Analytics

mardi 18 août 2015

4 décembre 2011 - Face à la racaille

Face à la racaille

Droit, Mutation, Sozial — Article écrit par Lounès le 4 décembre 2011 à 21 h 10 min
http://www.pacte2012.fr/video.html
Genèse
D’où vient la racaille ? Comment est-elle « née » ? Question essentielle car à priori rien n’obligeait tous ces jeunes majoritairement arabes et noirs à adhérer à ces codes-là, à ce style vestimentaire là, à ces expressions et mode de vie là. Alors comment cette catégorie sociale a-t-elle pris forme ? Puisqu’il n’y a pas eu de « congrès fondateur de la racaille » avec un chef qui qui aurait décrété que désormais, les mecs, il faudra s’habiller de telle manière, parler de telle manière etc ? Les rencontres et recherches de votre éminent serviteur l’ont conduit à cette conclusion audacieuse : le fait que la plupart des jeunes arabes et noirs adhèrent au mode de vie « racaille » remonterait au tout début des années 80 lorsqu’en réaction à quelques groupes de skinheads violents de la région parisienne sont nés les Antifas « chasseurs de skins » (cf le reportage éponyme, instructif) majoritairement FDS et qui peu à peu ont été secondés puis submergés par des auxiliaires CPF qui eux se battaient non par idéologie mais par logique d’autodéfense exagérée, en réalité pure volonté de conquête. A l’époque, les médias ont beaucoup monté en épingle ces affaires (c’était alors le triomphe de SOS Racisme), créant le mythe de la menace skin alors qu’il ne s’agissait jamais que de 100 mecs sur toute la France dont la moitié de paumés inoffensifs au moins. Très peu de vrais « nazis » là-dedans en réalité. Telle est la genèse de la racaille : une injonction très dramatisée de se défendre, question de vie ou de mort. C’était l’époque où l’on croyait que le FN avait des projets secrets de coup d’état et d’épuration ethnique, bref l’époque rêvée pour poser un socle durable de présupposés débiles. Ainsi retenons-cela : la racaille est née en réaction à quelque chose et non en déploiement spontané dans la vie comme un arbre qui sort de terre ou Simba devenant Roi Lion, une petite métaphore comme ça.
Les années 90
Au début des années 90 on disait les « voyous » : « n’allez pas aux Ulis avec les voyous, les enfants! » nous disaient les mamans d’Orsay-Mondétour. On voyait bien qu’ils étaient curieux ces gens habillés en survêtement qui avaient le droit de rester tard dans la rue la nuit, qui crachaient par terre, qui avaient des visages cireux et des airs agressifs, qui parlaient fort dans le bus, qui connaissaient des gros mots très travaillés et des expressions très imagées et parlantes. On se demandait beaucoup pourquoi leurs parents les laissaient se tenir aussi mal. Entre eux ils s’appelaient les racailles, c’est-à-dire que ce mot a toujours fait partie de leurs codes à eux et de leur lexique, et que c’est même un titre de gloire : n’importe quel « petit pédé » n’a pas à « se prendre pour une caillera ». On ne le dit jamais ça, que c’est leur appellation à eux parfaitement banale et admise, un peu comme certains Noirs qui s’appellent « négro » les uns les autres. En 1995 la sortie du film « La Haine » a permis d’observer les us et coutumes des racailles et c’est ceci la dimension la plus intéressante du film : un reflet plutôt fidèle de la réalité en termes de dialogues, de jeu, d’attitudes et comportements. La première demi-heure du film qui se déroule dans la cité est de ce point de vue très instructive (scène du toit de l’immeuble, discussions et déambulations des trois protagonistes dans le quartier…). A la manière des reportages trouvables sur Ina.fr, « La Haine » présente aussi l’intérêt d’avoir fixé sur la pellicule la mode vestimentaire de la racaille des années 90, phénomène passé et qui ne reviendra plus. C’était le temps des Reebok Pump, des jeans bruts noirs serrés, des survêtements Nike avec le sigle complet (de nos jours il y a juste la « virgule »), des dernières étincelles de la traînée « Antifa » avec certains racailleux qui portaient des pantalons de treillis comme un vestige de l’époque des squats, lorsqu’Arabes et Blancs écoutaient les Béruriers Noirs (émission « les enfants du rock » disponible sur Dailymotion) et qu’il y avait un flottement, une incertitude : quels codes et quelle hiératique allait adopter cette nouvelle jeunesse ? Car il faut bien se souvenir et identifier d’où vient tout cela, comment cela a commencé. Est-ce que l’on se souvient par exemple que les racailles des années 90 n’avaient pas les cheveux rasés ? Le Saïd de « La Haine » tiendra lieu d’aide-mémoire. Est-ce que l’on se souvient de la coupe à la Carl Lewis que portaient presque tous les Noirs (qui étaient encore assez rares en France) à l’époque ? Tout cela a changé incroyablement vite.
Le virage de l’an 2000
C’est cette année-là sauf erreur que l’on observe des changements radicaux. Le port des fameux survêtements cesse progressivement, remplacé par des éléments :
-          Empruntés au style des gays : jeans délavés artificiellement, hauts moulants en synthétique avec ou sans manches, pantalons de survêtement qui s’arrêtent sous le genou, lunettes de soleil « effet miroir » à la façon Dior et Gucci, épilation des sourcils (parfois).
-          Empruntés au style des skinheads : le crâne rasé ou alors juste la galette de cheveux sur le dessus du crâne, le pantalon (jean ou survêtement) rentré à l’intérieur de la chaussette ou de la chaussure.
Le choc de l’année 2005
La génération Bzit (blogueur influent sur Skyblog à partir de 2003) avait préparé une nouvelle classe de racailleux d’apparence plus light qui portaient des choses fluo, qui possédaient des trucs électroniques sophistiqués, qui s’arrogeaient comme on porte un déguisement le style américain (casquettes de baseball à visière plate, baggy large et maillot de basket ou de baseball). En apparence ils étaient « intégrés » (concept très pernicieux) mais en réalité ils étaient bien racailleux, plus que jamais racailleux hostiles et fiers et stupides et bouffis d’orgueil, simplement ils commençaient à utiliser les outils technologique que le progrès était venu déposer jusque dans leurs mains avides.
Mais lorsqu’un jour sur les écrans de télé on a vu dans les manifs anti-CPE le tabassage de jeunes caucasiens par des racailles, on pouvait être autant étonné de la violence de ces derniers que de leur accoutrement : des tenues très sophistiquées comme les gays du Marais à base de baggys à trous et à volants, des hauts serrés, des baskets multicolores, vêtements très seyants, très fignolés et markettés. Sur la photographie ci-dessous, davantage que la violence et la lâcheté de l’agression c’est l’accoutrement du noir qui était surprenant: aucune racaille en province n’était habillée comme cela. On aurait déclaré « ça fait pédé ça », c’était niet. Or quelques mois plus tard ils avaient tous ces fringues-là par exemple à Grenoble. Ainsi c’est bien de Paris que part l’onde d’influence de la classe « racaille ». Que l’on regarde aujourd’hui : la mode racaille est au jean serré délavé à poches et à trous avec la doudoune Moncler « sport » or ça c’est EXACTEMENT le style qui faisait fureur chez les gays urbains friqués il y a 3 ou 4 ans, et en tant qu’ancien résident de la rue de Saintonge en plein Marais à Paris je peux en attester.

