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mardi 18 août 2015

27.01.2010 - Jour de deuil c'est jour "off"



Jeanne Darbois-Beaumont 1916-2010

SEUL


Voilà que ça recommence toute l’infâme merde, le monde du travail… l'Europe du nord en hiver... Glaciale et saturée… surmarkettée désindustrialisée dévastée… Je sais de quoi je parle moi le batard, des dernières filles blanches, aux envahisseurs entièrement dédiées... toute leur méchanceté, l'effroyable néant des rapports humains la saloperie la porcherie, l'ignominie triomphante des mensonges sur les immigrés sur la tolérance, sur tout, contre les Blancs contre les natifs contre nous qu'on demandait juste à donner du riz pour la Somalie quand on était petits. 20 ans plus tard cocufiés jusqu’ à la garde d'avoir cru à leurs promesses comme quoi on allait tous fraterniser tous communier, que les N*****  ils sont pas méchants, que c'est les Blancs qui sont méchants, que y a la richesse des autres cultures, que faut s'ouvrir tout grand pour l'accueillir… Pour ça on l'a bien accueillie.
Mais même pas on a de temps pour s'en venger de cette injustice. 6h du matin debout. Au travail…un travail qui avance pas, ou faut y faire semblant de travailler. Dans ce secteur pas de potentiel, les gagneurs jouent les bosseurs, et les bosseurs ne sont que des loosers. Toujours la même salade. La morale du plus fort ? Non, du plus dégueulasse.
C'est la crise qu'ils répètent tous... les entreprises ferment, on comprend bien qu’il faut se plier en quatre pour avoir la chance d’accéder au monde du travail. Absurdité dialectique. C’est la crise ? Pourtant on bouffe encore 3 repas chauds par jour, tous. Qui souffre de la faim encore par chez nous? Personne. Autant dire qu'on y comprend rien… crise, pas crise… On ne croit plus aux infos, on a développé notre ''esprit critique'' comme disaient nos profs au lycée. Pour le 11 septembre et des tas d'autres choses, les gens croient à des complots...  Complots qu'on peut disséquer dans deux cent mille vidéos en streaming sur internet, pour se donner raison... pendant notre temps libre… pour s’instruire, pour se faire une « solide formation » comme ils disent dans les groupuscules, de Kemi Seba à Renouveau Français. Les gars si une « solide formation » avait permis à quiconque de faire autre chose que se triturer les méninges pour rien ça se saurait. Vous ressemblez à des pilotes d’avion de chasse cloués au sol en train d’examiner le plan de vol au lieu d’attaquer. Quand bien même vous attaqueriez vous largueriez tout à côté. Vous y comprenez queudale et moi non plus, arrêtez de fanfaronner.
J'étais aux funérailles de ma grand-mère hier. La seule femme passé mes 18 ans qui m'ai dit ''je crois en toi''. On l'a enterrée dans un tout petit cimetière perdu au milieu d'un bois dans le nord de la France, un endroit qui s’appelle « Darbois-Beaumont » ça ne s’invente pas… Et puis on est parti. Au dessus des murs d’enceinte les arbres étaient morts  sous les nuages, c’était tout bientôt la nuit. Il faisait moins 7 degrés, les corbeaux gelaient en l’air. On ne comprend pas ce que c'est la mort, tout intelligent et digne que l'on soit on est complètement  désemparé en fait.
La nuit s’est abattue, à peine le temps de pleurer que chacun est reparti de son coté. Vite vite retourner demain au travail, aux ennuis vite. A la gare du nord j'ai pris le 20h00 pour Bruxelles. Y avait des Noirs et des blanches à Noirs dans le wagon. Tout pour le bonheur des autres. Moi on ne m'aimera jamais que je pensais. Eux ils ont absolument tout pour eux, tout de leur coté et nous rien. En Europe de l'ouest, capharnaüm de toutes les races agressives, un Caucasien pauvre est un Caucasien foutu. Autant dire que faut charbonner et pas tiquer…encaisser toute la merde avec le sourire ‘‘Oui missié!...merci missié!'' qu'il faut dire. Les esclaves c'est nous, c’est pas eux. Et nous personne ne viendra nous délivrer. On disparaitra plutôt avant et ça ne gênerait personne, car les autres races n’aiment pas les Blancs ou alors éventuellement en femmes, et soumises. Pour ne pas disparaitre on charbonne dur dans l'espoir de fonder une famille, avec une adorable petite femme qui nous comprend et tout plein d'enfants blonds élevés dans la foi, l'amour et le sens de l'effort… ça c'est en rêve. En réalité on charbonne dur pour les N*****, car la moitié de notre revenu va dans leur poches en impôts. Et ils nous insultent en plus. Les voilà même qui redoublent d'associations et de lobbysme, d'outrancier culot pour réclamer pour dire encore que c'est eux les victimes et qu'on leur doit des tas de trucs…
