On
a été élevés
dans le respect intégral des femmes, de «la femme », dans
l'admiration même, obligatoire, asexuée et ultra- castratrice, on
nous a entraînés, incités de tous les côtés lorsqu’on était
que des gamins, qu’on avait aucune expérience sur rien. On a eu le
blabla avant même d’avoir la moindre expérience. A
l’école… 12 ans… 13 ans… quand on est obnubilé par les
filles, qu’on peut rien dire rien réagir tellement qu’on est
abruti par leur beauté naissante, à côté de nous en classe, de
plus en plus naissante qui ne fait que s’épanouir énorme
au-dessus de nous, toujours plus loin en avance sur nous les hommes
les minuscules bites, elles s’en vont dans la vie toute en féminité
qui s’affirme, qu’on avait pas vu venir, et qui se confirme à
l’aise, toute en plaisir et joie de vivre, et nous on est encore
scotchés par terre, avec des complexes de merde et des « ton
corps change », on comprend pas pourquoi notre voix elle
devient grave on a honte de ces poils qui poussent autour de la
teube… et puis on en est fiers finalement, entre potes on rivalise
de fierté de poils de bite et on gueule avec nos grosses voix, on
brame comme des cerfs on fait « euuuuh » dans les douches
à l’UCPA, on est ridicule on est coercisés par la vie, par
l’avancée de la vie, on est bien attachés à notre place sur le
petit train, en avant pour le grand huit de la vie… C’est qu’on
va en voir des loopings.
Ce
qu’elles veulent c’est qu’on se batte pour elles. La
catastrophe qui mine le monde, qui cause toutes les guerres toutes
les pleurs et les souffrances c’est pas les Juifs c’est pas les
zaméricains c’est même pas les islamistes… Nous, l’occident,
la France, les blancs, crevons des droits toujours plus énormes des
femmes blanches, de leur valeur surévaluée, de leur tyrannie. Sous
leur joug, pour leur joug nous acceptons toutes les bassesses et
compromissions. Toutes les vilénies toutes les guerres les
saloperies les massacres les bagarres de rue les trafics de drogue
les combats de coq c’est rien qu’à cause des femmes, parce que
si on faisait la paix elles nous mépriseraient, elles se diraient
« celui-là c’est une tapette », voilà exactement la
situation.
Premièrement
il y a le monde animal. Le cerf se battant à mort avec un autre
cerf, et le vainqueur il baise la femelle tant désirée. Nous en
sommes exactement là. Deuxièmement il y a la séparation d’avec
la mère. On naît homme, et à ce moment là on est coupé d’avec
l’équilibre d’être un homme dans une femme notre mère ou tout
besoin est aussitôt satisfait, ou parfaitement l’équilibre se
fait, déversoir et réceptacle, yin et yang tout ce qu’on veut,
dés que l’on naît on est sevré du paradis originel et toute
notre misérable vie nous n’aurons de cesse de tâcher de retrouver
ce paradis, sans pouvoir réfréner cet instinct, sans même dans
bien des cas, pouvoir l’expliquer. C'est-à-dire que l’homme
contrairement à la femme qui elle pourra procréer et donc
reproduire ce schéma de fusion primaire avec un autre être, l’homme
disons-nous, est dés la naissance préfichu à n’être que
demi-portion assoiffée de ne faire qu’un, bite lâchée dans la
nature condamnée à trouver chatte ou bien à périr sans
descendance. Voilà exactement non la condition humaine mais la
condition de l’homme.
....On
s'aimera toute la vie! N'est-ce pas merveilleux mon chéri mon épouzé
mon bagué?... Tout en ferveur pour vous quand vous fendez fièrement
les flots vers votre but lointain, les voilà qui se mettent à
rechigner quand il vous arrive des ennuis… Les rats quittent le
navire. Votre moral qui baisse, votre capacité à rire qui se fait
moins "contre vents et marées"? La voila qui s'ennuie
alors! Et qui croise les bras, qui parle sans vous regarder avec un
son de porte qui grince… La voilà dans le désagréable, pas du
tout dans le Sissi en frou-frou mutine salope qui vous aimera toute
la vie mon chéri… Mince là…. Mais...Pourtant c'est quand on est
mal en point qu'on a besoin d'elles, ne l'ont elles pas compris?
Sinon à quoi servent-elles? A quoi sert-il de s'embarrasser d'une
femme lorsque tout va bien pour nous, lorsque nous n'avons besoin de
rien, pour qu'en plus elle s'en aille lorsque vous vous mettez à en
avoir besoin, redoublant ainsi la charge de votre fardeau, y
rajoutant de la peine et de la douleur ? A 16 ans à 20 ans ce
genre de peine là peut détruire totalement un homme… J’ai vu.
