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mardi 18 août 2015

6 JANVIER 2013 - Girlfriend

Girlfriend


MUTATION — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 6 JANVIER 2013 À 1 H 15 MIN 

Dans tes rêves

J’aurais honte de servir de copain pour ce genre de meufs. Celles qui disent mais ne font pas, celles fatiguées ou jacasseuses qui cherchent et trouvent toujours un pigeon pour porter leurs courses. Elles cherchent quelqu’un pour les prendre en charge car elles sont lourdes, très lourdes. Essaie de te souvenir d’un seul de ses gestes qui puisse prouver ce qu’elle dit ressentir pour toi : il n’y en n’a aucun. Si elle t’aimait (déjà pour croire à ce mot faut vraiment être un pigeon) jamais elle ne te contredirait en public, jamais elle ne tirerait cette tronche lorsque tu fais tout pour elle, jamais elle ne t’imposerait sous ton toit des vestiges de ses aventures passées.

Si elle t’aimait elle t’approcherait avec ce mélange d’audace et de crainte canine typique or la seule fois ou je l’ai vue aller dans tes bras elle s’y est affalée lourdement en exigeant d’aller dormir, et que naturellement tu la suives. Elle était bien à ta charge et tu l’as reçue cette charge, avec l’embarras poli du gentil garçon et tu es allé te coucher puisqu’elle l’avait demandé. Si elle t’aimait elle chercherait à t’obéir, à te plaire et à te servir au moins sans trop en avoir l’air. Elles savent très bien faire ça. Mais celle-ci ne fait rien de tout cela.

Tu es en train de perdre ton temps et ton énergie dans cette meuf qui se moque de toi et qui t’en donne de nouvelles preuves chaque jour. Elle ne présente aucune des qualités nécessaires à une femme : elle n’est pas chrétienne, elle n’est pas xénophobe, elle n’est pas serviable, elle n’est pas clanique, elle n’est pas protectrice, elle n’est pas modeste, elle n’est pas sociable, elle ne cherche pas à te plaire et par-dessus tout elle ne t’écoute pas.


Oui mais quang nous sommes devang des geng tu ne me valorises pas asséééééééé

Or à chacun de ces constats tu devrais normalement sursauter, tu devrais te cabrer à toutes forces, rappelant le comportement impeccable que tu as affiché avec elle tant en matière de dépenses de thune que d’efforts pénibles déployés pour entretenir une conversation positive, porter des choses, réparer des choses, proposer des idées, conduire la nuit, pour toujours faire le « mâle » debout sur le pont. A quoi sert-elle dis moi? Toi tu lui sers à toutes ces choses c’est entendu mais elle à quoi te sert-elle? Tu ne comprends pas que tu es un pigeon? Tu ne comprends pas que toi ou un parisien à mèche ou un chalala ou un bamboula c’est pareil pour elle? Qu’il lui faut son pigeon dans la case « pigeon »? Elle t’a nié preuve à l’appui et tu parles encore. Mais dans quoi tu mets ton orgueil? Tu me fais penser à ces maris cocus qui sont la risée de leurs amis mais pourtant capables de dire très sérieusement « Mais enfin écoute. Elle était ivre la pauvre elle ne savait plus ce qu’elle faisait. ». Tu lui sers de faire-valoir devant ses copines, de sujet de jacasserie pour sa mauvaise langue et tu crois que tu existes. Mais est-ce que tu as seulement remarqué qu’elle n’a fait aucun sacrifice pour toi? Choix du logement, choix des vacances, choix de ceci et cela, tu ne fais que la servir tu aimes ça? Même pour la pounche elle ne se laisse pas faire comme tu veux, comment après ce genre de camouflet ultime qui démasque totalement l’arnaque tu peux encore accepter de te lever acheter des croissants?


Mais si elle m’a dit que j’étais spécial pour elle!