En fait contrairement à ce que racontaient tous les sociologues et journalistes des années 90, nous n’assistons à aucun tassement du phénomène « racaille ». Dix ans après, quinze ans après ce sont les mêmes tronches, les mêmes rhétoriques atrocement haineuses, les mêmes techniques de victimisation pour flouer les naïfs et les mêmes histoires sordides qui se répètent et qui prospèrent. L’apparence change mais le fond reste et la catégorie sociale « racaille » dure dans le temps et se renouvelle, chose à laquelle on s’habitue mais que personne n’avait prévu.
Le mouvement invisible
J’ai beau jeu ici de faire le professeur et d’avancer calmement des arguments, d’accomplir un petit exposé. Mais nous parlons de racailles c’est-à dire de gens qui font sciemment saigner et pleurer des innocents et lorsque les infos évoquent le cent millième récit de viol de la seule Caucasienne de la cité, de meurtre d’un petit Cyril 20 ans qui rentrait de soirée, d’un arrachage d’œil d’un FDS pour une cigarette refusée ou de quarante racailles saccageant un train et aussitôt relâchés par la justice je sens la colère monter et l’écœurement aussi, je veux croire que quelque chose va se passer, que tous ces cons de Blancs vont bien finir par prendre conscience qu’ils ont des barbares en face d’eux et qu’il faut les punir avec une extrême sévérité, que les gens vont se retourner contre ces élites criminelles, bref que « ça va changer ». Et puis je vois qu’il ne se passe rien et assez désespéré, aimerais simplement savoir jusqu’où va aller ce phénomène, ce mouvement de mort. La seule question à se poser est peut-être en effet « jusqu’où ça peut aller ? ». Il n’y a jamais eu de digue qui ait arrêté la racaille parce qu’il n’y a jamais eu de digue qui ait été élevé. Et qu’on se le dise personne ne fera rien sur le terrain du combat physique. Personne ne bougera. Personne ne « résistera ». Surtout pas d’ailleurs, les militants de groupuscules d’extrême-droite qui ont des armes chez eux. Si la racaille avance, elle avance sur l’exact modèle du désert, et elle désertifie physiquement morceaux par morceaux sans rencontrer d’opposition un territoire déjà vidé spirituellement : ce qu’elle conquiert est déjà mort. C’est un mouvement, un mouvement régi par des lois naturelles, presque des lois de physique, et qui nous dépassent. Le métissage, la racaille, l’abandon du territoire, ces trois choses sont des mouvements auxquels on ne peut pas faire face avec la posture volontariste. Quelque chose nous échappe, totalement. La pensée et l’initiative passent sur « mute » et c’est effectivement un assourdissant mutisme que l’on peut entendre chez les clercs à la question « racaille ». En 20 ans de racaillisme jamais rien n’a été dit ou écrit qui colle un tant soit peu à la réalité, mais vraiment rien de rien du tout par aucun intellectuel, sociologue, éducateur, avocat, député, leader d’opinion ou n’importe quel intervenant de plateau télé. Personne n’a non plus écrit « l’impunité qui vient » un manifeste gratuit, hors de tout groupuscule ou merde idéologique, un simple condensé d’évidence rédigé brillamment et gratuitement par un Français lambda « gardien de son frère ». On fait tout à côté, on donne soit dans la colère soit dans l’analyse sociologique désincarnée, et on n’invite jamais les bons témoins ou alors on les bâillonne, ou alors on déclare qu’il ne faut pas entrer dans l’émotion, bref on n’arrive pas à évoquer ce sujet avec vérité.
Cela fait un peu « illuminé » de se lancer dans ce qui va suivre mais je crois que si la posture volontariste est impuissante c’est parce-que les racailles sont mus par une sorte de foi, une foi intuitive et instinctive. Ils « sentent » qu’un fossé va peut-être s’ouvrir dans l’avenir et ils ne seraient pas opposés à l’idée de le remplir avec nos cadavres. C’est sans doute une question de foi cette histoire-là.  Peut-être qu’une sorte de morale immanente énonce par-dessus nos bavardages que le peuple français de souche n’a le droit de prospérer et de se multiplier que s’il est intimement et visiblement uni à Dieu, or l’arrêt massif du culte chez nous est très récent ne l’oublions pas. Il est quand même étrange qu’au moment précis où l’on cessait de baptiser les enfants à la naissance (années 70-80) on ait assisté à ce moment-là et pas avant ni après en 1500 ans d’histoire à une poussée sans précédent des deux autres religions monothéistes. On a cru qu’il n’y aurait aucune conséquence à l’abandon de la vraie foi or ces conséquences sont toutes écrites dans le Deutéronome au chapitre 28 verset 15 et franchement qui peut nier que ce n’est pas exactement cela qui s’accomplit ? Un initié m’a dit que dans la Bible, lorsque Dieu veut châtier son peuple infidèle il sélectionne un autre peuple, impie celui-là, et le lance à l’assaut du premier pour que les hommes des deux camps s’entretuent. C’est au moins une donnée à prendre en compte.
Dans ce film incroyablement précurseur sorti en 1998 et intitulé « Couvre-feu », on voyait un terroriste islamiste jouer le « gentil » tout le long du film, et se revêtir d’une ceinture d’explosifs à la fin et dire ceci : « Certains pensent que l’argent c’est le pouvoir, ils ont tort. C’est la foi le pouvoir ».
Face à la racaille
Fin 2003 des autocollants des Jeunesses Identitaires parsemaient le mobilier urbain de la ville de Grenoble et proclamaient que désormais « Face à la racaille tu n’es plus seul ». Ah oui dans tes rêves gros! « Tu » as toujours été extrêmement seul face à la racaille et le seras certainement toujours. Très forts pour déceler faiblesse et doute dans le regard et dans le code kynésique les racailleux savent aussi déstabiliser par la parole avec des formules savamment étudiées répétées et testées sur plus fort et plus méchant que toi : « kess tu regardes comme ça t’as cru jrigoilais avec toi tu veux qu’j’te déchire ta gueule ? », « vas-y essaie même pas de faire le vénère genre tu fais le cas soc’ ça marche pas avec moi ça», très forts pour « tester » et bluffer. Très forts pour identifier la désertion intellectuelle et morale, ils savent par exemple que de traiter de « facho » un adversaire FDS plus fort que soi va certainement le faire douter un peu. Presque toute leur vie est tendue vers le but de dominer dans les rapports de force, et tout chez eux est pensé en fonction de cela. C’est pourquoi il n’est pas possible de les tromper, il ne faut jamais les sous-estimer, ce sont des ordures mais pas des naïfs, c’est-à-dire exactement le contraire des membres de la majorité silencieuse.
Il faut comprendre les racailles, comprendre leurs us et coutumes. Une ancienne prof de l’éducation nationale m’expliquait récemment sa démission par le fait qu’elle se retrouvait confronté à des jeunes dont la pensée et les fondamentaux lui étaient complètement étrangers et incompréhensibles. L’honnête jeune enseignante venait d’ambiances FDS studieuses et révérait les belles lettres et se retrouve soudain confrontée à d’atroces CPF passionnés par le rapport de force capables de lâcher des « comment ça « shut » ta kru tété ma mère ? » et de « vas-y c’est bon tu m’as soulé parle même pas avec moi tsé koi oublie tu fais trop rire olàlà ». Or cela c’est l’essence même de la racaille : cette aberration totale, cette inversion des valeurs, cet incroyable culot culpabilisateur. La confrontation brutale et forcée peut s’avérer très surprenante, c’est pourquoi votre humble serviteur serait partisan de s’y préparer en écoutant et en regardant.
