Les gros porcs
Pourquoi les blogs se
taisent? Parce qu’ils n’ont plus rien à dire. La légitimé des
blogs réacs et assimilés tenait à ce que soudain l’on pouvait
librement dépeindre l’infamie quotidienne, jamais relatée par les
médias normaux.
C’est une chose de se
boucher le nez (à juste titre) devant la racaille, devant obama,
devant les enturbannés haineux, les projets architecturaux
dégueulasses et toute cette merde quotidienne mais c’est une autre
chose de nommer ceux qui entretiennent cette merde et qui se
repaissent dessus. Un exemple très simple: Obama. Qui est allé le
chercher on ne s’est jamais posé la question? Quel genre
d’assemblée a décrété que c’était lui qu’il fallait
subventionner de sommes colossales et pourquoi? Ça n’arrive pas
comme ça un obama. Le new-york times ce chef de tous les autres
journaux du monde a certes vitupéré d’articles préparatoires sur
le génie obama, l’incroyable obama, le miracle obama, le prodige
d’Harvard obama etc… Mais ça n’explique pas tout. Pourquoi «
on » a voulu subventionner d’autant de millions un type comme ça?
Peut-être pour le symbole. Déjà rien que le nom obama devrait
faire dégueuler n’importe quel homme s’il lui restait encore un
gramme de sens commun, de conscience authentiquement éclairée. Ce
borborygme, cette onomatopée de tam-tam qui résonne grotesque,
voilà le suppositoire qu’ils essaient de te caler tu n’as pas
compris? Te faire accepter cette danse, ce pagne de sauvage. « obama
». Mais c’est une blague! Pourquoi pas bombala, olala, bomama? Ces
sonorités simplistes qui se rapprochent du babillage du stade anal
devraient faire hérisser d’horreur mêmes les plus antiracistes
acharnés comme quoi c’est trop caricatural, que ça fait trop
bamboula, que c’est raciste d’avoir coopté un type avec un nom
aussi caricatural pour afficher le stéréotype de l’africain
tam-tam. Tu ne vois pas qu’on te prend pour un con en te plaçant
sous la coupe d’un président de la meilleure nation du monde qui
porte un nom pareil? Tu ne vois pas qu’il y a un message qui t’est
envoyé? Tu ne vois pas qu’il y a un symbole, un sceau, un tampon
qu’on t’a apposé? Que l’on a oblitéré quelque chose? Encore
pire son prénom: c’est un truc de superstition ésotérique, c’est
du niveau d’un paradigme de racaille de saint-Ouen: « aya tsékoi
ça veut dire on est blindé on a toute la chance avec nous ça veut
dire celui qui nous maudit il est automatiquement maudit skomme-ça
on peut que nous bénir komme-ça on a toute la magnificence de la
chance toupournous« .
Mais bref tout ça ne nous
dit pas qui est allé chercher ce pantin et l’a fait grimper comme
ça (alors que c’est un imbécile pro-noir pro-étatisme pro-merde
systématiquement, on ne pouvait pas rêver mieux pour démolir
l’Amérique libre des pères fondateurs) jusqu’en haut de
l’édifice de la civilisation en le présentant systématiquement
comme intelligent, drôle, courageux, et surtout comme un SYMBOLE.
Mais le symbole de quoi? Qu’est-ce que ce type représente
concrètement? Déjà rien que par sa filiation (fils de pute à
black chez les blancs, élevé par les blancs contre les blancs)? Que
l’on réponde déjà honnêtement à cette question. Dés lors que
l’on se demande qui avait intérêt à exalter un tel symbole
précisément à l’époque actuelle. Voilà les vraies questions,
voilà les vrais sujets casse-gueule « réacs », les sujets ou l’on
prouve sa liberté de pensée et de ton.
Je vais te dire ce que
c’est la liberté de ton. Y a un an il y avait ici l’évocation
d’un sujet qui représente plus d’un tiers de toutes les
connections internet du monde: la pornographie. Oui on consulte des
sites de cul. Oui ça fait chier. Oui la pornographie influe sur les
normes sociales et détruit imperceptiblement beaucoup de choses
vitales. Mais qui produit la pornographie? Noms? Adresses? Qui? Très
brièvement il y a eu un rappel des états de service d’un certain
Woodman qui a pour titre de gloire d’aller chercher des filles de
18 ans dans les pays pauvres pour les initier à ce qui est ni plus
ni moins que de la prostitution. Le type en question (certainement mu
par une impeccable rectitude morale) a contacté ce site en menaçant
de procès, qu’il allait envoyer son avocat Pierre Haïk, qu’il
allait faire tout un foin, et toujours en s’appuyant sur des
arguments moraux. Le nom de l’avocat qu’il avait cité renvoyait
à une sorte de grand maître international du barreau ainsi qu’à
cet article et surtout à cet extrait magnifique, qui résume tout,
qui dit tout, qui explique tout, qui révèle tout deux point ouvrez
les guillements : « Alors, cette fameuse histoire de culpabilité,
ils n’en font pas souvent leur affaire. « En trente ans, je ne me
suis jamais posé cette question, assure Pierre Haïk. Seule la
vérité judiciaire m’intéresse. » ». Tu lèves furtivement une
oreille sur UN sujet important (le porno) qu’il est moral
d’attaquer, aussitôt voilà que les pires emmerdes te sont
immédiatement promises et ce par l’élite de la société,
laquelle élite fonctionne sur un principe de duplicité assumée et
se vante de mentir en conscience. C’est leur taqiya.
Ou est-ce que l’on veut
en venir avec ce petit exposé? Mais sur les vrais sujets que l’on
fait semblant d’ignorer. Y en a plein comme ça. A quoi sert obama?
