Analytics

mardi 18 août 2015

Ce qu'elles veulent




On a été élevés dans le respect intégral des femmes, de «la femme », dans l'admiration même, obligatoire, asexuée et ultra- castratrice, on nous a entraînés, incités de tous les côtés lorsqu’on était que des gamins, qu’on avait aucune expérience sur rien. On a eu le blabla avant même d’avoir  la moindre expérience.  A l’école… 12 ans… 13 ans… quand on est obnubilé par les filles, qu’on peut rien dire rien réagir tellement qu’on est abruti par leur beauté naissante, à côté de nous en classe, de plus en plus naissante qui ne fait que s’épanouir énorme au-dessus de nous, toujours plus loin en avance sur nous les hommes les minuscules bites, elles s’en vont dans la vie toute en féminité qui s’affirme, qu’on avait pas vu venir, et qui se confirme à l’aise, toute en plaisir et joie de vivre, et nous on est encore scotchés par terre, avec des complexes de merde et des « ton corps change », on comprend pas pourquoi notre voix elle devient grave on a honte de ces poils qui poussent autour de la teube… et puis on en est fiers finalement, entre potes on rivalise de fierté de poils de bite et on gueule avec nos grosses voix, on brame comme des cerfs on fait « euuuuh » dans les douches à l’UCPA, on est ridicule on est coercisés par la vie, par l’avancée de la vie, on est bien attachés à notre place sur le petit train, en avant pour le grand huit de la vie… C’est qu’on va en voir des loopings.
Ce qu’elles veulent c’est qu’on se batte pour elles. La catastrophe qui mine le monde, qui cause toutes les guerres toutes les pleurs et les souffrances c’est pas les Juifs c’est pas les zaméricains c’est même pas les islamistes… Nous, l’occident, la France, les blancs, crevons des droits toujours plus énormes des femmes blanches, de leur valeur surévaluée, de leur tyrannie. Sous leur joug, pour leur joug nous acceptons toutes les bassesses et compromissions. Toutes les vilénies toutes les guerres les saloperies les massacres les bagarres de rue les trafics de drogue les combats de coq c’est rien qu’à cause des femmes, parce que si on faisait la paix elles nous mépriseraient, elles se diraient « celui-là c’est une tapette », voilà exactement la situation.
Premièrement il y a le monde animal. Le cerf se battant à mort avec un autre cerf, et le vainqueur il baise la femelle tant désirée. Nous en sommes exactement là. Deuxièmement il y a la séparation d’avec la mère. On naît homme, et à ce moment là on est coupé d’avec l’équilibre d’être un homme dans une femme notre mère ou tout besoin est aussitôt satisfait, ou parfaitement l’équilibre se fait, déversoir et réceptacle, yin et yang tout ce qu’on veut, dés que l’on naît on est sevré du paradis originel et toute notre misérable vie nous n’aurons de cesse de tâcher de retrouver ce paradis, sans pouvoir réfréner cet instinct, sans même dans bien des cas, pouvoir l’expliquer. C'est-à-dire que l’homme contrairement à la femme qui elle pourra procréer et donc reproduire ce schéma de fusion primaire avec un autre être, l’homme disons-nous, est dés la naissance préfichu à n’être que demi-portion assoiffée de ne faire qu’un, bite lâchée dans la nature condamnée à trouver chatte ou bien à périr sans descendance. Voilà exactement non la condition humaine mais la condition de l’homme.
....On s'aimera toute la vie! N'est-ce pas merveilleux mon chéri mon épouzé mon bagué?... Tout en ferveur pour vous quand vous fendez fièrement les flots vers votre but lointain, les voilà qui se mettent à rechigner quand il vous arrive des ennuis… Les rats quittent le navire. Votre moral qui baisse, votre capacité à rire qui se fait moins "contre vents et marées"? La voila qui s'ennuie alors! Et qui croise les bras, qui parle sans vous regarder avec un son de porte qui grince… La voilà dans le désagréable, pas du tout dans le Sissi en frou-frou mutine salope qui vous aimera toute la vie mon chéri… Mince là…. Mais...Pourtant c'est quand on est mal en point qu'on a besoin d'elles, ne l'ont elles pas compris? Sinon à quoi servent-elles? A quoi sert-il de s'embarrasser d'une femme lorsque tout va bien pour nous, lorsque nous n'avons besoin de rien, pour qu'en plus elle s'en aille lorsque vous vous mettez à en avoir besoin, redoublant ainsi la charge de votre fardeau, y rajoutant de la peine et de la douleur ? A 16 ans à 20 ans ce genre de peine là peut détruire totalement un homme… J’ai vu.