Observer les racailles se parler, évoluer et vivre est un spectacle très instructif. Cela permet de comprendre comment ils se voient eux-mêmes, comment ils nous voient « nous », quelles sont leurs quêtes et leurs répulsions etc. Et éventuellement cela permet de les voir se battre. Il n’y a rien de plus instructif que d’observer des racailles se battre, et si l’on n’a pas le loisir de voir ce genre de scène en vrai on aura raison de fouiller Dailymotion et Youtube dans ce but-là. Parce que les racailles connaissent tous les trucs de la bagarre, toutes les techniques et tous les bluffs, toutes les lâchetés et les pièges, à quel moment garder son sang-froid et à quel moment jouer au dingue, comment faire jouer la rue contre l’adversaire et comment échapper à un agresseur plus fort que soi. Mieux que le Kravmaga, la boxe anglaise et la thaïe il y a la « bagarre de racaille », véritable MMA qui regroupe non seulement toutes les techniques, coups et torsions de membres, toutes les armes et toutes les absences de règle mais aussi et surtout toutes les approches mentales. Parce que la bagarre est un truc qui fait énormément jouer le mental : dissuasion, intimidation, énervement, peur, surpassement de la peur etc. Et les racailles sont rompus à cette dimension-là de la bagarre : identifier immédiatement qui l’on a en face soi, ce qu’il est possible d’en tirer en fonction du terrain (caméras vidéos ou pas, témoins ou pas, amis en vue ou pas…) et comment arriver à ses fins. Ce sont dans ce domaine des virtuoses et des experts, toute leur jeunesse ils l’ont passé dans l’admiration des « grands frères », dans l’espoir d’en être un jour de cette classe-là, et dans les rapports de force quotidiens avec les autres racailles. Alors lorsqu’un petit con de Blanc qu’ils peuvent  démolir selon une palette de 10 techniques disponible se pointe devant eux comme une fleur pour répondre « quoi ? » à leurs petites provocations gratuites et savantes autant dire que c’est du coq au vin pour un poivrot. Ils n’en font qu’une bouchée, ils n’auraient pas provoqué s’ils n’avaient pas déjà identifié qu’ils pouvaient se permettre de provoquer (comparaison des gabarits, du nombre des forces en présence, port d’une arme sur soi etc…) : jamais les racailles ne provoquent ni n’agressent sans avoir compris qu’il n’y avait aucun risque à le faire.  A Grenoble j’ai vu nombre de bastons finir à l’avantage des racailles parce que le ou les petits Blancs agressés étaient entrés dans des pièges : en fait les potes du provocateur si téméraire étaient allé acheter des cigarettes au bureau de tabac du coin de la rue et réapparaissaient en masse, trop ivre untel n’avait compris que le type qui se proposait de l’escorter dehors faisait en fait faisait partie de la bande des deux gars qu’il avait maîtrisé juste avant etc… On ne peut rien comprendre à la racaille si l’on n’a pas idée d’à quel point ils peuvent être vicieux et sinueux et raffinés dans l’obséquiosité.
La bagarre repose sur un équilibre préalable de dissuasion mutuelle. La bagarre commence si l’une des deux parties ne dissuade plus assez l’autre partie.
Scientifiques de l’humiliation et de la physique newtonienne, les racailles ont pour but en un minimum de coups de mettre l’autre (la « viktchime ») hors de combat et surtout en état de déshonneur manifeste. Coup de tête et balayette sont les pièces maîtresses de ce genre de partie d’échec : avec un coup de tête on peut briser un nez, faire jaillir du sang et provoquer une douleur atroce paraît-il. Avec un balayage on peut faire tomber l’autre sur le dos ou l’avant-bras, lui brisant le cubitus ou l’étouffant par choc de la cage thoracique. Il faut savoir que les racailles s’entrainent à ce genre de coup en privé, les types peuvent passer une heure à mettre des low-kicks dans un matelas ficelé autour d’un réverbère d’une cour peu fréquentée comme d’autres liraient un livre, et ce dans le seul but de s’entraîner pour pouvoir le refaire en vrai. Lors de la fête de la musique 2008 à Paris, William-Henri trop ivre s’est endormi dans un bosquet juste devant l’Hôtel de ville vers 3 heures du matin. Etant allé chercher un gobelet Macdonald pour le remplir de flotte et lui jeter à la face afin de le réveiller, j’ai été témoin de cette incroyable bagarre qui a commencé soudainement : environ 10 racailles contre 10 autres, accompagnés de quelques filles, et ça tournoyait et ça cognait et ça sautait incroyablement et à un moment un grand arabe maigre et athlétique a marché raide vers un petit arabe trappu et torse nu et lui a mis un low-kick d’une telle puissance que l’autre a exécuté un 90° parfait, se retrouvant à l’horizontale à 1m 50 du sol et bien parallèle avant d’y tomber comme une pêche, comme dans Street Fighter II ou Tekken III. Ce résultat-là correspondait certainement à des années et des années de passion pour le vice, d’entraînement, de boxe thaïe et de visionnage de K-1. Le low-kick donc. Ensuite le deuxième genre de saloperie dans laquelle excelle la racaille c’est donc le coup de tête, surtout celui sur le nez, surtout sur le nez des bons cons de Blancs qui l’ont bien rectiligne bien droit, défi aux autres races si crochues si busquées si brèves et fonçantes vers le bas, métaphore de leur tropisme pour le bas, pour le sol poisseux et terreux et verdeux, magma qui leur ressemble, matrice de toutes leurs idoles matérialistes vers quoi tous leurs désirs et mouvements tendent naturellement, comme guidés par le panneau indicateur de ces nez atroces. Ils veulent mettre le coup de tête sur le nez et pour cela ils prétendent avancer comme ça, en pleine lumière, bien « courageux » jusqu’à arriver à deux centimètres de votre tronche et là dire « quoi ? kess kiya ? »et là BAM coup de tête terminé, douleur et honte et rancœur impuissante, et la désertification prend un petit morceau de plus.
Pour se sortir d’une marave voici quelques idées que les parents peuvent donner aux enfants :
-          On ne joue pas au méchant si l’on n’est pas méchant. On est soi-même, avec ses faiblesses et son accent à soi et ses manières de bouger à soi (beaucoup parfois, perdant leurs moyens se mettent à faire eux-aussi la racaille) et l’on garde bien à l’esprit que la racaille « sent » très bien les choses, et sent si vous êtes faux ou vrai. On n’entre pas dans la provocation car si celle-ci est toujours gratuite et malveillante elle est aussi toujours « réfléchie ». La racaille ne provoque jamais si elle risque d’être prise en défaut par la suite.
-          On se tient le plus droit possible. L’anxiété a tendance à faire s’affaisser malgré-lui le mis en cause et ainsi à diminuer d’autant sa capacité de dissuasion.
-          On garde à l’esprit qu’un coup peut partir à tout moment mais autant que faire se peut on garde les bras plutôt le long du corps pour ne pas éveiller de soupçons. D’une manière générale on tachera d’avoir l’air inoffensif (mais bien droit) jusqu’au dernier moment.
-          Si l’un des racailleux s’approche à deux centimètres du visage pour venir dire des insultes, sans reculer on baissera la tête et louchera un peu pour regarder l’autre toujours bien dans les yeux, ce qui rendra un éventuel coup de tête très peu efficace : au pire on le prendra sur le front ce qui ne fait pas mal ni ne surprend. La tête bien baissée et le menton bien rentré.
