Analytics

mardi 18 août 2015

26/02/2009 - Paris c'est fini


Viens de lire ceci.
Et comment ne pas s’arrêter devant ce constat terrible : « il n’y a plus que les blancs occidentaux pour ne plus croire à la volonté de puissance. Ou pour y renoncer. Nous sommes faibles. Nous sommes impuissants. Nous sommes bien les seuls à nous nier nous-même, en permanence. D’où la fascination chez les petits blancs et les petites blanches pour les démonstrations viriles et agressives de la volonté de puissance dans la sous-culture de banlieue, aussi vulgaires et grotesques soient-elles. Ou dans l’islam. »
C’est surtout « petites blanches » qui fait mal. On le sait déjà mais on aime pas le ressasser. Mais ce constat qui n’est là que des mots, que du concept, il fait encore plus mal lorsque, confronté à la réalité, on le voit illustré grandeur nature par exemple :
-dans une fête de vendredi soir
-dans une bagarre
-dans un film de cul « interracial »
-dans les « j’aime j’aime pas » de la fiche Meetic de Caroline 21 ans
-dans n’importe quel morceau de rap post 2002
-dans la rue, les couples qui se tiennent par la main
-dans Paris

Paris c’est pas comme dans « de battre mon cœur… »… Paris c’est fini. C’était fait pour 1 million d’habitants cette ville pas pour 10 millions. Paris y a trop de monde beaucoup trop. Et trop de chewing-gums étalés sur les trottoirs, trop de cigarettes, de crottes, de papiers, trop de flaques de pisse, trop de mauvais regards, trop d’arrogance… Et pas assez de travail pas assez de fidèles à l’église, pas assez de verdure, pas assez de ciel au-dessus des rues étroites, pas assez de filles, pas assez de gentillesse, pas assez de quiétude…
Il y a, plus violent, le plus terrible des combats.
Ce ne serait pas si grave en fin de compte de se faire taper dessus par un grand Noir si il respectait les règles. Deux ou trois pêches dans la gueule, on met pas de coups à terre et puis c’est réglé il a gagné. Mais le combat ce n’est pas ça. En fait ça, la baston, ça n’a pas lieu ou si peu. C’est tout contenu dans les regards, les rapports sociaux, les soupirs et les remarques qu’on ose, ou pas, dire à celui qui nous double dans la file d’attente, les petits accès d’incivilité dont on sort vainqueur ou non dans la vie quotidienne, selon celui qu’on a en face de nous. Les femmes elles voient tout ça. Elles ne s’en font même pas la remarque, mais elles en tirent les conclusions, sur leur prochaine vie de femelle qui procréera. Avec qui elle procréera ? Il faut que le mâle il soit fort pour la « protéger » mais aussi pour transmettre à l’enfant des gènes de gros muscles ou de courage, des gènes de mâle fort. La femme elle sait, elle sent tout ça. Et il y a une morale immanente à tout cela : si le mâle il est arrivé jusqu’au vagin de telle ou telle fille tant convoitée c’est que intrinsèquement il était supérieur aux autres mâles puisqu’il a réussi lui, il a conquis ou été choisi par celle qui mettait la barre si haut. Alors c’est donc bien le plus terrible des combats. C’est celui ou l’homme se bat pour donner, via le vagin de la femme, une suite à lui-même. C’est la plus douce des récompenses que d’être confirmé par les caresses et le vagin d’une femme.
C’est à ça que je pensais seul sur le banc du jardin du Trocadéro le Samedi 14 Février 2009, en jetant un coup d’œil de temps en temps, à la jeune fille blanche là bas sur un autre banc, qui rigolait avec son jeune noir calme.   
C’est à ça que je pensais et aussi à un commentaire posté sur un blog que j’avais lu quelques semaines plus tôt « areté de parler sal viktime bande de sal boloss dans la cour vos sœurs se font taper le uk par des renois et des rebeux pendant ce tan tu baisse la tete tu razes les murs mdrrrr ».