Avec du recul tout cela est sévère et je sais que tu n’y es pour rien, que ces affaires là sont très difficiles, que le Marché écrase d’abord les mecs, que tout est tourné vers et pour les filles, pour les étrangers, pour les salopards, pour les vendeurs, contre les gentils garçons, contre les loyaux bien-élevés, qu’il suffit de trente minute dans un centre-ville de capitale européenne un jour d’affluence pour saisir l’étendue du problème, qu’aucun manuel ne donne le moindre conseil valable, que nos parents divorcés et la société de merde qu’ils ont laissé ne donnent aucun exemple auquel se raccrocher, que sans doute tout est foutu d’avance et que tu te débrouilles comme tu peux avec cette meuf de merde parce que c’est ça ou rien. Il y en a des milliers dans ton cas, des petits Blancs chiasseux affublés d’une connasse et encerclés de cinquante crépus qui attendent de s’en repaître, le tout sous les bienveillantes auspices de gros porcs cramponnés au commande qui rabâchent pour le droit des femmes et des étrangers et pour bien que tu fermes ta gueule. Donc tu n’es pas seul. D’ailleurs tu n’as pas nom, ceci est une lettre ouverte laissée sur un banc, mais tu t’y reconnaîtras. Des comme toi je ne connais que ça, et il y en a de plus en plus. Si tu es encore un homme demain quitte là.


Jusqu’à une époque récente, la drague était totalement inconnue des peuples germanique et scandinaves. Elle était l’apanage du monde méditerranéen le plus dégénéré et des étrangers en goguette.

Si nous sommes devenus tellement obsédés par la « drague » et la « séduction » c’est que quelque part, l’Occident contemporain est devenue une civlisation sémitique et féminisée jusqu’au trognon.

Car la drague est d’essence orientale : le rituel de conquête d’une femme par le baratinage en milieu festif devrait révulser d’instinct tout homme de race et d’esprit européen.

Tant que l’homme blanc avait un contrôle absolu sur ses femmes, la « séduction » et la « drague » n’existait pas… Il d’ailleurs fallu attendre le moyen-âge pour que l’amour courtois des Troubadours (d’origine arabo-musulmane) innocule cette idée délirante que l’homme doit s’humilier devant une « déesse » pour qu’elle lui accorde ses faveurs (conception religieuse d’origine afro-asiate).

L’idée même de « conquérir » une femme était totalement inconnue de nos ancêtres et pour cause : les mariages étaient arrangés, hommes et femmes s’unissaient sur recommandation ou par communauté de goûts.

Les Don Juan étaient assimilés à des parasites, des usuriers de la fesse.





bon alors. Sujet très intéressant. On voit se profiler depuis quelques années ce profil de « dragueur scientifique » : des types intelligents, insérés, très documentés, mais obligés de sortir le meilleur d’eux même mentalement, intellectuellement, physiquement et financièrement pour aller chercher des filles de plus en plus difficiles à approcher et sur qui on a de moins en moins de pouvoir.

- Cela va faire environ 6 ans que l’on peut entendre de façon croissante cette parole très pragmatique, scientifique, autour de ce thème devenu obsessionnel pour des raisons de compétition mondiale accrue : la drague, le « dating », le chopage. Rien que les termes qui définissent ce sujet sont déjà laids et désespérants d’ailleurs, et demandent une énorme capacité d’abstraction, d’absence d’affect et de neutralité scientifique rien que pour les faire siens.- On trouve pêle-mêle dans ce domaine des auteurs comme Neil Strauss au centre d’une nébuleuse de blogs américains, des backpackers occidentaux comme ce Roosh, des français comme Spike seduction ou d’autres et très bizarrement leur ancêtre à tous qui est semble-t-il Alain Soral, premier apparemment à avoir en France fait de la théorie valable à partir d’expériences de drague réelles (bon on peut remonter à Balzac et à sa « physiologie du mariage » aussi). Il y a ensuite des tas de petits anonymes (« become in seduction », certains blogs autour de « bonne gueule » etc…), et d’autres qui ont une très forte volonté de « pécho » et l’approche suffisamment froide et scientifique dépassionnée pour y parvenir. Ce sont souvent des gens plutôt intelligents, plutôt bien faits de leur personne, et assez peu sensibles, c’est la combinaison la plus adéquate.