-          Enfin on prendra garde aux balayages et on sera bien inspiré de s’entraîner dans un club de boxe ou au moins de taper régulièrement  dans un sac et de posséder une petite lacrymo à jet puissant (au moins 40 cm de jet très serré, surtout pas éparpillé car ça revient au visage).
En résumé : se défendre et laisser venir, se tenir droit et rentrer le menton et forcer son centre de gravité.
Une hostilité cachée et insidieuse
Dans une conquête, la haine des hommes installés et l’attrait pour leurs femmes ne sont pas deux choses différentes, c’est la même chose, le même mouvement, le même vecteur appliqué à différents points du plan.
90 pour cent des maraves de rue, et même des maraves tout court, ont pour point de départ un litige à propos d’une fille. Et lorsque des racailles se maravent pour un « mauvais regard » en fait inconsciemment ils se battent pour tenir leur rang par rapport aux filles, pour être à la hauteur de ce « côté bestial » qu’elles demandent à l’homme, côté qui l’emporte sur le « côté romantique » du « mec gentil », c’est pour cela qu’elles ont une très lourde mais invisible responsabilité dans ces drames ordinaires de la violence. Faire baisser les yeux à l’autre, le « tenir en respect » (leur exacte définition et usage du mot « respect », dont la polysémie éclaire bien des malentendus), c’est diminuer l’autre, et ainsi grandir d’autant en valeur sur le marché de la reproduction, s’arroger d’autant cette confiance en soi, cet allant indispensable à l’initiative masculine, et en dernière instance à l’obtention de rencontres favorables avec le sexe opposé.
« On s’en bat les couilles de la France on est là juste pour vous baiser et prendre la thune », parfois ils la disent enfin la vérité lorsqu’ils sont un peu énervés. Ce discours, rot bruyant de leurs aigreurs rentrées,  c’est l’aveu du paradigme auquel ils adhèrent secrètement.
Emeutes de 2005, des racailles masqués de torchons disent « aya mais là… on est à Jérusa-lem… aya mais là deux petits… deux petits à nous y sont morts là c’est trop ». Texto je m’en souviens. C’est dans un reportage de John-Paul Lepers ou de Kourtrajmé, faut chercher un peu.  Les sales putains d’hypocrites ils n’attendaient que ça, ils souhaitaient la mort « d’un des leurs » pour pouvoir lâcher la bride à la bête qui est en eux. Et comme ils n’ont pas le courage moral d’assumer ils retournent la faute  «aya on nous agresse on nous tue » pour justifier leurs saloperies. 20 jours d’émeutes et deux FDS tués par les racailles : Jean-Claude Irvoas et Jean-Jacques Le Chenadec.
Ils n’aiment pas vraiment les leurs, ils n’en n’ont rien à faire. S’ils les aimaient ils feraient du Malcolm X et pas du Tony Montana prêt à buter son prochain pour une « carotte ».

L’énergie de la racaille : le rap
Il suffit pour s’en assurer de regarder une seule vidéo de Cortex Pyramides, Morsay, L.I.M. ou Rallice. Leurs exploits sont facilement trouvables en tapant leurs noms dans Google vidéo. Allez juste pour la forme on regardera la foule présente au Stade de France lors d’un concert intitulé Urban Peace 2 et co-financé par vos impôts, on décryptera le contenu de n’importe quel nouveau morceau de rap français (voir les sites rapadonf et n-da-hood) et on s’étonnera que personne ou presque ne l’ai fait avant soi. Exception notable : le site surlering avait fait ce travail en 2005.
Malgré cela les autorités morales déclarent tranquillement que le plus grand danger sur la toile serait la « fachosphère ». Si quelqu’un d’honnête prenait une seule heure pour naviguer de liens en liens à partir d’un seul des 4 petits exemples cités ci-dessus il comprendrait ce que c’est que le vrai fachisme. Malheureusement les honnêtes gens ont autre chose à faire.

L’élite obscène
 « Mais attends Lounès ça a rien à voir là, qu’est-ce que tu racontes ? T’es pas du tout au courant des réalités, déjà concernant ta vidéo là sache que les agresseurs n’étaient ni Noirs ni Arabes mais gitans, que l’association qui a monté cette vidéo il y a sûrement une manipulation derrière et puis il faut rester prudent tu sais il ne faut surtout pas entrer dans l’émotion il faut bien soupeser chaque élément et bien vérifier que la procédure a respecté le droit en tous points et puis la garde à vue et puis le menu en prison et puis(…) »
Claire Vanhooijdonk, avocate belge
« Si j’ai bien compris, le type qui a avoué avoir porté des coups de couteau a été placé en détention provisoire, au bout de 14 mois d’attente (donc de prison sans être jugé… et bim pour la déclaration des droits de l’homme). Son avocat a fait une demande de remise en liberté. La loi prévoit que le tribunal doit répondre dans les 3 mois, faute de quoi le détenu est remis en liberté… Comme il n’y a pas eu de réponse dans les délais, la cour de cassation a appliqué la loi. D’un point de vue strictement juridique ce n’est pas choquant d’appliquer la loi (contrairement à ce que dut l’IPJ). D’un point de vue humain, oui c’est choquant qu’un meurtrier présumé soit remis en liberté. Mais le sujet porte alors sur la capacité des institutions judiciaires a juger rapidement. Aucun père n’acceptera jamais que le meurtrier de son fils ne soit pas puni le plus sévèrement du monde. Mais aucune peine n’est jamais assez sévère. Faut-il pour durcir encore plus les peines? ou faut-il essayer de réinsérer les délinquants? Voilà le débat qui fait osciller le droit pénal dans un sens ou dans un autre. Enfin d’un point de vue humain et juridique, doit on se réjouir qu’un type (même s’il est coupable) reste emprisonné 14 mois sans être jugé? C’est toujours pareil : si c’est le meurtrier de votre fils, vous répondrez oui, si c’est votre propre fils qui est accusé de meurtre, vous répondrez non. Je vous conseille la lecture de Maître Mô (un autre blog) pour avoir un ééclairage in vivo de la justice pénale. Rien n’y est jamais tout blanc ou tout noir, sauf peut être que les monstres qui commettent des horreurs, sont souvent des gens qui ont subi des horreurs. Par ailleurs, vu la façon Maitre Eolas dézingue certains de ses commentateurs, ça m’étonnerait qu’il ne vous publie pas juste parce que vous n’êtes pas d’accord…  »
Lorie de La Vieille Cariolle, avocate française
Lorsque l’obscénité donne le vertige. Lorsque tu comprends qu’en fait les pires flétrisseurs de la majorité silencieuse désargentée ne sont peut-être pas les racailles mais toutes ces demi-élites qui prennent systématiquement fait et cause pour les racailles. Aie seulement le loisir camarade d’écouter parler quelques avocats dans leurs conversations privées, et quelques dirigeants d’entreprise, quelques kinés, quelques ingénieurs, quelques professeurs d’université et tu verras toute la saloperie du monde, toute la lâcheté des gens aisés et tout le triomphe des bourgeois les plus caricaturaux et détestables. Tu verras tout ça, et tu comprendras que tout au bout de la chaîne celui qui porte le poids de cette désertion intellectuelle c’est un père de famille au SMIC attelé depuis 30 ans à la profession qui compte le plus de dépressions et de suicides de France (policier) qui perd son fils unique assassiné par dix racailles ; et que cette personne en question qui s’appelle Joël Censier lorsqu’il prend le risque d’alerter l’opinion via une association spécialisée tellement il est écoeuré de l’injustice (risque parce que sa hiérarchie peut le renvoyer pour « manquement à son devoir de réserve » comme cela est arrivé pour le policier qui avait révélé l’affaire du Noctilien) il se fait contrer et de fait se voit nié dans sa souffrance par les catégories sociales les plus aisées et les plus privilégiées de son pays qui lui répondent en substance que non non monsieur, tout va bien, la justice fait son travail et il ne faut pas trop entrer dans l’émotion s’il vous plaît.
