Une amie m’écrit
Récit — Article écrit par Lounès le 17 juin 2010 à 11 h 15 minL’apéro annulé putain ! Je suis dépassée par tout ça, ulcérée par le manque d’engagement des français. Je nous trouve tellement lâches… Je ne suis pas meilleure que les autres mais ces derniers temps, je ne supporte plus de m’auto-censurer.
Selon toi, une révolte efficace doit être emprunte de respect et de réflexion mais face à des comportements si violents, faisons-nous vraiment le poids avec notre « diplomatie » ?
Bon… Ce serait bien déplacé de ma part de donner des conseils hautains, à la façon de ces bourgeois du style Stéphane Guillon et Gérard Miller qui méprisent les Céfrans qui se tapent toute la violence de l’immigration.
En effet je suis à Bruxelles dans un quartier sympa, dans un logement sympa… Mais voilà ce que je peux dire. J’ai vécu 1 an à Paris dans des conditions abominables de violence, de vide relationnel, spirituel, de vide « humain ». Il y a une pression très forte de l’immigration, qui est déjà très nombreuse, et qui continue, qui continue… Les « natifs » (comme toi et moi) sont souvent désemparés et ont le sentiment (justifié largement) d’être abandonné, que personne ne les comprend, alors que pourtant eux respectent toutes les règles et se conduisent modestement et respectueusement.
A terme il risque d’y avoir une catastrophe si ça continue. Je ne sais pas comment, mais ça risque. Je ne suis pas sûr. J’en parle souvent avec des gens ici. On pense que plusieurs chemins peuvent se tracer comme l’avait expliqué un blogueur (Vertumme): soit « Alger »: fuite massive des Blancs vers d’autres lieux, soit « Beyrouth »: démographie très forte chez les Muslims et très basse chez les Chrétiens ou assimilés Chrétiens, soit « Johannesburg »: les Blancs se replient dans des zones sécurisées, soit « Rio de Janeiro »: les Blancs vivent plutôt entre eux et les Favellas se démerdent, soit… Autre chose.
Ce qui est sûr c’est que s’il y a un affrontement physique (comme ce qui risquait d’arriver avec cet apéro saucisson-pinard), les Blancs ne sont pas préparés du tout à le gagner parce qu’ils ne sont pas solidaires, sur aucune base: ni raciale ni religieuse, ni territoriale, alors qu’en face les racailles sont solidaires sur ces 3 critères là. De plus, quand bien même les Blancs remporteraient des victoires brutales sur la racaille (racaille au sens large: racaille + sos racisme + haineux anti-France + putes a racailles etc…) eh bien cela se retourneraient contre eux parce que les médias filmeraient tout ça et dans le monde entier on accuserait les Blancs français de nazisme ou ce genre de chose.
Quoi qu’il en soit, ce qui semble le plus dangereux dans ces rapports, c’est la possibilité que quelques Blancs imbéciles jettent l’opprobre sur tous les Blancs par des actions inconsidérées… Je parle des petits cons qui font les warriors en pensant à la pétoire cachée dans la cave de leur maison de campagne, et qui se frottent les mains les intrépides, pas peur de la guerre civile moi, et qu’on va voir ce qu’on va voir… Les cons. Sait-on qu’en Algérie en 1962, sur le million d’Européens qui résidaient, pas un seul n’a pris le maquis pour entamer une guerre civile? Pas un! Alors qu’ils avaient en Algérie tout ce qu’ils possédaient. C’est pourquoi il n’y aura sans doute PAS de guerre civile, au sens ou on l’entend. Et que cette guerre civile sera en réalité une guerre des forces de l’ordre, contre toute la racaille de France, ces « forces du chaos ».
Cependant les racailles eux, s’en
foutent. Que les sales Gouères se battent ou qu’ils ne se battent
pas, ils sont les racailles, sur une logique de provocation
permanente, de dégueulassement du territoire, de pourrissement des
relations humaines, de salissement des femmes autant que faire se
peut… Ils maximisent leur pouvoir de nuisance, c’est ça leur
vocation. Et plus ils le font, plus la ligne de front, matérialisée
par les forces de l’ordre, recule, et doute, et semble capituler…
Parce qu’il faut bien comprendre leur
mode de pensée. Pour eux, dans leur conception culturelle, dans leur
rapport au monde, s’ils cognent un innocent et que celui ci ne
réplique pas c’est que c’est une « victime »
et que donc cette « hagra » est légitime. Et
s’ils cognent un innocent et que celui ci réplique, alors c’est
que celui ci fait le « warrior » et qu’alors
sortir un couteau et planter est légitime.