Ce combat on peut le nier. On peut dire aussi que nous sommes tous frères, que remarque y a aussi des femmes noires avec des hommes blancs. On peut dire « noir » et « blanc » comme si c’était des pions d’échecs ou des Danettes. On peut dire que des filles blanches y en a d’autres. On peut dire que y a aussi plein de filles blanches qui aiment les Blancs, que vivent tout le monde. On peut dire tout ça.
Mais on ne peut nier le mouvement, la dynamique, la marée qui vient, la tendance générale. Et l’on ne peut nier le nombre, les foules, les millions de jeunes noirs calmes qui poussent derrière pour entrer. 400 000 qui rentrent par année, quatre cent mille. Et l’on ne peut nier la hausse de part de marché de la catégorie dite « interraciale » dans l’industrie du porno. On ne peut nier la violence raciste complètement légalisée de presque n’importe quel texte de rap, mais on ne peut nier non plus que la moindre « incivilité anti-noire » est aussitôt publiquement dénoncée avec la plus extrême dureté. On ne peut nier la lente acceptation, ou peut être résignation, des humbles et des bien élevés, les mille-fois-cocus les mille-fois-perdants. Paris c’est ce paysage dévasté là. Et il rayonne sur toute la France. C’est encore gentil, c’est encore principalement dans les grandes villes que ça se passe. Les jeunes filles blanches de Illiers-Combray ne se promènent peut être pas encore avec des jeunes noirs calmes le long de chemins bordés d’aubépines. Mais on y vient. Parce que c’est bien cela qui se passera, simple loi des nombres. Elles le savent elles le sentent les jeunes femmes. Elles ont pour mission de procréer, d’être le débouché du plus terrible des combats, alors elles mettent la barre très haut. Après elles il n’y en aura plus d’autres de filles blanches, c’est maintenant qu’il y en a encore. On ne vivra ni dans la sécurité ni dans l’honneur dans un monde de petits garçons et de petites filles métis nées d’un père noir absent et d’une mère blanche abusive et riche. Si à une telle époque dans une ex-ex-France il y aura encore des petits garçons et filles de parents blancs alors les pauvres, ils seront face à un rouleau compresseur, une boule de neige rendue énorme et rapide par la pente qu’elle a dévalée jusqu’alors. Ils seront métissés à leur tour, en moins de deux.
Il faut quitter la France. On ne vivra pas dans la sécurité. On vivra peut être dans l’honneur. Dans ce que les gauchistes appellent la dignité humaine. On ne vivra pas dans la sécurité car rien n’est acquis aux hommes libres, le rouleau compresseur, la boule de neige toujours plus grosse et rapide peut les rattraper. 

Continuer la France ailleurs. Car ici ce n’est plus la France. C’est à eux et à elles et à leur méchanceté… Mais peut être que c’est moi qui suis trop faible, trop sensible, pour faire avec leur méchanceté. J’ai l’impression qu’en refermant la porte derrière moi ça en gueulera encore en sourdine de copulation interraciale comme un terrible hourrah d’assiégeants qui voient soudain la muraille céder.
Ce que j’en dis simplement c’est qu’ils auraient pu être gentils. Ils avaient le choix, personne ne les avaient obligé comme ils le prétendent, à être méchants. Nous on est nés en 1982 on ne leur a jamais rien fait, on ne les a pas colonisés, pas esclavagisés, même pas tapés ou insultés, on nous a appris tous les jours à l’école et à la maison, à voir en eux nos frères. Et eux s’ils avaient su regarder ils auraient vu qu’ils avaient tout : dignité, argent, nourriture, opportunités professionnelles. Oui ils avaient tout ça.
Ce que j’en dis simplement c’est qu’elles auraient pu être gentilles. Si vraiment elles avaient eu le courage de leur rêveries de très jeunes filles elles auraient cherché un gentil type qui comme elles voulaient se marier et avoir des enfants pour les élever dans le partage.
Au lieu de cela qu’ont-ils fait tous les deux ? Ils se sont installés dans le confort, déclarant que c’était bien le minimum, qu’il en faudrait beaucoup plus du confort. Lui un peu étonné quand même de pouvoir souiller avec tant de facilité la pureté tant convoitée de par le monde. Elle un peu gênée quand même d’avoir fait comme les copines, se rendant compte que le monde est métissé, alors que présenter un noir à ses parents ça devait se faire contre le monde, raciste évidemment.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci d'utiliser, au minimum, un pseudo.
A défaut, je supprimerai le commentaire.
Merci à vous!