«
J'ai assez souffert d'être à Paris la capitale de mon pays, un
moins que rien parce que j'étais déclassé, sans repères dans le
tumulte d'une société complètement bouleversée. Cette infâmie là
je n'aurai de répit de la dénoncer, de la clouer aux portes comme
une chouette de malheur, de la dégueuler en vingt mille torrents de
rage incrédule à cause des berçeuses que l'on nous chantait
lorsque nous étions enfant, lorsqu'on nous promettait que tout
irait de mieux en mieux pour tout le monde puisque cette époque
était celle de la démocratie et du progrès. Je vomirai sans
relâche ces mensonges de la gueuse république qui humilie le peuple
de France sous des quantités d'immigrés arrogants et haineux,
jusqu'à faire de la France notre patrie notre port hospitalier un
dépotoir dégueulasse, permanent champ de bataille pour tous les
incapapables de la planète. Je le dis ce soir, pas un vieux croulant
appelé en 2009 "SOIXANTHUITARD" n'aura face à moi de
repos tant qu'un des miens devra encore avaler un centième du
montant de ses forfaits. Je pourchasserai ces fils de lâches jusqu'à
les acculer dans les coins et à brandir à leur face qui dit non le
montant total de leurs vilénies, oui je vous le dis nous n'aurons
pas de paix tant qu'un seul Georges Boudarel tentera de se faire
l'égal d'un seul »
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