J'ai
le coeur solide J'ai
les mains pleines Quand elles seront vides diras-tu encore que tu
m'aimes?
Booba
Dans
l’idéal elles veulent habiter et travailler à New-York parce que
leur modèle absolu en tout et pour tout c’est Carrie Bradshaw.
Mais comme elles ont pas la carte verte le plus souvent elles
s’installent à Paris. Pas toutes seules hein ! Leurs parents
leur frère, leur cocu de mec les aide énormément bien sûr. Paris
donc. Paris c'est effroyable, complètement féminin de
Bercy-"village" au "refuge montmartrois". Dans
leurs lofts même si c’est pas des lofts elles se prennent pour les
descendants des personnages de Doisneau peut être. Allons respirer
ce Paris rêvé, le Paris des artistes savez-vous? Ah! Olivia
Ruiiiiiz! La beeeelle Emma de Caunes! L'admiraaaable Marie Drucker!
Ce sont nos Carrie Bradshaw à nous ! Avez-vous lu l’
interview-vérité dans TGV magazine avec les photos façon "portrait
Salgado"? Avez-vous vu ? Ah la féminité à fleur de peau!
On ne naît pas femmes on le devient qu’y avait écrit... Mais oui
c'est tout un parcours comprenez-vous? Pas un parcours bêtement
terrestre du style Armée, formation des nageurs de combat non non…
Un parcours psychanalytique, tortueux dans la féminité, jalonné de
contre-transfert et de sublimation du pathos à la rencontre du moi
intrinsèque, il faut lire Angot! Ces femmes-actrices qui vont vers
la difficulté de « jouer des personnages difficiles » !
N’est-ce
pas remarquable ? En fait nous les femmes on déplace des
montagnes mais psychanalytiquement, ça se voit pas et on du coup on
n’est pas récompensées à notre juste valeur. Ah! Ces sublimes
femmes-nuances, femmes-paradoxes! Ces fines-mais-fortes! Ces
femmes-moutarde, ces femmes-Amora! Amora-amouuuuuur!.... Faaaaamme,
je vous aaaaaaaime…. Ah les cocons insoupçonnés dans les
quartiers "encore préservés"! Par ici les palmarès
gourmands, les bonnes adresses, les festivals du chocolats, les
agendas-sortie, les espace-photo, les portraits de femme, les bite de
black, les goûters chic pour rentrée choc, les révélations du
petit écran les bons plans de la semaine, les baby-rockeuses
survitaminées, les nouvelles frimousses mutines… Mais aaaargh
foutre-putasserie de ces simagrées, de cette cuistrerie de cette
muflerie des femmes toute en ongles rouges et pertes blanches, je les
vomis ces crasseuses ces pouilleuses qui dégueulassent Paris de leur
pouvoir d'achat, faisant de la ville un machin tout faiblasse et
lâche, adaptée à elles, toutes en paradoxes merdiques qu'il
faudrait applaudir en bon psychanalysés qui chantent "femme je
vous aime"… Ca les dérange pas hein ces jacasseuses les
racailles par milliers, les merdes de chiens, les impôts qui
étranglent l'amant imbécile prié de payer l'addition au resto, les
hagras sur les boloss, oh nooon! Voyons! C'est tout bénef! Ca fait
de la concurrence, c'est beau tous ces taureaux qui s'enculent pour
nous les femmes!... Nous on est à l'écart du grand combat, nous on
compte les points et on écarte les cuisses à la fin, on applaudit,
on lève le pouce à la fin si on est gentille… Regardez le monde
entier qui se contorsionne, qui se répand en servilité "pour
nous les filles". C'est bien la preuve qu'on "vaut"
énormément! Ils sont extrêmement stupides et prévisibles en face,
parce qu'ils veulent nous baiser et nous vendre leurs produits
spécialement pensés pour nous les filles, ah qu’est-ce qu'on fait
monter la pression!...
Qu'est
ce que c'est marrant comme on marche et comme ils courent, ils jouent
les forts mais ils n'ont aucune emprise sur nous, Carrie Bradshaw n'a
besoin de rien elle a la chatte physique et la bite sociale et on est
toutes plus ou moins Carrie Bradshaw, on est dans le canot de
sauvetage et les autres ils sont dans la flotte… Et ils nous
poussent en plus, pour pas qu'on se fatigue trop à ramer! Regardez
Di Caprio à la fin de Titanic. Le bon blaireau occidental. C'est
qu'on est fragile "nous les femmes" savez-vous. Les hommes
se font intégralement ratatinés par les femmes et en plus ils
redoublent de Julienclérisme, étranglés qu'ils sont ces pétochards
par la terreur de ne pas baiser. C’est pour ça qu’ils se
soumettent.