Au travail le manager te tient par les couilles au dessus de la fosse aux N*****. Tu as bouffé des kilomètres de merde pour arriver à ce privilège, pour avoir une ''position'', une situation comme on disait dans le temps, pour toucher 1500 euros par mois. T’es pas content ? Si un seul jour tu mouftes… que tu te révoltes un peu… que tu dit que quand même c'est pas une vie, le manager alors il te lâche et tu tombes dans la fosse aux N***** tout en bas, cette fois parfaitement à égalité avec eux, avec toute la merde venue de leur Afrique inépuisable réservoir à merde que jamais ils n'ont été foutus de tirer vers le haut, et en 5000 ans au moins de parcours du glorieux « peuple Nwaa’ »… C’est pas du racisme c’est l’évidence je pense. Qu’on s’en tienne aux faits, et avec la même froideur implacable qui sert pour juger les Blancs. Qu’on regarde c’est tout.
Quoi qu’il arrive si jamais on t'identifie comme raciste tu es foutu. Les collègues de bureau, les managers, les nouvelles relations, à chaque fois que tu essaieras de respirer ton dossier te suivra et ils diront ''celui la c'est un raciste'' et ils se bousculeront pour te dénoncer le premier. Parce qu'il y a une prime à la ''vigilance'' chez nous. En fait il n'y a chez nous de prime que pour les dénonciateurs de Blancs et les suceuses de N*****. C'est exactement comme ça. Ils te dénoncent en te montrant du doigt, protégés par les autorités, par toute la masse du peuple tout bien planqué du bon coté. Ils te dénoncent puis t'accusent, te volent, t'emprisonnent. lls viendront te narguer derrière les barreaux lorsque tu auras tout perdu, ils appuieront sur ta blessure, certains de leur bon droit. Ils se souviendront et parleront de toi en riant une coupe de champagne à la main dans de confortables salons plus tard, quand ils auront ''réussis''… Ils sont exactement comme ça. Pourtant ils sont de gauche, ils le disent. Ils sont métissés comme ils disent, ils ont des noms arabes, ils votent pour les écologistes, pour les socialistes tout ca. Ils l'ont dit qu'ils souhaitent davantage de respect de partage de dialogue dans le monde, qu'ils sont pour le bonheur, qu'ils aiment les Noirs les « cultures », tout ce qui est « mélangé »… Eux ils ne le voient pas eux le gouffre affreux vers lequel on va, ils ne comprennent pas le rapport de force qui s’installe, l’effroyable merdier démographique, la loi têtue du plus grand nombre, les Blancs qui descendent et tous les non-Blancs qui montent…
Ces derniers  ont la cote comme on dit. Une cote qui prospère sur un rapport de force complètement disproportionné. Blancs tolérants contre Noirs haineux. Aryennes superbes contre Pygmées simiesques. 300 spartiates contre 300 000 perses. Courtoisie contre boxe thaï. Charité chrétienne contre coup de tournevis dans le rein. Trop facile. Trop facile alors de jouer l’homme citoyen du monde qui a pas fait exprès d’être Noir. Face caméra… Alors qu’en réalité c’est le Noir fier de l’être « Africa is the future » intégralement raciste et profiteur, solidaire de ses seuls frères de race, tous Noirs unis pour améliorer leur descendance, favorisés,  portés par l’aubaine « métissage »… Trop facile d'être eux.
Surtout ne pas croire que cette cote qui grimpe est un fait purement extérieur et sera sans conséquence sur la vie du petit caucasien. Car non seulement la caucasienne en tant que femme est très réceptive aux résultats du combat latent des mâles : elle sent ou est le vainqueur, elle sent le changement. Mais aussi cette cote fout la merde dans la société, elle induit une aberration, un signifiant qui bouleverse le rapport du petit caucasien aux femmes. Si bien qu’en tant que Blanc baiser une fille blanche ne prend plus beaucoup de sens, devient truc de deuxième division. Dépassé…C’est pas de la baise assez « baise » voilà. Trop doux, trop uniforme, trop « respectueux » de la race