Caroline Fourest vs Zemmour & Naulleau 1 [ITV] Onpc 240410
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Et
pardon pour la grandiloquence...
La
militante anarchiste, la maçonne castratrice seule contre tous les
taureaux imbéciles... Ils la voient, les designers pédés les
mi-tièdes les mi-mi les lofteux les chichis, ils la voient les
bourgeois adaptés de notre monde ceux qui décident ceux qu’ont du
POIDS... Ils voient une femme, la fâmme comprenez-vous, ils la
voient femme bafouée femme accablée... mais femme libérée !
Femme debout ! Ah la divine ! Ah la nymphe !
N’a-t-elle pas admirablement rivé son clou au satyre Zemmour ?
Dans une corrida ou tourbillonnent futales et jupons, une folle
farandole ou la fâmme tout en grâce n’est-ce pas, surpasse le
mâle empatté, crispé lourdaud suiveur de valse...
Son
aise... Avez-vous vu son aise ? Et vas-y que je me remets la
main dans les cheveux... Je les ai lisses as-tu vu ? Et
bleus les yeux tout en aryanisme. C’est moi arya,
la mère d’un monde « égalitaire » que j’enfante
dans la douleur, peuples libres soutenez moi ! Vite !
Vite ! De partout on se presse ! Soutenons Fourest !
La pauvre femme pulsion de vie, qui donne la vie qui EST la vie, qui
n’est que douceur (pour en juger regardez son visage en tous points
enfantin, charmant bambin épuré, en un mot : design) la
pauvre femme assiégé d’ignobles mâles renifleurs de faiblesse,
n’ont-ils donc point de pitié les lâches ? Ah l’immonde
Naulleau ! Ah le gargouilleux Zemmour ! Vilains tyrans, les
spectateurs jugeront soyez-en sûr ! La démocratie !
L’impeccable recours ! On jugera sur le physique pour
commencer et vous le savez ! L’on verra quoi ? D’un
côté deux avatars de bestiaire l’un toucan, l’autre porcin...
Puis en face la digne gazelle, la femme-fruit la femme-enfant mais
très mâture, son regard si doux ses paroles si dures... Accusateurs
bien mal vous en a pris, on votera contre, vous êtes finis...
C’est
moi Fourest, arya le
quatre-vingt-dix-neuvième percentile, je suis au-dessus des besoins
du monde de leurs acharnés étripailles qui pour le pétrole qui
pour l’étoile de David... Je suis moi Fourest chemin vérité et
vie figurez-vous, je suis gouine-immortelle capable de me reproduire
par fécondation in
vitro par
utérus artificiel par adoption homoparentale, monoparentale,
a-parentale je fais scandale ! Je choque les bourgeois la
vieille France très majoritairement maurassienne, les encroûtés
traditionneux mais moi je suis avenir je suis amoûûûr je suis
minoritaire mais demain des millions des milliards comme moi
précurseuse de courage, là sur le plateau-épicentre des passions
face à eux face à elles, je guide je choque je convaincs, on
m’admire on me trouve très digne écoutez, on aime mon
hu-ma-ni-té...
Avant-gardiste
avec un gros sabre d’abordage je défriche grossièrement le chemin
là devant, et vous autres peuples enchaînés suivez moi... Ici un
frère musulman SCHLAAK je le tranche, applaudissement des
anti-frères musulman, là un évêque suspect SCHLAK il est sabré,
applaudissement des anti-Eglise, voilà encore un Hassidim SCHLAK y
en a plus... Abattre le patriarcat voilà ! Des pères il n’en
faut plus ! A bas leur monde ! On veut plus que des queers,
des genstils-petits-bi, hey citoyen fais vivre le bi qui est en toi,
on veut des beurs-bi-gays, des lesb’-trans-libres, des
blacks-bi-yeah allez allez !