J'ai le coeur solide J'ai les mains pleines Quand elles seront vides diras-tu encore que tu m'aimes? 
Booba

Dans l’idéal elles veulent habiter et travailler à New-York parce que leur modèle absolu en tout et pour tout c’est Carrie Bradshaw. Mais comme elles ont pas la carte verte le plus souvent elles s’installent à Paris. Pas toutes seules hein ! Leurs parents leur frère, leur cocu de mec les aide énormément bien sûr. Paris donc. Paris c'est effroyable, complètement féminin de Bercy-"village" au "refuge montmartrois". Dans leurs lofts même si c’est pas des lofts elles se prennent pour les descendants des personnages de Doisneau peut être. Allons respirer ce Paris rêvé, le Paris des artistes savez-vous? Ah! Olivia Ruiiiiiz! La beeeelle Emma de Caunes! L'admiraaaable Marie Drucker! Ce sont nos Carrie Bradshaw à nous ! Avez-vous lu l’ interview-vérité dans TGV magazine avec les photos façon "portrait Salgado"? Avez-vous vu ? Ah la féminité à fleur de peau! On ne naît pas femmes on le devient qu’y avait écrit... Mais oui c'est tout un parcours comprenez-vous? Pas un parcours bêtement terrestre du style Armée, formation des nageurs de combat non non… Un parcours psychanalytique, tortueux dans la féminité, jalonné de contre-transfert et de sublimation du pathos à la rencontre du moi intrinsèque, il faut lire Angot! Ces femmes-actrices qui vont vers la difficulté de « jouer des personnages difficiles » !
N’est-ce pas remarquable ? En fait nous les femmes on déplace des montagnes mais psychanalytiquement, ça se voit pas et on du coup on n’est pas récompensées à notre juste valeur. Ah! Ces sublimes femmes-nuances, femmes-paradoxes! Ces fines-mais-fortes! Ces femmes-moutarde, ces femmes-Amora! Amora-amouuuuuur!.... Faaaaamme, je vous aaaaaaaime…. Ah les cocons insoupçonnés dans les quartiers "encore préservés"! Par ici les palmarès gourmands, les bonnes adresses, les festivals du chocolats, les agendas-sortie, les espace-photo, les portraits de femme, les bite de black, les goûters chic pour rentrée choc, les révélations du petit écran les bons plans de la semaine, les baby-rockeuses survitaminées, les nouvelles frimousses mutines… Mais aaaargh foutre-putasserie de ces simagrées, de cette cuistrerie de cette muflerie des femmes toute en ongles rouges et pertes blanches, je les vomis ces crasseuses ces pouilleuses qui dégueulassent Paris de leur pouvoir d'achat, faisant de la ville un machin tout faiblasse et lâche, adaptée à elles, toutes en paradoxes merdiques qu'il faudrait applaudir en bon psychanalysés qui chantent "femme je vous aime"… Ca les dérange pas hein ces jacasseuses les racailles par milliers, les merdes de chiens, les impôts qui étranglent l'amant imbécile prié de payer l'addition au resto, les hagras sur les boloss, oh nooon! Voyons! C'est tout bénef! Ca fait de la concurrence, c'est beau tous ces taureaux qui s'enculent pour nous les femmes!... Nous on est à l'écart du grand combat, nous on compte les points et on écarte les cuisses à la fin, on applaudit, on lève le pouce à la fin si on est gentille… Regardez le monde entier qui se contorsionne, qui se répand en servilité "pour nous les filles". C'est bien la preuve qu'on "vaut" énormément! Ils sont extrêmement stupides et prévisibles en face, parce qu'ils veulent nous baiser et nous vendre leurs produits spécialement pensés pour nous les filles, ah qu’est-ce qu'on fait monter la pression!...