- Quiconque veut sérieusement pécho une jolie fille alors qu’il se sent pas à la hauteur peut y arriver j’en ai fait l’expérience, en se laissant « envahir par sa volonté », mais cela demande des efforts tenus sur une période de plusieurs semaines pour arriver à un résultat. Ces efforts les voici:- Jeûner d’au moins 50% de ce que l’on boufferait normalement- Arrêter complètement de se branler- Faire un sport fatigant très régulièrement- Etre humble- Sortir en centre ville et se forcer à socialiser et à prendre le risque de se faire jeter

Tous ces efforts qui sont le minimum nécessaire sont tout simplement harassants à accomplir ensemble ne serait-ce que 2 jours. Tout notre être va naturellement à l’encontre de chacun de ces 5 points. Chacun de ces 5 points lorsqu’on les transgresse, nous soulagent et nous réconfortent parce qu’ils nous font cesser de « vouloir ». Lorsqu’on ne veut plus rien on ne souffre pas.Accomplir ces efforts font se réveiller en nous une volonté, une force que l’on s’était habitué à chloroformer quotidiennement depuis des années par une entorse aux 5 points. Cette force nous aide beaucoup à percer les murs en caoutchouc qui nous isolent des filles d’habitude.

MAIS

cela demande aussi de disposer d’avantages concrets comme- la possibilité de se réveiller tard le matin après être sorti- avoir des rentrées d’argent sans trop travailler- être inséré socialement (carrière, réussite pro, commencer bientôt un nouveau job) bref « être quelqu’un »

C’est pourquoi tant de cas de dragues réussies arrivent dans des périodes de privilège social rares et brèves :- chômage avec indemnités mensuelles conséquentes- période d’inactivité entre 2 contrats de travail avec un contrat futur sûr- études subventionnées (bourse, échange à l’étranger…)Or de l’insertion sociale, le dragueur fait vite figure de type malsain du genre « daleux » ou immigré clandestin sidaique et perd tout envahissement de volonté communicable à une fille

Les filles devenues tellement surévaluées et rares, les garçons tellement nombreux et compétitifs, ce « GAME » ressemble souvent à certains aspects du survivalisme. Il est impitoyable et comporte ses perdants dramatiques appelés par Neil Strauss les PMF (pauvres mecs frustrés) ou qui s’appellent parfois eux mêmes les TFL (true forced loneliness). L’âpreté de ce combat, son aspect obsessionnel, chronophage, universel, perpétuel s’explique par l’enjeu qu’il cache: derrière la baise et le chopage il y a la reproduction et la sélection naturelle.Ainsi tous ces efforts sont employés dans le but de draguer des filles, rencontrer LA bonne et s’établir durablement avec elle avec nombreux enfants et amélioration de sa condition sociale.

Si tout va bien un dragueur scientifique va draguer quelques mois le temps de sa période de chômage payé ou d’études, choper une dizaine de fille, rencontrer LA bonne et pile à ce moment là comme par hasard arriver à un moment charnière socialement, et commencer une nouveau job plus adéquat à ses souhaits, et s’établir avec la fille.Si tout va bien.

Car quiconque commence à pécho des jolies filles grâce à ces méthodes se retrouve rapidement face à plusieurs paradoxes:-1: Malgré une vision très claire de la sélection naturelle vue comme la compétition pour se reproduire, il n’a que des relations sexuelles sous contraception.-2: Se retrouver à baiser des filles au lieu de s’établir durablement avec (famille, enfants…)-3: Jeûner permet d’éteindre la flemme et l’envie de branlette mais, combiné avec un sport fatigant, épuise complètement le corps, rendant difficile les sorties tard le soir.- 4: L’alcool aide à tenir tard le soir mais endort le corps et anesthésie le plaisir sexuel, mettant le plan « baiser la fille » en danger.- 5: Baiser la fille est la condition PREALABLE pour s’établir avec, chose très nouvelle dans l’histoire. attention car cela exige une bandaison-éclair disponible à tout instant, or la bandaison-éclair ne peut être effective qu’en cas d’abstinence de branlette et en produisant un coït entièrement tourné vers le plaisir de la fille. Il faut la servir elle pour servir ses propres intérêts.- 6:On entre vite dans des rapports complexes voire absurdes dans lesquelles il faut en permanence con-vaincre une femme presque contre son gré comme un vendeur d’autos alors que la relation durable suppose de pouvoir se reposer sur elle en toute confiance.- 7: Choper des filles qui elles aussi ne cherchent qu’à choper, et surtout pas à quitter leur mode de vie anti-mère en devenir : mode, carrière dans le tertiaire, copines qui gossipent et sortent beaucoup, haine de l’enracinement, du clanisme et de toute tradition.- 8: Devenir une sorte de robot complètement abstrait et dépassionné avec « la fin justifie les moyens » pour devise, et trahir tous ses idéaux pour plaire aux filles jusqu’à jouer un personnage que l’on déteste pour cvontinuer à plaire et l’on se retrouve un jour avec une voix off qui dit « Mais t’es vraiment qu’une grosse merde de faux-cul de faux-scientifique mielleux obséquieux » alors qu’on est en train de s’épiler les couilles dans la salle de bains avant de sortir le soir. LE PLUS GRAND PARADOXE de ces affaires là est qu’il faut savoir ce que l’on fait, mais ne pas trop se voir en train de le faire. Il faut vivre spontanément l’aventure tout en l’ayant planifiée tout en la vivant spontanément. C’est une lutte contre son psychisme et pas un parcours fléché.