Paris
pour nous les filles, minuscule territoire à parcourir en taxi pour
pas se faire emmerder, en tant que belle fille jamais on est en
contact avec l'air libre c'est à dire putréfié, de Paris… Pour
elles c'est « ah! Paris! ». Ses macarons Ladurée ses
Flandrin ses La Perle ses American Apparel, « j'adore les
vernissages », « excuse-moi ce soir j’ai un dîner »…
Ah « tu as » un dîner vraiment ? Paris, ses
appartements avec parquet tout bien chauffé, appartement protégé
fermé à double tour, honnête ouvrier tu rentreras jamais, les
salopes exploiteuses possesseuses d’appartement payés avec de
l’argent gagné à des trucs de merde… Qu’elles y aillent faire
les fanfaronnes-indépendantes dans des métiers d’homme si elles
le peuvent, routier, éboueur, maçon, ouvrier, policier, magasinier,
tous les trucs bien affreux bien pourris, là… Elles bossent dans
des bureaux, c’est pas trop difficile, leurs patrons les favorisent
parce qu’ils se sentent en séduction ainsi. Faut voir comme ils
jouissent de faire les protecteurs ces putains de patrons pardon de
« manager », quand ils ont des filles dans leur équipe.
C’est à tout point de vue peinard la vie de Carrie Bradshaw. On
passe de l'apparte au travail, puis au taxi, du taxi au bar, du bar à
la Smart de Mélodie de la smart au club sans faire la queue, du club
a la Porsche de Fabrizio… Trottoir, plancher, ascenceur, tous ce
qu’on foule est parfaitement droit, lisse, féminin, faiblard,
entièrement adapté aux femmes. On travaille assis à des bureaux,
on regarde des ordinateurs, on clique. On circule en transports qui
ne demandent aucun effort, rien n’est fatigant, bref rien ne
requiert de la force physique. La force physique vient des muscles
qui eux viennent de la testostérone, hormone mâle exclusivement.
Conclusion : on n’a pas besoin de nous. Les activités du pays
ou l’on vit sont réglées par l’automatisation des processus et
leur rationalisation à l’extrême, on fait et l’on refait, on ne
découvre ni ne crée rien, mais l’on range on classe et on
archive, catégories féminines par excellence, monde animal compris.
Y a plus rien à construire, c’est déjà tout fait. On est dans le
féminin jusqu’au cou. On est baisés. Mais elles… Jamais
d'emmerdes, jamais de face à face avec la rue avec le risque avec le
réel…. Elles ne connaissent pas Paris-racailles,
Paris-pigeon mort, Paris kefta-boulettes, Paris-métro bondé,
Paris-embrouille de vénères... Mais nous lorsque nous sortions
parfois le soir c’était: dégagés de La Perle, maravés au
Connétable, partout conspués, niés, ignorés. On venait chercher,
pardon, un peu d'amour en naïfs travailleurs qui se disent qu'après
le travail le réconfort et sur quoi tombions-nous? Sur des relations
affreusement coercitives de femmes-marâtres qui jouent à la
femme-enfant et nous poussent sous la pluie depuis leur place au
chaud sous le store en toile, le tout en nous sommant de "rester
mignon"… Ca ainsi que des affreux semi-pédés sud-américains
qui menaçaient de nous égorger ou quelque chose comme ça alors que
c'est eux qui nous avaient marchés sur les pieds, galvanisés qu’ils
étaient, par la coke, "Paris qui bat la mesure" et par les
filles à qui il faut toujours montrer qu'on est que en muscles
souples et bite raide.
Connaissez-vous la
marque « Comptoir des Cotonniers » ? C'est la
quintessence du triomphe des rapports filles-mères bien enfoncés
dans le pathos, dans l'exclusion de toute bite de toute autorité de
père qui fait fermer sa gueule à la mère qui rapporte moins de
thune au foyer et à la fille qui veut sortir avec ses copines au
festival "musiques métisses". Dans « comptoir »
comme au tribunal du peuple y en a que pour les mères castratrices
divorcées qui empochent le magot. Les autres, souvenons-nous, les
bonnes mères fidèles qui ont fait plus de 2 enfants on les insulte
de tous les noms… Sauf alors muslims ou nègroides. Là
on acclââme ! Là on dit « respect » avec un air
entendu, on trouve ça formidââble et tellement original,
tellement… spontané ! La chiée de gosses !