Qu'est ce que c'est marrant comme on marche et comme ils courent, ils jouent les forts mais ils n'ont aucune emprise sur nous, Carrie Bradshaw n'a besoin de rien elle a la chatte physique et la bite sociale et on est toutes plus ou moins Carrie Bradshaw, on est dans le canot de sauvetage et les autres ils sont dans la flotte… Et ils nous poussent en plus, pour pas qu'on se fatigue trop à ramer! Regardez Di Caprio à la fin de Titanic. Le bon blaireau occidental. C'est qu'on est fragile "nous les femmes" savez-vous. Les hommes se font intégralement ratatinés par les femmes et en plus ils redoublent de Julienclérisme, étranglés qu'ils sont ces pétochards par la terreur de ne pas baiser. C’est pour ça qu’ils se soumettent.
Paris pour nous les filles, minuscule territoire à parcourir en taxi pour pas se faire emmerder, en tant que belle fille jamais on est en contact avec l'air libre c'est à dire putréfié, de Paris… Pour elles c'est « ah! Paris! ». Ses macarons Ladurée ses Flandrin ses La Perle ses American Apparel, « j'adore les vernissages », « excuse-moi ce soir j’ai un dîner »… Ah « tu as » un dîner vraiment ? Paris, ses appartements avec parquet tout bien chauffé, appartement protégé fermé à double tour, honnête ouvrier tu rentreras jamais, les salopes exploiteuses possesseuses d’appartement payés avec de l’argent gagné à des trucs de merde… Qu’elles y aillent faire les fanfaronnes-indépendantes dans des métiers d’homme si elles le peuvent, routier, éboueur, maçon, ouvrier, policier, magasinier, tous les trucs bien affreux bien pourris, là… Elles bossent dans des bureaux, c’est pas trop difficile, leurs patrons les favorisent parce qu’ils se sentent en séduction ainsi. Faut voir comme ils jouissent de faire les protecteurs ces putains de patrons pardon de « manager », quand ils ont des filles dans leur équipe. C’est à tout point de vue peinard la vie de Carrie Bradshaw. On passe de l'apparte au travail, puis au taxi, du taxi au bar, du bar à la Smart de Mélodie de la smart au club sans faire la queue, du club a la Porsche de Fabrizio… Trottoir, plancher, ascenceur, tous ce qu’on foule est parfaitement droit, lisse, féminin, faiblard, entièrement adapté aux femmes. On travaille assis à des bureaux, on regarde des ordinateurs, on clique. On circule en transports qui ne demandent aucun effort, rien n’est fatigant, bref rien ne requiert de la force physique. La force physique vient des muscles qui eux viennent de la testostérone, hormone mâle exclusivement. Conclusion : on n’a pas besoin de nous. Les activités du pays ou l’on vit sont réglées par l’automatisation des processus et leur rationalisation à l’extrême, on fait et l’on refait, on ne découvre ni ne crée rien, mais l’on range on classe et on archive, catégories féminines par excellence, monde animal compris. Y a plus rien à construire, c’est déjà tout fait. On est dans le féminin jusqu’au cou. On est baisés. Mais elles… Jamais d'emmerdes, jamais de face à face avec la rue avec le risque avec le réel…. Elles ne connaissent pas Paris-racailles, Paris-pigeon mort, Paris kefta-boulettes, Paris-métro bondé, Paris-embrouille de vénères... Mais nous lorsque nous sortions parfois le soir c’était: dégagés de La Perle, maravés au Connétable, partout conspués, niés, ignorés. On venait chercher, pardon, un peu d'amour en naïfs travailleurs qui se disent qu'après le travail le réconfort et sur quoi tombions-nous? Sur des relations affreusement coercitives de femmes-marâtres qui jouent à la femme-enfant et nous poussent sous la pluie depuis leur place au chaud sous le store en toile, le tout en nous sommant de "rester mignon"… Ca ainsi que des affreux semi-pédés sud-américains qui menaçaient de nous égorger ou quelque chose comme ça alors que c'est eux qui nous avaient marchés sur les pieds, galvanisés qu’ils étaient, par la coke, "Paris qui bat la mesure" et par les filles à qui il faut toujours montrer qu'on est que en muscles souples et bite raide.