Je
suis la diviseuse-rassembleuse je suis le Nemesis le Golem
exterminateur qui attire tous les votes de sympathie, car je séduis
tous les « antis » je suis le média je suis
l’intermédiaire par lequel s’accomplit tous les rêves de
fermage de clapet de toutes les catégories possibles de toutes les
communautés imaginables. Car moi maçonnique- lezbosse je suis
au-dessus de tout cela, je volette là-haut dans les nuées
maçonniques dans le haut du triangle FLAP-FLAP-FLAP-FLAP courrez
courrez vite si vous le pouvez, jamais jamais vous ne m’attraperez ha
ha ha... ne suis-je pas divine ? Et mutine ? Et coquine ?
Et bien dans ma vie ? ha ha ha, hi hi hi... Et puis, plus haut
encore dans le panthéon ne l’oublions pas, c’est l’œil qui
nous regarde, l’œil de bronze la folle-du-cul « l’habité »
Ruquier qui agite sans en avoir l’air les passions, ici l’air de
rien qui pète un peu sur les braises, là s’emploie à les
éteindre un peu... Il est plus que jamais l’homme de derrière, le
marionnettiste exciteurs de débats exciteur de sentiments bas, pour
qu’on zappe pas pour qu’on s’énerve pour qu’on jouisse
s’il le faut mais toujours par son canal son tunnel son
programme, là dans les animés tréfonds merdeux de
l’infatigable pédé Ruquier.
Ruqier-Fourest
le couple gagnant. Ignorant tous les petits combats d’arrière
garde je tranche dans le vif de sujet... La virilité ? Un
fantasme un jeu sur-joué des mâles sentant poindre des élans
pédés. Y a pas de virilité à
la base !
Que des pédés ! Et en fait les non-pédés se livrent à un
quotidien épuisant déni, ils compensent par une sublimation du
pathos en pénétrant les femmes mais en fait ils cherchent dans la
femme ce moi-miroir qu’ils voudraient être tout en le délégant à
l’autre, symptôme pervers du lâche qui se défausse et qui... Si
si c’est ça !
Les
ravis cocus ces molto
contente,
ils ne voient pas l’enjeu ils ne s’en font pas eux, c’est les
jeux du cirque pour eux, dans la fosse c’est pas leur minet qu’est
supplicié... Alors pouce levé, pouce baissé... Ils verront bien...
Ils regardent, ils jugent... Peuple citoyen, démocratie, décisions
de mort dont personne n’est responsable à lui seul... Mmh qu’il
fait beau être assis sur ce coussin, celui du spectateur désengagé,
celui qu’a du recul qu’a du jugement... On s’étripe pour toi
citoyen ! Puisses-tu du sang des innocents être diverti un
instant. Admirable Berling ! « Elle est violente mais pas
méprisante » qu’y dit. Merci de rétablir la balance,
impeccable Tsedikim. Mais elle n’avait point besoin de toi. De sa
voix claire elle interrompt, elle coupe elle castre, d’attaques
impétueuses en stoppages d’offensives « attendez vous pouvez
vous calmer cinq minutes ? ». La divine Athéna ! La
repousseuse de Perses !
Je
ne suis pas un danger assure-t-elle...
Je suis la vie clame la mort, je suis l’humanité clame l’Unimonde
Humain. Insensible triomphante maîtresse sur laquelle la critique
n’a pas de prise, sur laquelle le défaut n’existe pas... quand
même elle a le front bas. Agaçante validité des préjugés
ancestraux (nous avons déjà évoqué le problème du front bas
précédemment). Vraiment les Grecs, ces sages antiques avaient
raison de cantonner les femmes au gynécée, que ne voit-on
aujourd’hui par légions entières des Fourest enfiévrées se
répandre en paroles comme autant de compensations hystériques d’une
bite absente, nous faire force leçons interminables sur ce ton
monocorde car tranquille, des sapeurs de bâtisse qui ont comme la
mort, tout leur temps.
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