La ribambelle ! Qui s’en va cracher par terre et parler fort
dés 10 ans… « C’est passk’on travaille trop pour s’en
occuper » qu’ils pleurnichent papa bokassa et mama bokassou…
Mais mama Forlani, mama Pontarlier elle a pas une chiée de gosses. 1
ou 2 pas plus, pour se retrouver dans un miroir filial, dans une
passionnante prospection individuelle en rapport avec l’autre tu
comprends ? Elle fait des enfants pour se découvrir, se
redécouvrir… T'as pas idée du nombre de conasses qui se sont
inscrites pour le casting mères-filles et nous avons remarqué, sans
monomanie aucune, que le rapport mère-fille fusionnel avec père
absent est un terrain propice à une inclination putablak (ou
blanchenègres) chez les jeunes filles caucasiennes...Ainsi dans le
titre "Comptoir des Cotonniers" pointe déjà en filigrane
l'idée de cotonnier, les champs de coton, les nègres qui portent
les ballots de coton n’est-ce pas, les épaules robustes la sueur
qui perle sur la peau noire en contre-jour, le coton blanc sur la
peau noire tout ca… Les esclaves, la culpabilité des blancs pour
l'esclavage, la fille du propriétaire du champ de coton qui baise
avec tous les esclaves de la plantation, c'est ça "Comptoir des
Cotonniers" quelque part, c’est cette dimension « femmes
blanches contre le racisme ».
Plus
elles sont blanches, poussées loin dans l’aryanisme rose, blanc,
bleu, blond, et plus elles sont outrancièrement féministes
imbaisables, matrones juchées sur une carrière, salopes
antiracistes, militantes anti-bite, « femme debout »
castratrices irrespirables, harpies-ségolène mères abusives qui
frappe l’enfant avec une règle en fer sur le pénis pour lui
reprocher ses érections lors du bain. Prenons Nicole Kidman. La
voilà ambassadrice de bonne volonté pour le Fonds de développement
des Nations Unies pour la femme (Unifem), qui témoigne devant une
sous-commission des Affaires étrangères de la Chambre des
représentants d’on ne sait quel pays, association ou foutre grande
loge. Putain mais Kidman quoi. Toute blanche toute en fleurs la voila
au micro devant une sous-commission pour l'hymne à la femme enfin
bref, et qu'est ce qu'elle nous dit? Elle nous dit que y en a marre
des viols systématiques dans les conflits ethniques… Elle nous
parle de l'Afrique surement… Là depuis sa chambre des
représentants planquée quelque part aux USA bien vaginocrate -15
ans de prison enculé à la matraque si tu met une main au cul à
Carrie Bradshaw là bas- elle prend position l'intrépide femme
Kidman… Depuis sa chambre des représentants qui représentent on
ne sait pas très bien qui, elle entend faire pression sur le monde,
et faire adopter l'International Violence Against Women Act (IVAWA),
un projet de loi qui influencerait la politique étrangère des
Etats-Unis vis-à-vis des pays où les droits des femmes ne sont pas
respectés, textuel…Droits pas respectés, tu veux dire pas autant
respectés qu’en Occident ? Carrie Bradshaw selon toi elle est
assez respectée ou il faut « plus de respect » comme
ils disent les racailles? Sache Kidman qu'il y a en Afrique des
millions de n***** bien n***** tout transpirants de sueur n***ique
qui ont énormément envie de te violer parce que tu es trop bonne
trop blanche et délicate, resplendissante de santé blanche, rare
comme un trèfle à quatre feuilles dans un parterre de ronces
acérées et consanguines, et que tu les énerves à les castrer
symboliquement avec ton IVAWA, et que s’ils te tenaient ils se
laveraient la bite noire jusqu'au fond de ta petite chatte de blanche
te limeraient sur un rythme de tam-tam jusqu'à ce que foutre s'en
suive… Si d'aventure tu fait le déplacement en Afrique à la
manière de ces glorieux Malraux en Espagne, ces Bernard-Henri en
Bosnie, pour "aller
courageusement sur le terrain pour euh… euh… voir sur le terrain"
prend avec toi quelques gardes du corps non-violeurs pour te
protéger, qu'ils forment autour de toi un rempart hérissé de
piques tenant à distance les masses de bam****** enculeurs se
pressant comme des bêtes instinctivement désireuses d'améliorer
leur descendance.