Connaissez-vous  la marque « Comptoir des Cotonniers » ? C'est la quintessence du triomphe des rapports filles-mères bien enfoncés dans le pathos, dans l'exclusion de toute bite de toute autorité de père qui fait fermer sa gueule à la mère qui rapporte moins de thune au foyer et à la fille qui veut sortir avec ses copines au festival "musiques métisses". Dans « comptoir » comme au tribunal du peuple y en a que pour les mères castratrices divorcées qui empochent le magot. Les autres, souvenons-nous, les bonnes mères fidèles qui ont fait plus de 2 enfants on les insulte de tous les noms… Sauf alors  muslims ou nègroides. Là on acclââme ! Là on dit « respect » avec un air entendu, on trouve ça formidââble et tellement original, tellement… spontané !   La chiée de gosses ! La ribambelle ! Qui s’en va cracher par terre et parler fort dés 10 ans… « C’est passk’on travaille trop pour s’en occuper » qu’ils pleurnichent papa bokassa et mama bokassou… Mais mama Forlani, mama Pontarlier elle a pas une chiée de gosses. 1 ou 2 pas plus, pour se retrouver dans un miroir filial, dans une passionnante prospection individuelle en rapport avec l’autre tu comprends ? Elle fait des enfants pour se découvrir, se redécouvrir… T'as pas idée du nombre de conasses qui se sont inscrites pour le casting mères-filles et nous avons remarqué, sans monomanie aucune, que le rapport mère-fille fusionnel avec père absent est un terrain propice à une inclination putablak (ou blanchenègres) chez les jeunes filles caucasiennes...Ainsi dans le titre "Comptoir des Cotonniers" pointe déjà en filigrane l'idée de cotonnier, les champs de coton, les nègres qui portent les ballots de coton n’est-ce pas, les épaules robustes la sueur qui perle sur la peau noire en contre-jour, le coton blanc sur la peau noire tout ca… Les esclaves, la culpabilité des blancs pour l'esclavage, la fille du propriétaire du champ de coton qui baise avec tous les esclaves de la plantation, c'est ça "Comptoir des Cotonniers" quelque part, c’est cette dimension « femmes blanches contre le racisme ».
 Plus elles sont blanches, poussées loin dans l’aryanisme rose, blanc, bleu, blond, et plus elles sont outrancièrement féministes imbaisables, matrones juchées sur une carrière, salopes antiracistes, militantes anti-bite, « femme debout » castratrices irrespirables, harpies-ségolène mères abusives qui frappe l’enfant avec une règle en fer sur le pénis pour lui reprocher ses érections lors du bain. Prenons Nicole Kidman. La voilà ambassadrice de bonne volonté pour le Fonds de développement des Nations Unies pour la femme (Unifem), qui témoigne devant une sous-commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants d’on ne sait quel pays, association ou foutre grande loge. Putain mais Kidman quoi. Toute blanche toute en fleurs la voila au micro devant une sous-commission pour l'hymne à la femme enfin bref, et qu'est ce qu'elle nous dit? Elle nous dit que y en a marre des viols systématiques dans les conflits ethniques… Elle nous parle de l'Afrique surement… Là depuis sa chambre des représentants planquée quelque part aux USA bien vaginocrate -15 ans de prison enculé à la matraque si tu met une main au cul à Carrie Bradshaw là bas- elle prend position l'intrépide femme Kidman… Depuis sa chambre des représentants qui représentent on ne sait pas très bien qui, elle entend faire pression sur le monde, et faire adopter l'International Violence Against Women Act (IVAWA), un projet de loi qui influencerait la politique étrangère des Etats-Unis vis-à-vis des pays où les droits des femmes ne sont pas respectés, textuel…Droits pas respectés, tu veux dire pas autant respectés qu’en Occident ? Carrie Bradshaw selon toi elle est assez respectée ou il faut « plus de respect » comme ils disent les racailles? Sache Kidman qu'il y a en Afrique des millions de n***** bien n***** tout transpirants de sueur n***ique qui ont énormément envie de te violer parce que tu es trop bonne trop blanche et délicate, resplendissante de santé blanche, rare comme un trèfle à quatre feuilles dans un parterre de ronces acérées et consanguines, et que tu les énerves à les castrer symboliquement avec ton IVAWA, et que s’ils te tenaient ils se laveraient la bite noire jusqu'au fond de ta petite chatte de blanche te limeraient sur un rythme de tam-tam jusqu'à ce que foutre s'en suive… Si d'aventure tu fait le déplacement en Afrique à la manière de ces glorieux Malraux en Espagne, ces Bernard-Henri en Bosnie, pour "aller courageusement sur le terrain pour euh… euh… voir sur le terrain" prend avec toi quelques gardes du corps non-violeurs pour te protéger, qu'ils forment autour de toi un rempart hérissé de piques tenant à distance les masses de bam****** enculeurs se pressant comme des bêtes instinctivement désireuses d'améliorer leur descendance.