J’avoue que dans ces moments-là j’ai des envies de révolution et de retour de l’ordre moral. Oui le Bien existe et le Mal existe. Honte aux menteurs, honte aux riches qui abandonnent les opprimés, justice pour Jérémy Censier, justice pour Julien Quenemer, justice pour Jean-Jacques le Chenadec, justice pour Jean-Claude Irvoas, justice pour Thierry Simon, justice pour Guy Trilles, justice pour Yann Lorence, justice pour Jonathan Laurent justice pour Pascal Orvain, justice pour Yves Lerebourg, justice pour Johnny Salmont, justice pour Jean-Claude Eymery, justice pour Jonathan Vioud, justice pour Fabien Fornies, justice pour Romain Benavent, justice pour Laurent Francazal, justice pour David Estournel, justice pour tous les Français innocents persécutés par de la sale racaille et abandonnés par les élites de ce pays.
Premièrement lorsque l’on se dit chrétienne la moindre des choses est de prendre parti pour l’innocent contre le méchant et pour son prochain avant l’étranger.
Deuxièmement si l’on se permet de donner son avis sur une affaire d’assassinat l’élégance minimum consiste à se ranger à 100% du côté de la famille de la victime. Quand bien même on aurait des objections à murmurer on prendrait soin de se taire par souci de charité et de pudeur, afin de ne pas proférer une seule parole qui ne soit pas motivée par une pure empathie envers la famille du défunt.
Troisièmement lorsque l’on porte des noms aussi grotesques et caricaturaux que ceux des avocates cités plus haut, que l’on vient de souches nobles, que l’on possède un cheval, que l’on a grandi sous de hauts plafonds à moulures, que l’on a été élevée dans un environnement surprotégé bien loin de l’insécurité et que l’on a fait HEC, la moindre des rétributions pour tous les bienfaits que l’on a reçu est d’aimer, de protéger et de sauver son prochain c’est-à-dire son compatriote surtout s’il est moins bien né que soi, chaque fois qu’on le peut. Et ce Joël Censier en l’occurrence qu’était-il d’autre que le pauvre, l’affligé et le spolié des Psaumes? N’ont-elles pas décelé, les commères, la figure de l’innocent opprimé pourtant quotidiennement re-racontée dans les « lectures du jour » ? Vous devriez demander PARDON.
Le piège du bavardage
La plupart des gens encroûtés dans l’antiracisme disproportionné le sont non par intérêt de classe mais par ignorance. Ils ne sont pas au courant de la clameur de la rue, ils ne comprennent pas l’époque dans laquelle ils vivent.
Ils ont oublié de se taire. Ils ont été gâtés de mille avantages et n’ont pas été assez giflé par un père et par la vie, ils ont cru qu’ils pouvaient impunément donner leur avis sur tout et rien et que leur avis ne portait à aucune conséquence.
Ils adhèrent au bombardement idéologique: le Bien n’existe pas, le Mal n’existe pas. Il n’y a pas de vérité. Il y a des vérités, il y a du pour et du contre, il y a du gris et c’est à eux les initiés les sages qu’il appartient d’en extirper les tons les plus clairs.
Lorsque l’on appartient à l’élite (universitaires, avocats, médecins, finance, marchands à haut revenus, ingénieurs…) tout ce que l’on dit et fait pèse plus lourd dans le monde. On connaît des gens importants, on est parfois invité à donner son avis sur un sujet et à être écouté ou lu par beaucoup de gens, on travaille au cœur des sujets de société les plus sensibles. Or si la plupart de ces gens sont d’accord pour jouir du statut de l’élite ils sont très rarement partants pour en assumer les responsabilités.
Croire que tout se vaut, que tout est plus ou moins gris avec du pour et du contre, c’est la condition sin equa non de l’impunité de la racaille et de la perpétuation du mal. Parce que lorsque l’on donne 50% de temps de parole au Bien et 50% de temps de parole au Mal c’est le Mal qui triomphe. Mais c’est agréable de se voir promu à une position d’arbitre, on se sent important. En Juin 2006 sur le plateau de Tout le monde en parle, Michel Boujenah se faisait ainsi l’arbitre d’un débat entre le rappeur Monsieur R et un député. L’objet de la controverse était un clip d’une obscénité et d’une lâcheté sans nom, mais le bon Boujenah s’était lancé à un moment dans un plaidoyer en faveur des valeurs républicaines, admirable consensus qui permettait de voir ce soir ces deux antagonistes discuter dans la paix et ça c’était formidable, jurait le comédien.
Vous prenez une injustice bien ignoble et bien lâche. Vous attendez que les parties civiles se constituent. Vous agonissez alors ces derniers de « oui mais… », de « je comprends votre douleur mais… » et de « je suis d’accord avec vous mais… ». Vous laissez le temps passer, la situation pourrir et le désespoir agir. Vous obtenez ainsi toutes les conditions nécessaires à la perpétuation d’autres injustices plus ignobles et plus fréquentes.
On appelle ça relativiser. Il y a du pour et du contre. Finalement peut-être que… Non non non attends j’ai pas dit ça, j’ai dit que… Non non non je ne défends pas du tout l’assassin je dis juste que normalement la procédure aurait dû… Tu sais il faut pas le prendre si… Je crois que rentrer dans l’émotion d’une affaire c’est pas… N’empêche, quand on regarde tout ça avec objectivité on voit que… Faut se méfier tu sais des initiatives qui…
Affaire de l’IPJ, affaire du Noctilien, mille autres affaires qui ne sont pas parvenues à nos oreilles… Des injustices bien identifiées, bien indiscutables, bien énormes. Et non seulement personne ne se révolte mais en plus lorsque quelqu’un ouvre sa gueule c’est pour trouver que c’est peut-être une manipulation, que peut-être il faut se méfier de cette initiative, qu’il ne faut pas créer un climat de peur, que les racailles sont issus de milieux pauvres, que… Et non seulement les coupables sont défendus et relâchés mais en plus les policiers courageux sont arrêtés, licenciés et conspués puis en dernière instance, abandonnés et jetés dans l’oubli. Tout cela n’arriverait pas si l’élite avait encore une conscience morale. Tout cela n’arriverait pas s’il n’y avait pas la désertion et le bavardage.
Le voilà ce bavardage la voilà cette véritable justification du culot de la racaille, sa photosynthèse, sa certitude d’être excusée. A chacun des mots de ce bavardage dont la finalité est de justifier la racaille ce sont des flèches qui s’enfoncent sous la peau d’innocents que nous ne connaissons pas encore. Dans la bouche de l’élite menteuse il y a déjà en germe le coup mortel qui abattra le prochain Jean-Claude Irvoas.
Ce n’est pas la pauvreté qui engendre le crime mais l’opportunité d’un gain facile et sans risque. Le comportement criminel est une réponse rationnelle à des incitations et des opportunités. La criminalité baisse ou augmente en réponse à ses coûts attendus en termes de probabilité de punition.