Et pourquoi ? Pourquoi pensent-ils
comme ça ? Parce dans leur petite musique à eux, le mot
« respect » n’a pas le même sens que chez nous, et
c’est ici que se trouve le nerf, la base de tous les conflits
depuis 30 ans avec les immigrés. Résumons le fossé crucial ici :
POUR NOUS LE MOT RESPECT SIGNIFIE « LAISSER L’AUTRE EN
PAIX ». POUR EUX LE MOT RESPECT SIGNIFIE « TENIR L’AUTRE
EN RESPECT ». C’est alors qu’on comprend mieux les
récriminations des petits cancrelats interviewés par le JT et
Zone Interdite: « oué mé aussi la police y nous
respectent pas tu vois… Si y a pas de réspé, peut pas y avoir de
paix ».
Il me semble que ce problème
d’apparence très simple recèle un soubassement étrange. Il
semble que les racailles agissent de façon purement « objective »,
comme un programme informatique qui accomplit une opération.
Je m’explique: les racailles viennent
en majorité de familles nombreuses. Leurs parents, souvent honnêtes
travailleurs, ne s’occupent pas bien d’eux. Et ainsi lâchés
dans la nature, ils accomplissent ce que la nature fait toujours :
remplir le vide, car la nature a horreur du vide.
Est-ce que l’on me suit ?
Imaginons que la France soit une personne douée d’intelligence. Et
qu’elle exige que son peuple croit en Dieu et fasse de nombreux
enfants… En effet cela a bien fonctionné depuis les Gaulois à peu
près… Pendant 2000 ans on a toujours eu au moins 5 enfants par
femme chez nous. D’ailleurs la France jusqu’en 1850 je crois
était le pays le plus peuplé d’Europe. Pourquoi ? Parce que
la mentalité Catholique exige que chaque enfant qui « arrive »
suite aux ébats d’un couple marié, soit gardé. Ainsi les
Catholiques Français ont peuplés leur pays. Les Cathos Irlandais,
Italiens ont peuplés les Etats-Unis à partir de peu d’immigrés
il ne faut pas l’oublier. Et les Français du Canada ? Au
début ils étaient à peine 5000 là bas, et n’ont presque pas
reçu d’apport de l’immigration métropolitaine. On leur a juste
envoyés 800 filles d’un couvent au 17ème
siècle, les fameuses « Filles du Roy ». Et ainsi ils se
sont mariés et ont eu de nombreux enfants, jusqu’à constituer une
nation de plusieurs millions d’individus quelques dizaines d’années
plus tard.
De quoi
crevez-vous ? Pourquoi étouffez-vous à Paris ? Peut être,
je dis bien peut être, parce que ce que je pense moi n’est pas
forcément valable pour les autres… Eh bien peut être étouffe-t-on
d’avoir adopté un mode de vie qui n’est pas le bon. Les sorties,
l’espoir de la « grande vie parisienne », le shopping,
l’argent dépensé en pure perte dans des inepties… Tout cela
laisse peu de place à deux questions primordiales : Que fais-je
sur Terre, et que vais-je laisser après moi ? Ces questions là,
les racailles se les posent. Même inconsciemment, ils se les posent.
Ainsi en découle tout leur comportement. Ils sont dans l’instinct
de survie, alors que les Blancs de centre-ville sont dans
l’instinct de mort.
Mais… Il y a une petite différence
entre les Blancs « hommes » et les Blancs « femmes »…
Ces dernières, génétiquement, hormonalement, acceptent beaucoup
moins facilement une résignation teintée de romantisme. Au bout
d’un moment, la mélancolie ça va deux secondes… Elles doivent
se reproduire, et si les Blancs s’y refusent, alors elles iront
voir les immigrés. Ce qu’elles font. Et ça s’appelle le
métissage. Ainsi les natives constituent souvent le « débouché »
objectif de l’immigration. Une immigration massifiée, qui tourne
vite « racaille » ou alors « immigration haineuse »
peu de temps après son arrivée.
Il se passe une guerre des berceaux. Mais pas une guerre ou les gens sont opposés entre eux. Une guerre ou les gens sont opposés à eux-mêmes. Leur fibre « je suis sur Terre pour m’éclater », s’oppose à leur fibre « Avec l’aide de Dieu faut que je gagne de la thune, et élève une famille unie, nombreuse et heureuse »… Et bien sûr chez les Blancs c’est souvent la première fibre qui gagne. Chez les non-Blancs immigrés c’est le contraire.
En conclusion : chaque enfant que les Blancs se refusent à faire avec leur femme, ce sera un Immigré qui le fera avec sa femme à lui. Peut être avec une Blanche, même.
Alors pour te répondre… Aime ton homme et quitte Paris. C’est mon avis. Je peux me tromper. J’espère avoir répondu à ta question.
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