La féminité occidentale si ça existe est pour info actuellement exactement personnifiée en Ségolène Royal politicarde mère divorcée castratrice. On peut y rajouter les 4 biatches de la série Sex and the City, Diams chanteuse voilée, et Bobby Starr actrice de films de uke.
Les nouvelles du jour. Gros plan sur pute blanche numéro 2456. « Mère de trois enfants, l’ancien mannequin, 31 ans, s’épanouit en comédienne passionnée » que c’est marqué. Elles n’ont pas besoin de nous, et cela explique tout et l'explication du monde s'arrête là c'est tout. Et ça fout tout par terre qu’elles n’aient pas besoin. Il n’y a pas de « libre adhésion à un système de valeurs… » c’est du baratin ça. C’est soit elles ont besoin de nous, soit on a besoin d’elles. Et c’est le cas on a besoin d’elles. Pour nous reproduire. Pas elles, y a des banques du sperme si elles veulent. Comme elles en profitent… Les sales putains ! Comme elles s’en rendent compte qu’elles ont tous les atouts et nous aucun…  Comme elles appuient sur le petit point faible des hommes ! Comme en appuyant dessus elles s’élèvent ! Et persuadées qu’elles sont arrivées là-haut grâce à  elles seules comme elles exigent alors ! Comme elles font marcher le monde, impitoyable cette fois, plus du tout « femme sœurs de ceux qui souffrent »… Les femmes belles et riches sont les êtres les plus dégueulassement méchants de la planète, les plus vachards, sadiques à faire souffrir, à se faire servir, tenant par les couilles la race mâle complètement bernée, éberluée, parfaitement abrutie d’espoir à la reconnaissance…. Elles font souffrir, et elles font souffrir comme des esclaves affranchis, comme des petits contremaîtres d’usine qui écrasent autant qu’elles le peuvent le petit ouvrier resté impromu : l’homme, l’imbécile cocu homme. Quand une fille ressemble à ça sur la photo et travaille à Price Water House Coopers que deviens la valeur ajoutée de ta misérable bite? Elle serait reliée à la tête de Brad Pitt qu'elle ne la sucerait même pas! Pas assez fun, trop blanc, trop normal… Elle n'a pas besoin de toi en couple, même pas pour tirer un coup… Elle n'est pas une "blessée de la vie" ou une prédisposée à la générosité. Elle est beaucoup plus fasciste que tu ne le crois. Et en plus elle est tout en haut du piédestal là-haut, thune, sécurité, et y a même julien clerc pour leur chanter des "femme je vous aime" et des tas de chapons pour les défendre. Elles n’ont pas besoin c'est évident, alors pourquoi elles sont toutes avec des mecs? "mon mec"… Que se salissent-elles le paysage avec un mec dans les pattes, qu'elles tiennent par le bout du sarce qu'elles accaparent de leurs jacasseries? Ca sert à quoi? Elles ne savent pas rester seules, se priver, vivre d’ascèse. De leurs relations elles ne ressortent que plus laides plus vieilles, rêches, desséchées, fatiguées, la chatte plus élargie, la féminité plus désenchantée encore, et le corps plus souillé.  Ou sont les femmes belles et prudes ?
 
Mais surtout ce qui nous indigne absolument lorsque nous les fréquentons intimement, c’est leur mode de vie… Cette façon complètement décousue, infoutue d’organiser le monde, de trouver que tout est soitcool soit boring, ce manichéisme de la fille… Et puis ces goûts tous similaires des unes aux autres, de la Flandre à la Dalmatie… Lire Public « juste comme ça pour m’occuper », regarder des séries de merde « parce que c’est prenant »… Ces cruches elles sont complètement d’accord avec toutes ces foutaises qui nous révoltent. En les fréquentant on voit l’autre côté du miroir et l’on comprend que la « décadence » de nos sociétés tellement traquée et analysée elle se trouve entièrement justifiée, appuyée et abondamment nourrie par… nos femmes, là à deux pas de nous, au biberon au sein qu’elle allaitent le monstre les sales putains !... Et tous les jours encore ! Avec une assiduité et une constance que jamais elles ne mettent à vous sucer la bite, parce que c’est bien ça le point d’achoppement : leur liberté de fâââmme elle la dépense en foutreries consommatoires pas en don d’elle-même vers « l’autre ». L’absolu échec des humanistes : donnez davantage de liberté à l’opprimé et tout de suite il ne fait que des saloperies.