Qu’est-ce que la racaille ? C’est le bras armé idiot utile d’une parole anti-française et anti-blanche portée par de nombreux sociologues et leaders d’opinion de plateaux télé, parole qui constitue une sorte de concentré de haine mais qui est délayé en boue par tous les autres, les petits tiédasses d’élite qui produisent une médiation jusqu’à la majorité silencieuse, pour relativiser le truc. Et comme des cons on réplique, on s’interroge, on écrit (comme moi) bref on alimente cet inextricable BAVARDAGE qui ne mène nulle part. Un feu s’allume quelque part, aussitôt un contre-feu est allumé, et un contre-contre-feu et ainsi de suite, et les racailles s’échappent par la sortie de secours et le désert prend encore un petit morceau de territoire et d’autres Joël Censier pleureront demain le meurtre d’autres Jérémy.
Correction : il y a une finalité au bavardage. C’est de dépenser l’argent public. Après des années d’interminables débats pourris par la lâcheté des uns et la mauvaise foi des autres on conclura qu’il faut « davantage de moyens ». Un exemple. En 2010 suite aux agressions à répétition dans les collèges et lycées du 95, des budgets ont été débloqués pour incorporer des « cours de citoyenneté » au programme habituel. Pour y avoir assisté je peux dire ce qu’il s’y passe. Le professeur, drapé dans une fausse dignité va prendre la parole, pharisien soucieux,  »citoyenneté… Qu’est-ce que c’est la citoyenneté? ». Mille bras se lèvent… Soumaya puis Boukriba puis Wayans puis Kevin puis Houzkrib égrènent les uns après les autres la monotone litanie des  idées chrétiennes devenues folles   »oué mais faut aussi que l’autorité y nous respectent. Ché pas quand on voit ski dit sarkozy alors que c’est le président vous trouvez c’est bien ça? ». Voilà le retour sur investissement de millions d’euros d’argent public.
Les conclusions? ‘‘Davantage de moyens ». Des sommes colossales disparaissent en pure perte dans des rénovations. Sait-on que l’un des lycées ou une agression à l’arme blanche avait eu lieu venait juste d’être entièrement rénové ? Un cran de plus de descendu dans le chaos. Voilà le bilan, le véritable résultat des courses.
Soutenir la police
Des châtiments impitoyables contre la racaille, contre l’esprit racaille, voilà ce qu’il faut. Les taper au portefeuille, 72 heures de GAV, punir les parents qui laissent sciemment leurs enfants dangereux dehors, les traquer les épuiser les ruiner les écœurer voilà ce qu’il faut. Ceux qui entrent dans la violence gratuite, ceux qui attaquent les faibles, les moins nombreux, ceux qui attaquent lâchement, pour ceux-là aucune pitié, aucune. Le portefeuille voilà la solution, et le travail d’intérêt général.
Il suffit de dire cela pour soudain réveiller le « bon cœur » endormi de tous les lâches. Comment ? Cette sévérité ? Ah non, not in my name, moi je n’assumerai pas cela. Et c’est bien le problème c’est que personne ne veut assumer d’aller au bout des choses. On dira qu’il y a un problème, qu’il y a du pour et du contre et que tout cela est compliqué, oui c’est tellement plus commode ainsi. On laissera les autres se mouiller, par exemple les FDS qui élèvent des enfants dans des zones mal famées, on les abandonnera bien à leur sort et si on les voit exiger un peu de sévérité on les traitera de facho. Et le tout en restant bien à l’abri de la merde, bien rassasié de confort. Une attitude aussi abjecte s’explique en réalité par des critères très simples. On se pique de défense des racailles lorsque l’on n’a pas d’enfants. C’est lorsqu’on a quelque chose à protéger dans le monde que l’on se sent d’un coup brutalement concerné par le monde qui nous entoure. Or les bobos et les élites ne font pas d’enfants, allez peut-être un ou deux dans des cas exceptionnels et encore.
Pour que des peines réellement coercitives soient appliquées il faut que l’élite pousse en ce sens. Or les avocats qui sont par essence des girouettes (un jour on défend le salaud et un jour l’innocent) militent presque systématiquement pour le laxisme et enrobent cela de tout leur baratin grotesque (« en l’espèce », « attendu que » etc), bien dans leur posture de charlatan qui étouffe le débat de formules ampoulées, rendant ce dernier complètement illisible.
L’élite devrait soutenir la police qui lui permet de vivre en sécurité, devrait donner aux orphelins de la police et à toutes ses bonnes œuvres. L’élite devrait monter au créneau lorsqu’elle est invitée dans des débats, des conférences ou des interviews diffusés au grand public afin de soutenir, de légitimer et d’expliquer l’action de la police dans les différentes affaires d’actualité.
La catégorie la plus haïssable de toute la société
Nous vivons et pensons sur des fondamentaux complètements mensongers et caducs. Parmi ce gros tas de fumier de la pensée automatique il y a l’image que nous avons été entraînés à nous faire de la catégorie désignée comme la plus haïssable de toute la société : ce serait l’homme blanc adulte hétérosexuel si possible catholique. Ce monsieur-là essentialisé et unaniment détesté est coupable des tares suivantes :
-          Il est « bourgeois » : il gagne de l’argent et habite dans un logement assez confortable et ne veut pas distribuer son argent aux gens qui habitent dans les HLM.
-          Il est « de droite » : il se tient avec un certain maintien, porte des vêtements neutres, a les cheveux bien coupés et est plutôt partisan de l’ordre et de la morale contre l’anarchie.
-          Il est « brutal » : il est Blanc et français de souche (FDS) en France, pays de longue tradition martiale et patriarcale dont il ne se sent pas assez coupable, au contraire il est partie prenante d’une longue histoire au cours de laquelle la France a été puissante.
-          Il est « arriéré » : il vient d’une région française qu’il chérit et est porteur d’une identité particulière avec ses codes et ses habitus et entend vivre chez lui de cette façon-là au lieu d’adopter la culture des étrangers.
-          Il est « obscurantiste » : il va éventuellement à l’église catholique qui cherche certainement à profiter du peuple maintenu dans l’ignorance pour le mystifier, et qui est responsable de nombreuses iniquités depuis le Moyen-Âge.
-          Il est lâche, colonisateur, hypocrite, suspect, peut-être même fasciste (« facho »), tout ce que l’on veut.
Mais en réalité en France depuis 1990 qui sont les bourgeois? Qui sont les fachos ? Qu’on identifie bien quelle classe sociale remplit quel rôle. Qui sont les skinheads ? Qui sont les arriérés ? Qui sont les obscurantistes ? Qui sont les lâches ? Qui sont les colonisateurs ?
Réponse : les racailles, toutes les racailles, rien que les racailles. Ce sont les racailles les bourgeois qui n’ont de considération que pour les titres, l’apparence et le luxe. C’est les racailles les skinheads qui ont le crâne rasé et fonctionnent par pure solidarité raciale et agressions gratuites contre les autres races en les désignant sans honte et en disant « enculé de ta race ».  C’est les racailles les nazis qui exaltent leur animalité et s’inventent des mythes et des martyrs pour justifier leurs nuits de cristal. C’est les racailles les arriérés qui restent crispés sur des  traditions barbares, sur des hiératiques grossières et une pensée automatique et primaire. C’est les racailles les obscurantistes disciples d’une religion crispée sur une trouvaille tautologique (Il n’y a de…) qui légitime très fréquemment dans ses textes sacrés de recourir aux massacres, aux viols, au pillage et au mensonge. C’est les racailles les lâches duplices qui ont un double discours facile : l’amour du « bled » mythifié et porté aux nues alors qu’ils ne comptent ni y habiter ni y apporter une aide matérielle. C’est eux les colonisateurs, c’est eux les esclavagistes, c’est eux les homophobes, c’est eux les misogynes, c’est eux les gros beaufs incultes, c’est eux les sadiques qui répandent le mal, c’est eux et pas les autres c’est aussi simple que ça. Tout le monde le sait mais personne ne les attaque ni physiquement ni intellectuellement parce que tout le monde a PEUR.