Et le fond du fond du paradoxe est de se retrouver après tant d’efforts comme ce Roosh qui se croit plus malin que tout le monde à 33 ans sans enfant malgré des dizaines de filles conquises, pas plus avancés qu’un Monsieur Lambda du même âge qui aurait passé 10 ans d’esclavage avec sa « petite copine » (girlfriend) l’ayant mené en bateau comme décrit dans l’article et se retrouvant lui aussi, célibataire et à la case départ à 33 ans, ou comme un branleur du dimanche flippé qui n’arrive plus à parler aux filles.

Dés qu’il faut recommencer à bosser dans un job alimentaire, dés que l’on recommence à bouffer et à se branler, dés que l’on recommence à céder à la fatigue écrasante ou à la moindre tentation de colère ou de frustration tout est à reprendre à zéro car l’envahissement de la volonté disparaît aussitôt, et l’on perd sa force communicative. Au bout du compte et en voyant les exemples somme toute pas très réussis offerts par les dragueurs scientifiques, en levant des meufs souvent désespérantes, et en atteignant sa propre « bottom line » de froideur scientifique au delà de laquelle le ratio effort/résultat entre en déficit on peut être tenté de sortir du combat.

Et pour finir je vois que cet énième dragueur scientifique appelé Roosh est un VRP: il vend ses livres, il vend son savoir et son expérience à des novices ou à des PMF/TFL prêts à tout acheter. Cette démarche rappelle fortement le rayon « vente/commercial » des librairies, truffés de livres bidons du genre « comment monter à 300 kEuros/an » ou « mes secrets pour bien vendre » c’est à dire qu’on te vend de la vente. Si vendre était une question de procédure à appliquer ça se saurait (j’ai donné). Tout cela sent l’arnaque et se vérifie comme étant une arnaque : jamais personne n’a réussi quoi que ce soit parce qu’il a suivi les dires d’un inconnu qui lui a vendu un truc, mais parce que… la réponse flotte dans les cieux.



Ce que veut la femme moderne, libre et émancipée, c’est pratiquer la polyandrie : avec un petit singe goguenard à grosse bite pour lui donner du frisson (comme le « séducteur » de la vidéo), un micheton de luxe mené par le bout de sa bite pour lui payer ses breloques, un demi-pédé intello à fleur de peau pour lui faire la conversation.

Les femmes qui ont bien compris le féminisme ont toutes pratiqué la polyandrie de cette façon, à fortiori quand elles se sont suffisamment déniaisés en soirée et qu’il leur est mentalement acquis qu’un homme : ça vous paye le verre pour vous baiser.

N’oubliez pas qu’à chaque fois que vous payez pour une femme en système « égalitariste » (comprendre : dans un système où elles vous sont juridiquement supérieures), vous ajoutez une brique supplémentaire à la prison vaginocratique dans laquelle vous allez croûpir.

Cette idée qu’il faut s’abaisser devant la femme pour obtenir son cul (rouler des mécaniques par le « game », c’est aussi une forme d’abaissement), c’est un signe d’orientalisation de notre civilisation.

Car dans l’histoire, ce n’est jamais la femme qui est lésée (qui a passé plus de 3 heures de sa vie à discuter avec une morue sait de quoi il retourne) mais l’homme qui perd son temps et son argent dans la conquête d’un « trou » (où il n’a à gagner que du vide).

Que l’on songe un instant aux milliards d’euros perdus pour entretenir des poufiasses, aux milliards de minutes accordées pour soigner l’égo meurtrie de millions de constipées chroniques.

Songez seulement aux sommes astronomiques englouties dans la prostitution.

Vous aurez une vision panoramique de la nature du « trou » que la femme représente.



1 commentaire:

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