C’est effroyable ce qu’on peut se tromper sur elles, on grandit avec nos illusions, on les croit chastes princesses occupées ce soir à dîner avec leur meilleur copine comme elles nous l’on jurées au téléphone… Elles sont en fait quittant le Dotty Night main dans la main avec Bonoba, nègre de son état qu’elles ramènent chez elles pour s’y révéler cuisses ouvertes oui monsieur c’est comme ça !
Nous disons qu’elles sont méchantes surtout les femmes blanches de notre pays, que si c’était un combat des sexes comme elles le disent qui se transmet à travers les âges eh bien il n’y a pas si longtemps, une ou deux générations en arrière, nous les tenions à notre merci, et n’avons pas abusé. Mais elles, putains sadiques, ne connaissent pas la bonté d’âme et, comme des objets aux enchères elles se donnent au plus offrant, à la valeur la plus écrasante sur le marché, et exigent tout plein de respect et de révérences par dessus le marché. La révérence on la leur fait parce qu’on espère encore les tringler, con qu’on est, comme ces courtisans obséquieux qui se répandaient en éloges, brûlant d’obtenir  une faveur du maître. Ce genre de rapport les choque disent-elles, les sensibles, pourtant lorsqu’elles ont la place du maître ce schéma là leur sied très bien.
 « Le racisme c’est la lutte pour le vagin des jeunes femmes »  Michel Houellebecq
Les nègres, les basanés – le monde entier est basané sauf l’occident regardez bien – brûlent de se répandre parmi nous et de grossir, de se multiplier énormément et de prendre nos femmes, les racées à nez droit, à peau de pêche, à gènes récessifs tout plein de santé, les femmes blanches. Une fois qu’ils y sont ils n’avouent la vérité « je baise femmes blanches » qu’à leurs amis noirs. Face aux imbéciles cocus blancs ils jouent le citoyen de la Terre « mais enfin nous sommes des humains, il y a des blancs il y a des noirs, voilà on se mélange… »  L’immonde tartufferie ! Le vieux mensonge dégueulasse la putasserie dévote ! Il nous dit ça comme si on était des couleurs interchangeables, des danettes dans un pack de 12, 6 vanilles et 6 cacas… Alors qu’il sait très bien s’il est pas top con qu’il y a sur Terre un tout petit ilôt blanc de caucasiens timides et pacifiques… et autour des assaillants de toutes parts, dix milliards de basanés mélanineux agressifs réclamant à qui mieux-mieux, jouant un jour le violent un jour la victime, il sait très bien que c’est ça le schéma, et il appuie de toutes ses forces sur la barque de sauvetage pour la faire chavirer, faire couler tous les blancs ces salauds qui prétendaient  s’en sortir, tirer à lui tout le profit, tout le trône confortable afin de s’y vautrer en roitelet de ses pères boursouflés d’orgueil et d’ingratitude « tu te rends compte bokassa le chemin que notre peuple a parcouru ». Les blancs qu’on nous appelle. Comme c’est facile. Est-ce qu’on est blanc bon sang de foutre ? En quoi  il est blanc José Garcia ?
De quoi crevons nous ? De ce que les femmes blanches ont beaucoup trop de pouvoir, c’est devenu du délire, c’est beaucoup trop énorme leur voix au chapitre, et nous… nous en face on est tout petits, on est restés comme au 19eme siècle alors que elles…elles, leurs droits n’ont fait qu’augmenter depuis, se multiplier, se boursoufler de partout jusqu’à ce qu’elles en deviennent complètement intouchables, besoin de rien envie de tout, ce sont leur désirs qui pillent le monde, qui pillent le masculin, libido et énergie, elles absorbent tout les femmes, sangsues sur le monde, gavées de droit, de beurre et d’argent du beurre.
Et plus elles bouffent moins elles sont satisfaites au contraire ! Ca s’arrête jamais ce truc, parce que lorsqu’ elles investissent un nouveau territoire, n’importe lequel, le vote, la candidature politique, la peinture, le business, elles ne disent pas « quelle grâce d’arriver là aujourd’hui » mais « c’est pas trop tôt ! Il faut continuer de lutter pour que ça soit comme ça encore plus ». Encore plus, voilà la morale.  