La
féminité occidentale si ça existe est pour info actuellement
exactement personnifiée en Ségolène Royal politicarde mère
divorcée castratrice. On peut y rajouter les 4 biatches de la série
Sex and the City, Diams chanteuse voilée, et Bobby Starr actrice de
films de uke.
Les
nouvelles du jour. Gros plan sur pute blanche numéro 2456. « Mère
de trois enfants, l’ancien mannequin, 31 ans, s’épanouit en
comédienne passionnée »
que c’est marqué. Elles n’ont pas besoin de nous, et cela
explique tout et l'explication du monde s'arrête là c'est tout. Et
ça fout tout par terre qu’elles n’aient pas besoin. Il n’y a
pas de « libre
adhésion à un système de valeurs… »
c’est du baratin ça. C’est soit elles ont besoin de nous, soit
on a besoin d’elles. Et c’est le cas on a besoin d’elles. Pour
nous reproduire. Pas elles, y a des banques du sperme si elles
veulent. Comme elles en profitent… Les sales putains ! Comme
elles s’en rendent compte qu’elles ont tous les atouts et nous
aucun… Comme elles appuient sur le petit point faible des
hommes ! Comme en appuyant dessus elles s’élèvent ! Et
persuadées qu’elles sont arrivées là-haut grâce à elles
seules comme elles exigent alors ! Comme elles font marcher le
monde, impitoyable cette fois, plus du tout « femme sœurs de
ceux qui souffrent »… Les femmes belles et riches sont les
êtres les plus dégueulassement méchants de la planète, les plus
vachards, sadiques à faire souffrir, à se faire servir, tenant par
les couilles la race mâle complètement bernée, éberluée,
parfaitement abrutie d’espoir à la reconnaissance…. Elles font
souffrir, et elles font souffrir comme des esclaves affranchis, comme
des petits contremaîtres d’usine qui écrasent autant qu’elles
le peuvent le petit ouvrier resté impromu : l’homme,
l’imbécile cocu homme. Quand une fille ressemble à ça sur la
photo et travaille à Price Water House Coopers que deviens la valeur
ajoutée de ta misérable bite? Elle serait reliée à la tête de
Brad Pitt qu'elle ne la sucerait même pas! Pas assez fun, trop
blanc, trop normal… Elle n'a pas besoin de toi en couple, même pas
pour tirer un coup… Elle n'est pas une "blessée de la vie"
ou une prédisposée à la générosité. Elle est beaucoup plus
fasciste que tu ne le crois. Et en plus elle est tout en haut du
piédestal là-haut, thune, sécurité, et y a même julien clerc
pour leur chanter des "femme je vous aime" et des tas de
chapons pour les défendre. Elles n’ont pas besoin c'est évident,
alors pourquoi elles sont toutes avec des mecs? "mon mec"…
Que se salissent-elles le paysage avec un mec dans les pattes,
qu'elles tiennent par le bout du sarce qu'elles accaparent de leurs
jacasseries? Ca sert à quoi? Elles ne savent pas rester seules, se
priver, vivre d’ascèse. De leurs relations elles ne ressortent que
plus laides plus vieilles, rêches, desséchées, fatiguées, la
chatte plus élargie, la féminité plus désenchantée encore, et le
corps plus souillé. Ou sont les femmes belles et prudes ?
Mais
surtout ce qui nous indigne absolument lorsque nous les fréquentons
intimement, c’est leur mode de vie… Cette façon complètement
décousue, infoutue d’organiser le monde, de trouver que tout est
soitcool soit boring,
ce manichéisme de la fille… Et puis ces goûts tous similaires des
unes aux autres, de la Flandre à la Dalmatie… Lire Public « juste
comme ça pour m’occuper », regarder des séries de
merde « parce que c’est prenant »… Ces cruches elles
sont complètement d’accord avec toutes ces foutaises qui nous
révoltent. En les fréquentant on voit l’autre côté du miroir et
l’on comprend que la « décadence » de nos sociétés
tellement traquée et analysée elle se trouve entièrement
justifiée, appuyée et abondamment nourrie par… nos femmes, là à
deux pas de nous, au biberon au sein qu’elle allaitent le monstre
les sales putains !... Et tous les jours encore ! Avec une
assiduité et une constance que jamais elles ne mettent à vous sucer
la bite, parce que c’est bien ça le point d’achoppement :
leur liberté de fâââmme elle la dépense en foutreries
consommatoires pas en don d’elle-même vers « l’autre ».