Qui « espère » en obama (mot qui revient souvent)? A quoi sert
l’immigration haineuse de masse? Qui espère en l’immigration
haineuse de masse? Quel est le parcours de Jacques Attali? Pourquoi
n’y a-t-il pas sur 70 millions de français seulement un seul qui
ai le temps d’aller attendre Jacques Attali en bas de chez lui à
Paris chaque matin pour lui cracher chaque matin au visage? Qui a
fait l’esclavage transatlantique? Quels sont les noms des armateurs
de bateaux d’esclaves qui officiaient à Nantes-Bordeaux-la
Rochelle? Qui sont aujourd’hui les gens qui créent des musées de
l’esclavage et produisent des campagnes pour culpabiliser les seuls
caucasiens et avec quel argent? D’ou viennent depuis 2004 toutes
ces campagnes de publicité dans lesquelles on voit systématiquement
LE noir intelligent, drôle et décontracté et LA blanche bien
salope bien soumise? Quelle est la racaille d’en haut qui pousse la
racaille d’en bas à se multiplier et à haïr tout ce qui se
rapproche du FDS, de la France, de l’humilité patiente des
familles blanches?
Mais n’allons pas trop
vite. Ces trois sujets seraient déjà un bon début: obama, la
pornographie, l’esclavage. Tu n’as qu’à examiner un peu. Si
après ça tu crois encore au « combat des idées » grand bien te
fasse.
Il y a un type qui avait
écrit dans un livre l’histoire d’un certain Ben Cinéma.
Remplace Ben Cinéma par DSK. Avant qu’il ne se fasse choper DSK
agissait exactement comme ça. Lui et plein d’autres qui ne se font
jamais choper. Voilà le triomphe de la bourgeoisie c’est de ne se
faire jamais choper, c’est de prospérer dans une duplicité
assumée (« je ne me suis jamais posé la question de la
culpabilité, seule la vérité juridique m’intéresse »), de se
repaître sur la besogne des honnêtes gens et de vivre impuni sur la
lâcheté des honnêtes gens, sur leurs péchés occasionnels, sur
leurs faiblesses et leur souffrance et de les induire toujours plus
loin dans la lâcheté, dans la faiblesse et le péché.
Si Céline s’est énervé
à partir de 37 ce n’est pas parce qu’il était un fou ou un
haineux comme le prétendent les tartuffes « céliniens » exégètes
à deux francs mais parce que Céline tenait en profonde estime et
pitié ses frères FDS des classes moyennes avec qui il avait grandi
dans une demi-misère à Paris, la misère pudique et retenue, la «
misère digne » celle qui ne se plaint pas, qui ne réclame pas, et
qu’il avait vu ces honnêtes gens se faire massacrer en 14-18
pendant que ceux que l’on appelait les « mercantis »
s’enrichissaient à l’arrière dans les villes et raflaient les
veuves. Et cet auteur sentait que la promesse « der des der »
s’étiolait, que de petites lâchetés en petites frivolités (de
bagatelle en bagatelle) un chemin se dessinait menant les FDS tout
droit à un grand massacre supplémentaire. Et c’est par amour des
siens qu’il a allumé les contre-feux qu’il a allumé: pour
empêcher à tout prix les souffrances et les massacres. Et surtout
contrairement à l’immense majorité des gens lui savait de quoi il
parlait pour avoir côtoyé la bourgeoisie dégueulasse de «
l’arrière » (dans la SDN, nombreux voyages à New-York, Anvers,
Londres, connaissance du Paris mondain) chaque jour depuis 20 ans à
ce moment là.
Une dernière chose pour
finir. Actuellement,il y a une « crise » n’est-ce pas? Une drôle
de crise d’ailleurs, qui nous laisse bien bouffer 3 repas chauds
par jour, dormir, fumer du shit, nous branler devant des sites de cul
et rivaliser de frime vestimentaire débile. Eh bien au lieu de faire
le con analyseur de crise avec des chiffres, avec des articles sur le
dernier forfait de la banque centrale et toutes ces conneries
auxquelles on ne comprend rien et sur lesquelles chacun possède
aussi sûrement un avis qu’un trou du cul ce serait bien qu’on
attrape les petits salopards qui disent à la fois que les européens
ont une dette, qu’il faut payer, qu’il faut emprunter et en même
temps qu’il faut augmenter l’immigration (cause d’énormes
dépenses publiques en pure perte). Bizarrement cracher dans les
gueules de ces types et saccager leurs appartements et leurs bureaux
nous demande cent fois plus de courage que d’aller taper sur les
flics (grecs, espagnols, français) nos frères véritables payés au
smic et qui tiennent à bout de bras des familles très semblables
aux nôtres. Viens plus jamais faire le moraliste d’aucune sorte si
tu n’appliques pas ce pourquoi tu pries. Pour que les bons soient
sauvés il faut que les méchants soient punis. Il faut punir les
méchants et eux seuls surtout. Il faut bien frotter la tronche de
Ben Cinéma avec une éponge sale et ne s’en prendre à aucun
innocent par dépit, surtout. Il faut pas taper sur les policiers qui
défendent les bureaux de Goldman Sachs mais seulement détruire les
bureaux de la Goldman Sachs et ne faire aucun mal aux enfants
innocents qui portent ces noms là que l’on soit bien d’accord.
Que les méchants soient punis entièrement, leurs forfaits rabâchés
« universellement trompetés comme disait le vieux, mais qu’ils
soient punis eux seuls, qu’on agisse moralement: très bons avec
ceux qui ont prouvés par leurs actes qu’ils étaient nos
prochains, très durs avec ceux qui ont prouvés par leurs actes
qu’ils voulaient nous persécuter.