Y-a-t-il des sceptiques ? Alors un petit conseil comme ça, gratos. Si tu veux savoir à quel point de saloperie en est rendu la racaille, ce qu’elle est et ce qu’elle fait concrètement, va donc t’asseoir sur les bancs du TGI le plus proche un jour d’audience, et reste là pendant toute la séance. Là tu vas voir. Là tu vas apprendre.
Lâcheté, laideur et violence
La racaille est raciste. Que l’on se renseigne sur ce qui arrive aux Blancs qui, parce qu’ils sont paumés et en recherche de camaraderie virile se lient d’amitié avec la racaille. Regardez K-Libre. C’est affreux, affreux a regarder. Et comme il a tourné, le sort que lui ont fait ses «frères », et pourtant il avait donné tous les gages de bonne conduite, s’était même converti, avait tout adopté, tout hallal-bouffé. Malgré tout cela il a quand même été considéré comme un Blanc et un Dhimmi, et a fini comme tel. Parce qu’en face, tout blakblanbeur qu’ils se prétendent ils pensent et agissent en blacks et en beurs. Qui à honte d’être un negro a part Mickael Jackson ? Booba « Double poney ».
Eux ils ne respectent pas par libre adhésion mais par soumission au plus fort. Leur mot « respect » connote « tenir en respect », pas « avoir du respect ». Et le plus fort ils le testent en permanence pour vérifier qu’il est toujours le plus fort. Ne l’est-il plus ? Montre-t-il des signes de faiblesses ? Aussitôt c’est la curée. Des loups, des hyènes.
Comment a été tué Jean-Claude Irvoas ? Et Jean-Jacques Le Chenadec ? Et Yann Lorence ? Et les dizaines de Sébastien, de Kevin et de Cyril depuis toutes ces années ? Réponse : la curée. Seuls contre plusieurs, façon pogrom, façon Mogadiscio (La chute du faucon noir, histoire vraie).
Pourquoi hurlent-ils et réclament-ils des choses ? Pas parce qu’ils sont opprimés. Mais parce qu’ils ne sont PAS opprimés. Ça joue les mâles mais c’est tout femelle en vrai. Ils ne détestent rien tant que la liberté. Ils y sont dans le vide, ils y sont perdus. Ils souhaitent profondément une bonne dictature bien oppressive pour pouvoir jouer le seul rôle qu’ils connaissent, celui de victime. Preuve en est l’exemple systématique de leurs sociétés au « bled ». Pas un seul des 53 pays d’Afrique qui ne déroge à la règle « dictature racketteuse corrompue et obscurantiste ». Parce que l’être humain veut jouir et ne pas prendre la vie au sérieux. Et eux c’est comme ça qu’ils jouissent.
Le problème étant cet accent dégoûtant, résidus de ces langues maternelles effroyablement gutturales, qui sonnent aux oreilles comme un râle de vomissement ou d’égorgement c’est selon. Richard Millet faisait à juste titre remarquer que très étrangement, cet accent se transmet au fil des générations, et que c’est là une preuve concrète d’absence d’intégration. Idem pour le choix des prénoms donnés aux enfants. Mais revenons à l’accent. L’accent et les simagrées, ces façons d’agiter beaucoup les mains comme si leurs paroles étaient tant profondes qu’elles nécessitent l’appui d’une gestuelle. Une gestuelle disgracieuse un code kinésique et proxémique qui chez nous connote la menace. Différence culturelle te revoilà, gouffre même lorsque leur entêtement à « conservé lé tradissions » a pour résultat de paraître quoi qu’ils fassent, agressifs, violents.
Mais au fond est-ce qu’ils paraissent violents ou est-ce qu’ils sont vraiment violents? Pour répondre à cette question nous prendrons l’exemple du « discours de Ratisbonne » de Benoit XVI. Le pape lit un texte dans lequel il cite un auteur qui dit en substance qu’il se désole de voir que les muslims sont violents. Et aussitôt les muslims dans le monde réagissent non pas en disant « comment nous violents mais pas du tout ! » mais précisément se livrent à un déchainement de meurtres de chrétiens, d’incendies d’églises et de pogroms bien lâches et accomplis en situation d’écrasante supériorité numérique. « Tu pues de la gueule » dit le philosophe au  bouffeur d’ail cru, et ce dernier de de lui gueuler en face en soufflant très fort « comment ? Moi j’pue d’la gueule ?? Moi j’pue d’la gueule ?? ». Eh bien les aberrations intellectuelles de ce calibre-là sont la spécialité de la racaille.
Un autre exemple survolé tout à l’heure. Ils s’appellent entre eux les racailles depuis les années 1990 c’est une chose acquise. En 1999 le groupe 3ème Œil a sorti « Hymne à la racaille de France ». En 2005 Sarkozy a dit « les racailles ». Mais par une tartufferie incroyable dont eux seuls ont le secret, tartufferie et bigoterie très profondément ancrées dans leurs codes, mode de vie et rapport à l’autre (les « frères », le « respect », la « pureté »)… Par une tartufferie donc, et en hurlant très très fort et en agitant bien les bras et en jouant bien à l’innocent opprimé ils arrivent à faire croire que « racaille » c’est insultant pour eux et que ce mot vient de l’extérieur alors qu’ils s’appellent comme ça entre eux, alors que c’est un putain de titre de gloire depuis des dizaines d’années et qu’ils le savent très bien et qu’ils chérissent cette cachotterie dans le secret du fond de leur trou du cul, que c’est la version souterraine du mot « lascar » qui désigne un mec de préférence arabo-musulman ou noir qui vit de la société sans en payer le prix. Traire la vache sans la nourrir, faire le lierre sur l’arbre sain, prospérer sur la bonté des Blancs. Mais alors pourquoi ils ont joué les indignés à propos du mot « racaille »? Parce qu’ils savent qu’il y a le BAVARDAGE, ils savent que ces cons de FDS vont se mettre à palabrer sans conclure pour savoir si c’était bien ou pas que Sarkozy ait dit ce mot-là. Parce que les racailles connaissent très bien le terrain intellectuel français, ils savent très bien à quel point il est gauchi en leur faveur ce terrain, à quel point la plupart des Blancs sont corrompus par l’espoir de gagner de l’argent et des honneurs et qu’ils vont bavarder beaucoup puis fermer leurs gueules.
Mais c’est extrêmement difficile de parler de cela. Parce qu’il faut opérer une jonction dans le langage et dans les classes sociales, dans le sens que l’on donne aux choses, une jonction dans les mentalités. A la limite ce n’est pas à moi de prendre la défense de la race blanche : je n’en suis pas vraiment. De la même façon qu’il est extrêmement difficile de parler du rap. C’est comme s’il fallait traduire des mots d’une langue à l’autre, avec tous les risques de tomber dans le grotesque que cela comporte. Exemple : les cons à lunettes « penseurs » du rap qui essaient de démontrer que Booba serait proche de Céline etc… Coller de l’analyse universitaire sur de la culture urbaine ça a toujours basculé dans le grotesque, qu’il s’agisse de skateboard, de graffiti, ou de racailles.
