France,
Paris. Les femmes sont beaucoup trop puissantes. Elles ont l’argent
et l’indépendance et ont beaucoup moins besoin des hommes que les
hommes ont besoin d’elles. Je parle de besoin d’affection et
d’attention qui est uni par système de vase communicant à la
puissance sociale (argent + indépendance). Elles ont déjà la
puissance, donc pas trop besoin d’affection…
Le
rapport est complètement déséquilibré. Les femmes déjà fines
pour se débrouiller dans des sociétés très patriarcales
(exemple : monde musulman) ont ici en France un pouvoir pour
juger, jauger et mettre en concurrence les hommes, qui est beaucoup
trop énorme.
A
Paris tu peux avoir 27 ans et gagner 5000 euros par mois, si tu n’es
pas beau aucune fille ne voudra de toi. Plus qu’ailleurs dans les
sociétés riches ce sont les dons innés, la seule peine d’être
né qui prime. Tu es né beau tu jouiras. C’est tout.
Mais
on n’en est pas encore arrivé à la maturité de ce fruit
empoisonné qu’est la puissance des femmes. Tel que je le vois,
cela peut conduire à : femmes blanches très riches de 40 ans
choisissent et entretiennent des Noirs jeunes pour les baiser dans
des appartements immenses et coûteux tout là haut pendant que la
populace crève de misère morale en bas dans la rue ou les derniers
Blancs se font massacrer par les Noirs les soirs de weekend et ou les
femmes blanches sont emmenées à part, violentées ou violées avec
ou sans consentement. Oui ça je le vois bien. Quand le bitume fond,
transpire, quand c’est le grand soir, l’inattendu soir de pleine
lune bouillant avec pleins d’évènements et de tensions qui vont
se libérer en violences et destructions comme autant d’éjaculations
qui attendaient de sortir depuis des années. Il faut le voir Paris,
le sentiment d’insécurité, le sentiment que la police n’est pas
assez puissante pas assez nombreuse, pas assez motivée, que l’on
ne risque pas tellement de se faire choper si on fait le méchant,
et que de l’autre côté la masse énorme des barbares
est toujours renouvelée toujours réapprovisionnée en force vitale,
il faut voir Paris à la fin du mois de Juin et le contraste entre
les très rares jolies filles blanches qui restent et puis tout
autour le dégueulis le dépotoir de saletés de vomissures de pisse
de mégots de jus puant de chewing-gums écrasés de sacs poubelles
en désordre de voitures d’occasion mal garées de hurlements de
klaxons de fumée de lumières de feux rouges de fast-foods de
burgers en grosses photos de crottes de chiens étirées
barbouillées, il y a ces dernières filles, complètement
intouchables, sorties de la possibilité de séduction, même sorties
de la possibilité de discussion, et il y a la saleté tout autour et
il y a la masse énorme avec et autour, qui circonscrit la scène il
y a les cloisons du chapiteau ce sont les immeubles qui regardent
incrédules le spectacle, les immeubles de ce style si particulier et
pourtant si simple si évident que l’on trouve à Paris, construits
par des blonds moustachus il y a bien longtemps, et dont aujourd’hui
la location ou l’achat est si coûteux qu’une vie entière de
travail honnête ne suffirait pas à enfin y posséder son petit, son
tout petit havre de paix.
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