L’absolu échec des humanistes : donnez davantage de liberté
à l’opprimé et tout de suite il ne fait que des saloperies.
C’est
effroyable ce qu’on peut se tromper sur elles, on grandit avec nos
illusions, on les croit chastes princesses occupées ce soir à dîner
avec leur meilleur copine comme elles nous l’on jurées au
téléphone… Elles sont en fait quittant le Dotty Night main dans
la main avec Bonoba, nègre de son état qu’elles ramènent chez
elles pour s’y révéler cuisses ouvertes oui monsieur c’est
comme ça !
Nous
disons qu’elles sont méchantes surtout les femmes blanches de
notre pays, que si c’était un combat des sexes comme elles le
disent qui se transmet à travers les âges eh bien il n’y a pas si
longtemps, une ou deux générations en arrière, nous les tenions à
notre merci, et n’avons pas abusé. Mais elles, putains sadiques,
ne connaissent pas la bonté d’âme et, comme des objets aux
enchères elles se donnent au plus offrant, à la valeur la plus
écrasante sur le marché, et exigent tout plein de respect et de
révérences par dessus le marché. La révérence on la leur fait
parce qu’on espère encore les tringler, con qu’on est, comme ces
courtisans obséquieux qui se répandaient en éloges, brûlant
d’obtenir une faveur du maître. Ce genre de rapport les
choque disent-elles, les sensibles, pourtant lorsqu’elles ont la
place du maître ce schéma là leur sied très bien.
« Le
racisme c’est la lutte pour le vagin des jeunes femmes »
Michel Houellebecq
Les
nègres, les basanés – le monde entier est basané sauf l’occident
regardez bien – brûlent de se répandre parmi nous et de grossir,
de se multiplier énormément et de prendre nos femmes, les racées à
nez droit, à peau de pêche, à gènes récessifs tout plein de
santé, les femmes blanches. Une fois qu’ils y sont ils n’avouent
la vérité « je baise femmes blanches » qu’à leurs
amis noirs. Face aux imbéciles cocus blancs ils jouent le citoyen de
la Terre « mais enfin nous sommes des humains, il y a des
blancs il y a des noirs, voilà on se mélange… »
L’immonde tartufferie ! Le vieux mensonge dégueulasse la
putasserie dévote ! Il nous dit ça comme si on était des
couleurs interchangeables, des danettes dans un pack de 12, 6
vanilles et 6 cacas… Alors qu’il sait très bien s’il est pas
top con qu’il y a sur Terre un tout petit ilôt blanc de caucasiens
timides et pacifiques… et autour des assaillants de toutes parts,
dix milliards de basanés mélanineux agressifs réclamant à qui
mieux-mieux, jouant un jour le violent un jour la victime, il sait
très bien que c’est ça le schéma, et il appuie de toutes ses
forces sur la barque de sauvetage pour la faire chavirer, faire
couler tous les blancs ces salauds qui prétendaient s’en
sortir, tirer à lui tout le profit, tout le trône confortable afin
de s’y vautrer en roitelet de ses pères boursouflés d’orgueil
et d’ingratitude « tu te rends compte bokassa le chemin que
notre peuple a parcouru ». Les blancs qu’on nous appelle.
Comme c’est facile. Est-ce qu’on est blanc bon sang de foutre ?
En quoi il est blanc José Garcia ?
De
quoi crevons nous ? De ce que les femmes blanches ont beaucoup
trop de pouvoir, c’est devenu du délire, c’est beaucoup trop
énorme leur voix au chapitre, et nous… nous en face on est tout
petits, on est restés comme au 19eme siècle alors que elles…elles,
leurs droits n’ont fait qu’augmenter depuis, se multiplier, se
boursoufler de partout jusqu’à ce qu’elles en deviennent
complètement intouchables, besoin de rien envie de tout, ce sont
leur désirs qui pillent le monde, qui pillent le masculin, libido et
énergie, elles absorbent tout les femmes, sangsues sur le monde,
gavées de droit, de beurre et d’argent du beurre.
Et
plus elles bouffent moins elles sont satisfaites au contraire !
Ca s’arrête jamais ce truc, parce que lorsqu’ elles
investissent un nouveau territoire, n’importe lequel, le vote, la
candidature politique, la peinture, le business, elles ne disent pas
« quelle grâce d’arriver là aujourd’hui » mais
« c’est pas trop tôt ! Il faut continuer de lutter pour
que ça soit comme ça encore plus ». Encore plus, voilà la
morale.
