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mardi 11 août 2015

10.05.2009 - Anticipation




France, Paris. Les femmes sont beaucoup trop puissantes. Elles ont l’argent et l’indépendance et ont beaucoup moins besoin des hommes que les hommes ont besoin d’elles. Je parle de besoin d’affection et d’attention qui est uni par système de vase communicant à la puissance sociale (argent + indépendance). Elles ont déjà la puissance, donc pas trop besoin d’affection…
Le rapport est complètement déséquilibré. Les femmes déjà fines pour se débrouiller dans des sociétés très patriarcales (exemple : monde musulman) ont ici en France un pouvoir pour juger, jauger et mettre en concurrence les hommes, qui est beaucoup trop énorme.
A Paris tu peux avoir 27 ans et gagner 5000 euros par mois, si tu n’es pas beau aucune fille ne voudra de toi. Plus qu’ailleurs dans les sociétés riches ce sont les dons innés, la seule peine d’être né qui prime. Tu es né beau tu jouiras. C’est tout.
Mais on n’en est pas encore arrivé à la maturité de ce fruit empoisonné qu’est la puissance des femmes. Tel que je le vois, cela peut conduire à : femmes blanches très riches de 40 ans choisissent et entretiennent des Noirs jeunes pour les baiser dans des appartements immenses et coûteux tout là haut pendant que la populace crève de misère morale en bas dans la rue ou les derniers Blancs se font massacrer par les Noirs les soirs de weekend et ou les femmes blanches sont emmenées à part, violentées ou violées avec ou sans consentement. Oui ça je le vois bien. Quand le bitume fond, transpire, quand c’est le grand soir, l’inattendu soir de pleine lune bouillant avec pleins d’évènements et de tensions qui vont se libérer en violences et destructions comme autant d’éjaculations qui attendaient de sortir depuis des années. Il faut le voir Paris, le sentiment d’insécurité, le sentiment que la police n’est pas assez puissante pas assez nombreuse, pas assez motivée, que l’on ne risque pas tellement de se faire choper si on fait le méchant, et  que de l’autre côté la masse énorme des barbares est toujours renouvelée toujours réapprovisionnée en force vitale, il faut voir Paris à la fin du mois de Juin et le contraste entre les très rares jolies filles blanches qui restent et puis tout autour le dégueulis le dépotoir de saletés de vomissures de pisse de mégots de jus puant de chewing-gums écrasés de sacs poubelles en désordre de voitures d’occasion mal garées de hurlements de klaxons de fumée de lumières de feux rouges de fast-foods de burgers en grosses photos de crottes de chiens étirées barbouillées, il y a ces dernières filles, complètement intouchables, sorties de la possibilité de séduction, même sorties de la possibilité de discussion, et il y a la saleté tout autour et il y a la masse énorme avec et autour, qui circonscrit la scène il y a les cloisons du chapiteau ce sont les immeubles qui regardent incrédules le spectacle, les immeubles de ce style si particulier et pourtant si simple si évident que l’on trouve à Paris, construits par des blonds moustachus il y a bien longtemps, et dont aujourd’hui la location ou l’achat est si coûteux qu’une vie entière de travail honnête ne suffirait pas à enfin y posséder son petit, son tout petit havre de paix.  

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