire ta place » (énième jésuitisme post-freudien merdique) parce que j’ai travaillé à tout ça plus que quiconque que je connaisse, et en vent contraire, et sans diplôme, à macdo, à carrefour, à 100 boulots atroces, à HK, à Pékin, à Paris à Bruxelles entre 8m2 sans fenêtre dans des conditions abominables de solitude et de fatigue et sans jamais rechigner, personne a le droit de me faire le professeur. Par pitié par pitié que les illusions cessent, que la course cesse, que les faux espoirs les fausses images les emballements cessent qu’on me foute complètement la paix et fuck l’écriture fuck tous ces mirages, ces mascarades qui servent à rien, ces injustices cet esclavage de travail atroce cette prime aux salauds cette haine des blancs pour eux même cette masse grincheuse cramponnée à vivre comme des victimes. Les Blancs qui m’envoient des e-mails de flatterie sont bien heureux d’avoir un bâtard supplétif dans leurs rangs mais eux ne font pas leur part du boulot.
La soirée des veilleurs: 40 personnes à peine, la seule venue avec  un gamin, nana de 20 ans environ… putablak avec bébé métis. Voilà. Je l’ai insulté et lui ai jeté des graviers toute la veillée ce qui est la moindre des choses et tout le monde (que blancs) était contre moi. Je crois que lecteur tu n’as pas saisi l’ampleur du phénomène. Et tous ces types, outrés que par moi pas du tout par la putablak, tous plus mouligasses et ronronnants les uns que les autres, pressés d’aller se coucher, et les seules meufs venues complètement affreuses, une à côté de moi en minishort avec des poils longs comme sur des jambes d’homme, ah quelle farce shakespearienne le destin m’a fadé cette vie est un roman il n’y a même pas besoin de broder.
Votre paix de chrétien tiède est l’herbe grasse dont vous vous repaissez pour former un beau troupeau bien gras sur lequel viennent se repaître les prédateurs étrangers. Chrétiens herbivores contre muslims, racailles, perfides carnivores. Aucune conscience clanique, aucune défense du prochain, aucune mesure de protection, good night white pride.
J’aurais dû la cogner cette pute j’ai pas eu le courage. Quand les noirs voient la blanche et son métis marcher dans la rue ils disent que c’est bon pour eux que c’est easy de bien les niquer ces sales blancs, que le temps joue pour eux. Je le dis parce que c’est la vérité, je connais bien. Pas besoin de grands discours. Les meufs méprisent tout ce troupeau tiède car elles y voient des hommes faibles et lâches qui paient pour se faire mettre, lâches qu’ils sont effectivement car accueillir comme un des siens le noir de sa cousine c’est vraiment admettre que l’on est une merde soumise. C’est pourquoi aussi peu de couples « normaux » se forment. Commentateurs abstenez-vous de donner votre avis là-dessus soyez gentils.
Les blancs ont une peur physique tellement grande, tellement visible et tellement peu le sens de l’honneur que pour peu que l’on soit un petit peu vicieux on peut tout leur faire sans conséquence: voler, mentir, bafouer, insulter, piller, dégrader, arnaquer, violer, tuer. Preuve? Les « faits divers ». Par les temps actuels c’est inquiétant on va dire pudiquement.
Quand on fait si peu de cas de « ne convoite pas la femme de ton prochain » par trouille faut pas s’étonner de finir à ce point ridiculisés. Je le dis depuis ma toute petite part de conscience non-blanche: le mot pour décrire les blancs c’est « ridicule », ils sont ridicules. On dirait des figurants de film de cul bénévoles pour jouer le mari trompé. Quel malheur m’a fait naître accroché au destin de volontaires à ce point fervents pour le rôle de victime. Aucun honneur, aucun sens grégaire, aucune charité mutuelle, aucun instinct du danger, un tas de grosses merdes braillardes et lâches qui ont la trouille.
Non mais sinon tout va bien on a trois repas chauds par jour, du papier toilette très doux, un petit balcon… Aaaah.
-       Hello ma loulette !
-       Hello ma chérie aloors ? Oh il est bien ton jean tu l’as acheté oùù ?
-       Merci ma chérie toi aussi t’es toute belle mon coeur
-       Nan c’est sincère ma belle
-       Ça se passe le taf ?
-       Oui chui en stage là, je finis mon mémoire
-       Ah oui ?
Etc…