Y
a qu’une solution faut
les voiler ces sales putain dégénérées, faut les voiler
comme font les muslims. Quand elles se baladent cheveux clairs au
vent dans la rue ça fout une merde terrible dans l’esprit des
hommes parce que les hommes dans la rue c’est pas tous des
civilisés. C’est le bordel dans les rues. Sur 4000 ans d’histoire
chacun vivait de son côté, les abyssins en Afrique les perses en
Iran les brouneux en Arabie, les aryens en Scandinavie… Mais
maintenant c’est l’emberlificotage permanent, dans les rues de
Copenhague y a 3 blonds et cinquante fois plus de gris-maronnasses
avec des cernes et des poches sous les yeux… Eux de là ou ils
viennent y a pas de superbes femmes blondes tout en santé
découvertes dans les rues, comme ça en « libre accès »…
Voilà que tout d’un coup on leur jette ça à la face. Et en plus
sur les panneaux publicitaires, énormes et nombreux, 1 tous les 20
pas sur le trottoir, on leur présente les mêmes salopes aryennes,
de Malmö à Istanbul, rien que des aryennes dans les pubs, jambes
nues comme des salopes, vent dans les cheveux et pointes au bout des
seins… Ca fait augmenter énormément la pression concurrentielle
chez l’homme, ça presse, ça urge en lui le besoin de s’accoupler
de se réaliser… On marche dans la rue, on va à notre désagréable
rendez-vous professionnel, et on est accablés par ces images qui
distillent continuellement ces petites piques, nous maintenant ainsi
dans un état permanent d’urgence… on avait oublié le combat
depuis deux secondes ? Voici le panneau publicitaire pour te
rappeler à l’ordre ! Et il faut fermer sa gueule en plus !
Il faut continuer à adorer les femmes, à se faire la guerre entre
hommes, à dégager le torse, à faire les larges épaules tout le
bataclan…
Alors
yaka faire des décrets-lois qui obligent toute femme blanche à
porter un voile qui cache ses cheveux. Là on soufflera un peu.
Un
mot sur ces cons de brouneux avec leur agressivité qui perlent au
front et leurs poches sous les yeux, ces cons crispés sur leurs
traditions imbéciles et fiers avec ça ! Fiers de leur
merderie, de leur langue gutturale dégueulasse de leur piètre
savoir-faire, de leurs simagrées, de leur attirail misérable, eh
bien qu’est ce qu’ils font les brouneux ? Ils foutent des
voiles sur leurs sœurs leurs femmes leurs mères. Pourquoi ?
Parce qu’ils sont obsédés, dans leur fierté imbécile qui les
taraude, qui les tarabustent jour et nuit… Leur permanent tourment
à eux c’est de baiser la femme de l’autre mais de pas se faire
baiser sa femme à soi, ni sa mère ni sa sœur. C’est un bâtard
algéro-céfran qui vous parle ! En connaissance de cause je
parle. Voilà exactement comment ils pensent. Et donc ils ont trouvés
le truc, ils encouragent leurs nanas par leurs tartufferies
faussement dévotes « aya c’est les traditions… aya faut tu
sois pure sœur… » à se torchonner la ganache. Le voile
c’est censé éteindre le désir des étrangers. .. Mais de quel
désir tu parles ? Tes sœurs, tes crasseuses c’est rien que
des thons, elles sont dégueulasses on en voudrait pas même gratos
tu comprends pas ? C’est ta fierté qui t’aveugle une fois
de plus ! Ta fierté qui te fait croire en une quelconque
excellence de ta race, en une quelconque beauté « bronzée »
de tes nanas… Elles sont à vomir tes nanas Boukrahm tu savais
pas ? Elles sont suantes de graisse pimentée, âcre, râclantes
à la gorge comme ta langue infâme, pauvres, misérables, rien que
grises de peau et de muqueuses, grossières de traits,
disharmonieuses, basses-du-cul, larges des hanches, boursouflées du
nombril… Il émane d’elles un nous-ne-savons-quoi de repoussant…
On ne peut pas nous la faire avec le coup de la « jolie
beurette »… On le perçoit qu’elles sont consanguines,
malades, naturellement inclinées à l’inélégance et à la
paresse. Tu peux les dévoiler si tu veux on les touchera pas tes
pierres précieuses ducon-larbi.