Y a qu’une solution faut les voiler ces sales putain dégénérées, faut les voiler comme font les muslims. Quand elles se baladent cheveux clairs au vent dans la rue ça fout une merde terrible dans l’esprit des hommes parce que les hommes dans la rue c’est pas tous des civilisés. C’est le bordel dans les rues. Sur 4000 ans d’histoire chacun vivait de son côté, les abyssins en Afrique les perses en Iran les brouneux en Arabie, les aryens en Scandinavie… Mais maintenant c’est l’emberlificotage permanent, dans les rues de Copenhague y a 3 blonds et cinquante fois plus de gris-maronnasses avec des cernes et des poches sous les yeux… Eux de là ou ils viennent y a pas de superbes femmes blondes tout en santé découvertes dans les rues, comme ça en « libre accès »… Voilà que tout d’un coup on leur jette ça à la face. Et en plus sur les panneaux publicitaires, énormes et nombreux, 1 tous les 20 pas sur le trottoir, on leur présente les mêmes salopes aryennes, de Malmö à Istanbul, rien que des aryennes dans les pubs, jambes nues comme des salopes, vent dans les cheveux et pointes au bout des seins… Ca fait augmenter énormément la pression concurrentielle chez l’homme, ça presse, ça urge en lui le besoin de s’accoupler de se réaliser… On marche dans la rue, on va à notre désagréable rendez-vous professionnel, et on est accablés par ces images qui distillent continuellement ces petites piques, nous maintenant ainsi dans un état permanent d’urgence… on avait oublié le combat depuis deux secondes ? Voici le panneau publicitaire pour te rappeler à l’ordre ! Et il faut fermer sa gueule en plus ! Il faut continuer à adorer les femmes, à se faire la guerre entre hommes, à dégager le torse, à faire les larges épaules tout le bataclan…
Alors yaka faire des décrets-lois qui obligent toute femme blanche à porter un voile qui cache ses cheveux. Là on soufflera un peu.
Un mot sur ces cons de brouneux avec leur agressivité qui perlent au front et leurs poches sous les yeux, ces cons crispés sur leurs traditions imbéciles et fiers avec ça ! Fiers de leur merderie, de leur langue gutturale dégueulasse de leur piètre savoir-faire, de leurs simagrées, de leur attirail misérable, eh bien qu’est ce qu’ils font les brouneux ? Ils foutent des voiles sur leurs sœurs leurs femmes leurs mères. Pourquoi ? Parce qu’ils sont obsédés, dans leur fierté imbécile qui les taraude, qui les tarabustent jour et nuit… Leur permanent tourment à eux c’est de baiser la femme de l’autre mais de pas se faire baiser sa femme à soi, ni sa mère ni sa sœur. C’est un bâtard algéro-céfran qui vous parle ! En connaissance de cause je parle. Voilà exactement comment ils pensent. Et donc ils ont trouvés le truc, ils encouragent leurs nanas par leurs tartufferies faussement dévotes « aya c’est les traditions… aya faut tu sois pure sœur… » à se torchonner la ganache. Le voile c’est censé éteindre le désir des étrangers. .. Mais de quel désir tu parles ? Tes sœurs, tes crasseuses c’est rien que des thons, elles sont dégueulasses on en voudrait pas même gratos tu comprends pas ? C’est ta fierté qui t’aveugle une fois de plus ! Ta fierté qui te fait croire en une quelconque excellence de ta race, en une quelconque beauté « bronzée » de tes nanas… Elles sont à vomir tes nanas Boukrahm tu savais pas ? Elles sont suantes de graisse pimentée, âcre, râclantes à la gorge comme ta langue infâme, pauvres, misérables, rien que grises de peau et de muqueuses, grossières de traits, disharmonieuses, basses-du-cul, larges des hanches, boursouflées du nombril… Il émane d’elles un nous-ne-savons-quoi de repoussant… On ne peut pas nous la faire avec le coup de la « jolie beurette »… On le perçoit qu’elles sont consanguines, malades, naturellement inclinées à l’inélégance et à la paresse. Tu peux les dévoiler si tu veux on les touchera pas tes pierres précieuses ducon-larbi.