de la fille : la nôtre. Comment alors lui « baiser sa race » ? Se faire Noir ! Voilà ce qu’il nous faut : c’est être noir. Ne plus se prendre la tête, agir par instinct, et être pour cela précisément adulé par les femmes les plus abouties du visage et les plus civilisées… Ah ! Être Noir ! enfin Noir! C'est la solution! ... S’arroger le bon point de départ pour être vectorisé au bon point d’arrivée. A soi la légereté du pillard nomade qui trouvera bien toujours de quoi bouffer et baiser. A eux la lourdeur du bâtisseur sédentaire, la pénible défense des murailles, le fardeau du sens de l’honneur et de l’effort, tous ces emmerdements. De leur gâteau on bouffera de grandes lampées frère!... Faudra juste leur baiser une des leurs ! Personne à qui rendre de compte pour ça ! La « liberté » ils appellent ça chez eux ! Et là tu fais partie d’eux comme si t’étais eux ! Tu bouffes au gala du club sans payer l’abonnement du club !... Le métissage mec !... Elles n’ont de respect, de secret attrait que pour nos brotha cocks en fait! Leurs hommes elles les méprisent ! Le monde bascule « frère » faut saisir l’opportunité ! « Si si »…
La voilà exactement la situation. Charrette à bras c’est terminé, voilà l’automobile. Quelle « résistance » face au progrès, face au torrent de l’histoire, face au mensonge ? Le progrès des « nouveau arrivants », la menace du million de « migrants » à venir, de soi-disant réfugiés climatiques. La tronche qu’ils ont les « nouveaux arrivants » ? Pardon de demander, mais ça sonne bien « nouveaux arrivants ». Ca sonne progrès, chatoyante amélioration, futur aux yeux bleus turquoise, nouvelles races magnifiquement colorées de tout ce que le corps humain peut permettre de coloration. Mais… Pouah qu’est ce que c’est que ça ? Au portillon des nouveaux arrivants c’est rien que noir-marron-gris… Regardez : les cheveux, la peau, les yeux, les muqueuses… tout est noir marron ou gris…bah alors ?  Le nez est grossier, les jambes sont avares en taille, l’odeur est forte… C’est quoi ces « nouveaux arrivants » ?… Ca va être comme ça par millions en plus ? Mais alors qu’est-ce qu’on a à y gagner ? Y z’ont de la thune ?... Non ? Des femmes belles ?... Non plus ? Des trésors, du savoir, du génie, du beurre en branches ?... Non rien ?... Ah… Par contre les types ont de la fourberie à revendre pour se tailler une place, n’usent que de méchanceté. Dont celle-ci : le culot impardonnable de se dire eux colorés et diversifiés et nous ternes et uniformes. L'infâme perverse arnaque de prétendre « colorer » le paysage… Les gris-noirs-marrons qui vont colorer les bleu-blanc-blonds. Absurdité du sens… Novlangue ! Novcouleur ! Et tout le monde y croit…
Cette époque est trop difficile pour nous et trop facile pour eux. Le caucasien n’a rien à gagner à l’affaire, c’est une arnaque intégrale. Tu t’acharnes à avoir des principes, à vivre sans crédit, épargne et probité irréprochable, espérant un jour rencontrer comme ça à la faveur du hasard celle, unique, avec qui te marier et faire 10 enfants ? Tu te poses des tas de questions, tu as peur de finir seul et sans descendance, humilié, perclus de frustrations, impuissant haineux raciste damné abandonné… Ce genre de choses ?
Mais eux… Rien à perdre, prennent la vie comme elle vient, tout leur sourit ils ne font que progresser en tout, l’immigration est objectivement une progression quand on est eux, le métissage aussi. Ils sont du bon côté et vont vers dans la bonne direction, ils sont portés par l’époque, prospèrent sur l’honnêteté des Blancs et sur leur non-violence. C’est facile… Facile de récolter là sans entrave la rieuse coquine aryenne, désarmée fille unique à l’apogée de ses vingt ans, dernier fruit d’une lignée de deux mille ans… dernier diamant avant fermeture définitive de la mine, avant de tout reboucher, de tout oublier… deux mille ans d’aryanisme blond absolument assidu, qui là à cet instant précis s’éteint pour toujours… pourri, souillé par un croisement irrattrapable, comme une tâche de merde étalée en travers d’une peinture de maître flamand par un barbouilleur subventionné, et sous les applaudissement du public : « voilà l’art réinventé ! ». Le peuple a parlé. 

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