« Je vais t’apprendre à devenir un vrai américain, c’est simple : tu encaisses et tu fermes ta gueule. »
A Tombeau Ouvert, Martin Scorcese
Ils font genre qu’ils sont amicaux, qu’ils sont avec la France mais qu’on regarde les faits. Ils ne sont pas partie prenante de son histoire, ils n’ont pas payés pas encaissés en fermant leur gueule toutes les insultes contre l’identité française. Au contraire ils essaient de faire jouer la culpabilité en s’inventant un grand père tirailleur sénégalais. Tu parles en fait c’était un vague grand oncle jamais connu qui était réserviste vite fait mais après la guerre. Ils sont « l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours ». Et puis de la part de gens qui ont facilement cent cousins sur Paris on voit gros comme une maison l’obscénité du mensonge. C’est tellement facile pour eux. Suffit de s’appuyer sur la barque et d’y peser. Ils n’ont pas payés pas endurés pas charbonnés, rien. Ils prétendent ils revendiquent ils réclament… Ils assemblent trois planches et ils hurlent à l’exploitation ouvrière. Qu’ils viennent voir la vie des ouvriers caucasiens, celle des paysans, des bosseurs ordinaires de cette France profonde si facile à mépriser, des bonhommes qui assument des familles et qui ramènent du blé sur la table produit de leur travail et pas des allocations de l’Etat. En quoi sont-ils le moins du monde privilégiés ces gens-là ?
C’est bien joli d’insulter courageusement les Blancs. Les autres Blancs de France, les ruinés qui ne font plus d’enfants, coupés de toute tradition et continuum, livrés cul-nu aux plus vaillants poignardeurs dans le dos, dévitalisés et à un contre dix dans un pays qui ne leur appartient plus. Trop facile là ce n’est pas de ton calibre ça Youssoupha. Pour montrer ta valeur va donc faire la même à des casuals de Huddersfield, de Inverness, de Stoke-on-Trent… Là tu impressionneras. Mais à mon avis tu n’iras pas. Tu resteras en France à t’inventer une vie de conquérant et à toucher frauduleusement le RMI comme un lâche, bouffi d’orgueil et de prétention.
Le trait le plus caractéristique de la racaille est la lâcheté. Frapper l’autre à plusieurs ou avec des armes. Mais surtout s’attaquer à des gens qui ne peuvent pas se défendre. Si les racailles étaient les descendants des communards on pourrait leur accorder un certain mérite. On peut aimer ou pas les communards mais il faut leur reconnaître un certain courage pour avoir assumé la responsabilité de l’indépendance (pas pour avoir massacré des centaines d’innocents). Bref. La lâcheté donc, et un exemple. Le rappeur Mokobé a toujours été en première ligne lors des interviews du 113 sur Canal+ pour dire que les Blancs sont méchants que les Noirs sont discriminés. Depuis quelques années il est dans tous les combats « Africa is the future », genre le militant africain intransigeant. Eh bien récemment il a serré la main de Bernard-Henri Lévy et a fait un clip avec Arielle Dombasle. On pense ce que l’on veut de BHL. Mais Mokobé lui, ne pouvait pas ignorer que BHL et son père ont géré une entreprise de bois précieux en Afrique. Est-ce que le terrible militant Mokobé a fait au puissant BHL la moindre remontrance ou émis une ébauche de plaidoyer contre « le pillage de l’Afrique », poncif que lui et ses potes sont si prompts à répéter ? Nenni. Et voilà ce que c’est la racaille. A 10 contre 1 sur MC Jean Gab1 et bien aimable bien gentil devant les puissants. Tout est à sa place.
La majorité silencieuse
Il est un mensonge criminel qui énonce que  »les blancs » seraient privilégiés… Alors que le tout petit point d’avance que détient cette majorité silencieuse, elle charbonne tous les jours pour le gagner et pour le conserver.  Cette parole de haine et de jalousie constitue la raison d’être même des racailles (« ils nous ont fait ça, il faut qu’on leur fasse ça pour se venger») et les élites qui encouragent la propagation de cette parole sont des criminels qui ont sur leurs mains le sang de Jean-Claude Irvoas et de tous les autres.
D’une certaine manière nous pouvons nous aussi être la racaille d’un autre. Un exemple. La formation de l’Afrique du sud, du Texas, du Colorado, du Québec. Ce sont des petits Blancs de rien du tout qui ont travaillés comme des damnés pour se payer le trajet en bateau puis en chariot, pour défricher des forêts, construire une cabane, planter du maïs, vendre des récoltes, acheter du bétail, l’élever, agrandir la cabane, placer des clôtures, et décéder après 40 ans d’efforts continus… Des milliers de gens partis de rien, qui se sont gelés l’hiver par moins 30 degrés dans 4 mètres sur 4 en fermant leurs gueules et en priant Dieu de ne pas crever encore maintenant, de pouvoir améliorer encore un peu la propriété pour la transmettre à leurs enfants. Or à l’école que nous a-t-on appris à part insidieusement jalouser et mépriser cet esprit pionnier, cet esprit courageux et authentiquement libre ? Que l’on se souvienne avec quel acharnement on nous a fait rentrer dans la tête que « les zaméricains y zont tout volé leurs richesses aux pauvres et gnagnagna ». Les trois quarts des européens sont les racailles des WASP.
La vie de la majorité silencieuse blanche est une vie absurde dictée par l’argent. Houellebecq, Céline, Zola, tout ça… Des gens qui souffrent et qui l’acceptent absolument. Ce sont les sacrifiés en première ligne, après eux le chaos, ce sont les premiers de cordée, les chevaux de trait avec œillères qui emmènent tout le reste de l’humanité. Leurs sociétés leurs existences sont des cratères dévastés. La damnation c’est d’ignorer la cause de son malheur ? Comment ne pas appliquer cet aphorisme à ces millions de Caucasiens qui tous bouffent 3 repas par jour, ne manquent d’aucune chose matérielle mais qui ne comprennent pas pourquoi ils vivent. Coupés du bien commun, coupés de leur patrie coupés de leur famille, coupé de la transcendance, de la transmission… C’est la dignité qui leur fait fermer leur gueule parce que l’on ne réclame pas, c’est comme ça. C’est la « misère digne » expliquée par Céline, tout le contraire de la posture de victimisation qu’adoptent les « minorités ».A ce titre il y  a deux communautés qui sont véritablement écrasées dans ce pays et qui encaissent en silence, ce sont les Asiatiques et les Français de type caucasien.
La police : l’aubaine
La violence de la racaille s’exprime sur les innocents et sur les policiers s’ils sont dans les parages, mais dès que ces derniers se retirent voilà qu’aussitôt les racailles s’enculent entre eux. En fait la police est une aubaine pour eux dans la mesure où elle les empêche de s’entretuer, ils n’ont jamais compris cela. C’est grâce à la police que les cités rivales de Chanteloup et du Val-Fourré sont encore aussi florissantes de racaille, ironie de l’histoire. Et c’est très bien comme ça, c’est la preuve que « nous » (miroir de ce « vous » qui dans la bouche des racailles désigne les policiers et les FDS, c’est à dire « la France ») on ne cherche pas la vengeance mais la justice malgré toutes les saloperies et iniquités qu’il y a en face.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci d'utiliser, au minimum, un pseudo.
A défaut, je supprimerai le commentaire.
Merci à vous!