Tu veux des pierres précieuses ? On en a nous. Et des belles et des véritables, pas des oxydes de zirconium. Des savamment sculptées, des prouesses d’aryanisme, le nez bien droit bien finaud, les freckles, les longs cils noirs sur yeux verts émeraude , bleus lapis-lazulis , gris diamants, tous les reflets de l’arc-en-ciel sur une frimousse, blancheur, blondeur, miracles de l’humanité, diversité, couleurs, contrastes à l’échelle d’une seule fille… Les fesses hautes, les jambes qui font deux tiers du corps, les chevilles fines, aux tendons nerveux comme ceux d’un pur-sang, le port altier, la santé et la richesse physique… Les voilà nos pierres précieuses à nous… Reconnais qu’elles valent autrement le coup d’être voilées que tes vieux cailloux ne crois-tu pas Boukrade? A 30 ans Marlène Jobert, Diana Rigg, Françoise Hardy, Shirley Bousquet, Michèle Laroque, Erika Moulet c’est quand même autre chose que même la mieux sortie de tes brouneuses au même âge qu’est-ce t’en dis ? Compare donc  Shotrehf !
En fait nos femmes, à un certain moment dans l’histoire, sont devenues si belles et si puissantes, qu’elles nous ont « dépassés » voilà tout. On ne pouvait plus lutter. Cela n’est pas arrivé aux autres peuples du monde parce que leurs femmes sont moins belles, beaucoup plus laborieusement féminines… Elles sont à la base comme on dit, mal barrées… Tous leurs efforts d’arrangements, de camouflage et de  maquillage, si vous regardez bien, ne tendent que vers un seul but : se faire davantage blanches et aryennes. Indiennes, brouneuses, négresses, chinoises, latines, elles n’ont qu’un modèle : la femme aryenne nordique. Toutes les femmes du monde n’ont de cesse de se blanchir la peau, de se remonter les pommettes, de se raidir les cheveux, de se débrider les yeux, de s’épiler les poils, de les blondir… Elles veulent être physiquement caucasiennes, mais aussi socialement. Gagner plus d’argent, avoir plus de droits, une meilleur déco d’intérieur, un job dans un bureau, voyager en avion, faire du shopping, s’amuser, tout le bataclan… Elles veulent être la plus claire possible de ce que permet la gamme chromatique, comprenant que la quintessence de la féminité c’est la clarté quoi qu’il arrive.
Elles sont trop belles trop provocantes nos femmes alors qu’on les voile ! Foutre ! Qu’on les tonde ou qu’on les bâche, qu’elles aient honte les coupables! Les infidèles ! Qu’elles en chialent rien à foutre ! On y croit pas, on y croit plus à leur pleurs ! Terminé ! Par faiblesse on a cédé à toutes leurs requêtes « parce que je n’aime pas te voir pleurer ma chérie » la belle foutaise ! On n’est pas dans la merde les chevaliers-cocus aujourd’hui!
Voulez-vous la paix dans le monde ? L’harmonie et tout et tout ? Ok ! Alors voile sur les femmes blanches! Kilomètres carrés de tissu ! Que ça couvre, que ça recouvre ! Que plus personne ne puisse dire « elle est bonne elle ! ». Hygiénisme ! Humilité ! Fermage de gueule ! Enrayer l’infernale, l’effroyable permanente concurrence, la tentaculaire saloperie qui altère corrode pourrit toute quiétude, toute patiente construction avec un seul cul, avec une seule exhibition de blondeur. Il faut que les femmes d’ici ferment leur gueule comme elles ferment leur gueule dans tous les pays sauf le nôtre, tous les pays dont on acclame les us et coutumes parce que c’est des pays étrangers et qu’on a rien le droit de dire sur les étrangers nous les blancs. C’est la beauté de nos femmes qui fait monter la violence, qui fait que les hommes se montent les uns sur les autres, porcs en batterie excités par l’appât du gain des chattes surévaluées, il faut qu’elles nous voient forts on en brûle de ça, on se tortille dans tous les sens c’est un emploi du temps complet d’arriver à ce but là. C’est pour ça les émeutes les racailles les mauvais regards, les hagras pour un regard pour une clope, les horribles diatribes coercitives ou l’on se décharge sur le plus faible, les casseurs les gaz lacrymaux, les bagarres de nuit toute l’immondice l’inélégance les nez pétés c’est l’orgueil imbécile à se faire respecter de ces salopes vers qui tous les regards convergent et convoitent, et elles le savent et elles en rient, elles s’en trouvent tout à leur aise elles n’ont pas du tout envie de dire stop.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci d'utiliser, au minimum, un pseudo.
A défaut, je supprimerai le commentaire.
Merci à vous!