Tu
veux des pierres précieuses ? On en a nous. Et des belles et
des véritables, pas des oxydes de zirconium. Des savamment
sculptées, des prouesses d’aryanisme, le nez bien droit bien
finaud, les freckles, les longs cils noirs sur yeux verts émeraude ,
bleus lapis-lazulis , gris diamants, tous les reflets de
l’arc-en-ciel sur une frimousse, blancheur, blondeur, miracles de
l’humanité, diversité, couleurs, contrastes à l’échelle d’une
seule fille… Les fesses hautes, les jambes qui font deux tiers du
corps, les chevilles fines, aux tendons nerveux comme ceux d’un
pur-sang, le port altier, la santé et la richesse physique… Les
voilà nos pierres précieuses à nous… Reconnais qu’elles valent
autrement le coup d’être voilées que tes vieux cailloux ne
crois-tu pas Boukrade? A 30 ans Marlène Jobert, Diana Rigg,
Françoise Hardy, Shirley Bousquet, Michèle Laroque, Erika Moulet
c’est quand même autre chose que même la mieux sortie de tes
brouneuses au même âge qu’est-ce t’en dis ? Compare
donc Shotrehf !
En
fait nos femmes, à un certain moment dans l’histoire, sont
devenues si belles et si puissantes, qu’elles nous ont « dépassés »
voilà tout. On ne pouvait plus lutter. Cela n’est pas arrivé aux
autres peuples du monde parce que leurs femmes sont moins belles,
beaucoup plus laborieusement féminines… Elles sont à la base
comme on dit, mal barrées… Tous leurs efforts d’arrangements, de
camouflage et de maquillage, si vous regardez bien, ne
tendent que vers un seul but : se faire davantage blanches et
aryennes. Indiennes, brouneuses, négresses, chinoises, latines,
elles n’ont qu’un modèle : la femme aryenne nordique.
Toutes les femmes du monde n’ont de cesse de se blanchir la peau,
de se remonter les pommettes, de se raidir les cheveux, de se
débrider les yeux, de s’épiler les poils, de les blondir… Elles
veulent être physiquement caucasiennes, mais aussi socialement.
Gagner plus d’argent, avoir plus de droits, une meilleur déco
d’intérieur, un job dans un bureau, voyager en avion, faire du
shopping, s’amuser, tout le bataclan… Elles veulent être la plus
claire possible de ce que permet la gamme chromatique, comprenant que
la quintessence de la féminité c’est la clarté quoi qu’il
arrive.
Elles
sont trop belles trop provocantes nos femmes alors qu’on les
voile ! Foutre ! Qu’on les tonde ou qu’on les bâche,
qu’elles aient honte les coupables! Les infidèles ! Qu’elles
en chialent rien à foutre ! On y croit pas, on y croit plus à
leur pleurs ! Terminé ! Par faiblesse on a cédé à
toutes leurs requêtes « parce que je n’aime pas te voir
pleurer ma chérie » la belle foutaise ! On n’est pas
dans la merde les chevaliers-cocus aujourd’hui!
Voulez-vous
la paix dans le monde ? L’harmonie et tout et tout ? Ok !
Alors voile sur les femmes blanches! Kilomètres carrés de
tissu ! Que ça couvre, que ça recouvre ! Que plus
personne ne puisse dire « elle est bonne elle ! ».
Hygiénisme ! Humilité ! Fermage de gueule ! Enrayer
l’infernale, l’effroyable permanente concurrence, la tentaculaire
saloperie qui altère corrode pourrit toute quiétude, toute patiente
construction avec un seul cul, avec une seule exhibition de blondeur.
Il faut que les femmes d’ici ferment leur gueule comme elles
ferment leur gueule dans tous les pays sauf le nôtre, tous les pays
dont on acclame les us et coutumes parce que c’est des pays
étrangers et qu’on a rien le droit de dire sur les étrangers nous
les blancs. C’est la beauté de nos femmes qui fait monter la
violence, qui fait que les hommes se montent les uns sur les autres,
porcs en batterie excités par l’appât du gain des chattes
surévaluées, il faut qu’elles nous voient forts on en brûle de
ça, on se tortille dans tous les sens c’est un emploi du temps
complet d’arriver à ce but là. C’est pour ça les émeutes les
racailles les mauvais regards, les hagras pour un regard pour une
clope, les horribles diatribes coercitives ou l’on se décharge sur
le plus faible, les casseurs les gaz lacrymaux, les bagarres de nuit
toute l’immondice l’inélégance les nez pétés c’est
l’orgueil imbécile à se faire respecter de ces salopes vers qui
tous les regards convergent et convoitent, et elles le savent et
elles en rient, elles s’en trouvent tout à leur aise elles n’ont
pas du tout envie de dire stop.
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