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mardi 18 août 2015

28 MARS 2013 - Ce que l’on ne voit pas

Ce que l’on ne voit pas



ACTUECONOMIEJOURNALISME — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 28 MARS 2013 À 15 H 47 MIN 
On ne peut pas voir ce qui est absent. Cependant certaines absences sont flagrantes.
 
L’absence d’à priori haineux contre Obama
Rappelons nous quelles haines a pu suscité la personne de George Bush à la simple vue de son visage, quels préjugés se sont libérés, quelles vitupérations absolument déchaînées se sont exprimées 24/24h sans le moindre risque de rappel à l’ordre « républicain » durant ses 8 années de présidence. Tous les médias, tous les porte-voix jusqu’au plus insignifiant bénéficiaire de temps de parole sur une radio départementale étaient tous parfaitement d’accord sur la doctrine suivante: Bush est un sale blanc alcoolique du plus pur cliché texan lâche et ignare et raciste et sale blanc qui aime les armes et qui est chrétien et qui est riche et qui vient de la campagne profonde et qui a causé la guerre en Irak et sans doute le 11 Septembre aussi tout ça pour manipuler l’opinion. Sous prétexte d’attaquer George Bush il fallait achever d’établir comme disent les vigilants, un « climat de haine », basé sur « des préjugés d’ignorants », « déchaîner la parole de haine ». Jamais ces slogans n’ont été aussi avérés que pendant les années 2000-2008 préparatoires au Golem Obama mais jamais ils n’ont été aussi peu prononcés, très étrangement. Pourquoi? Parce que les « créas » qui ont inventé ces slogans haïssent les Blancs et ne jouissent jamais autant qu’en voyant ces derniers bouffés de quelque manière que cela soit.
Mot d’ordre d’hier: Bush doit être a priori haï. Mot d’ordre actuel: Obama doit être à priori aimé.
C’est là qu’apparaît en pleine lumière toute la lâcheté, toute la mauvaise foi, toute la haine stupide, toute l’indignation sélective des « indignés », des « peutt-peutt », ce truc de la « saine colère » de toute la race des introvertis qui se mettent à parler fort lorsqu’ils sont en meute.
« Une telle connerie dépasse l’homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer , sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit. »
Cette phrase de Céline est souvent citée dans des articles pour illustrer l’indignation sélective dans un fait d’actualité. Mais très peu de gens savent quel est le contexte originel de cette phrase ni de quelle « perversion » il s’agissait précisément.
S’il y avait dans le monde blanc autre chose que 95% de perversion mutilante que rien ne saurait expliquer, le travail d’enquête honnête sur Obama serait fait depuis longtemps. Et l’on aurait découvert qu’il est un parvenu fils de riche, le stéréotype même du privilégié pistonné qui a bénéficié non seulement de ses appuis d’Harvard mais de toute la « connerie » blanche anti-blanc, qu’il a été poussé par cette récente étrange tendance américaine à vouloir tout étatiser, et que les gens qui sont allé le chercher en Arizona et ont déversé autant de millions de dollars dans chacune de ses campagnes ne sont pas exactement des enfants de choeur amis du glorieux peuple noir. L’absence d’à priori haineux envers un président des Etats-Unis est un silence qui dit tout.
 
L’absence de vigilance des vigilants
On connaît bien ces vigilants revendiqués, ces observatoires, ces bureaux de vigilance, ces ligues et ces conseils toujours à l’affût de « la parole de haine », prompts à s’inquiéter comme ils disent d’un « climat malsain », et dont l’acuité qu’ils ont juré universelle s’exerce pourtant uniquement en faveur du petit pré carré qu’ils occupent, et uniquement contre les souchiens qui les y accueillent. Leurs textes sacrés professent le racisme le plus absolu, mais ils se réclament publiquement d’un antiracisme qui a systématiquement pour seule expression d’opprimer les Blancs qui les logent et les nourrissent grassement. L’autocritique? L’humilité? L’authentique « questionnement »? Ils ne connaissent pas. Aaron Lopez? Samuel Süss Oppenheimer? Stavisky? Des innocents qui se sont fait choper injustement voyons. Des boucs émissaires, des victimes de préjugés, et d’ailleurs leurs pages Wikipédia trafiquées en témoignent hautement. Les vigilants ont compris que pour exister chez les Blancs chrétiens il fallait mimer la victime à dédommager et effacer toutes les traces de crimes. Ainsi combien de milliers de fois par jour chaque article de journal, chaque publicité, chaque film, chaque temps de cerveau disponible grand public est-il truffé de ces filaments de bave enjoliveuse et effaceuse… Le champ de vision est rempli de ces trucages.
Là encore, « l’hébétude fantastique » maintient les gens dans l’ignorance et l’anesthésie. Ils ne se rendent même plus compte qu’ils se font égorger et détrousser. Ils voient juste des monsieur Sibony, des monsieur Yzraahck, des monsieur Attali qui ont certes des têtes bizarres et des expressions alambiquées mais ils ne perçoivent pas à quel point chaque mot, chaque initiative de ces gnomes est systématiquement tourné contre eux. Alors ça passe. Alors tant pis. L’immigration? La responsabilité de l’esclavage? La dette? L’insécurité? Le trafic de shit? L’étatisme? Tout cela n’est pas une menace directe dit l’imbécile, et il n’y a pas de responsable ce serait trop facile, « j’ai encore mon libre-arbitre », « je ne vois pourquoi… », « je sais ceci… » etc…
Les vigilants sont les pires menteurs parce qu’ils sont conscients de ce qu’ils taisent et du rétablissement de balance qu’ils pourraient accomplir s’ils parlaient. Leur fulgurance à percevoir les menaces à l’horizon ajoutée à leur haine extraordinaire des Blancs (cf certains textes traduits de l’hébreu à propos de « Edom ») les fait beugler des mensonges et taire les vérités. Voilà leur énorme responsabilité dans les drames qui se jouent actuellement en France.
En 2010 ils commencent à grommeler enfin un tout petit peu sur le racisme anti-blanc? Oh la belle escroquerie. Alors que la haine anti-blanc est le soubassement qui préside à toutes les constructions mentales et sociales depuis les années 80, et même depuis 1968, depuis 1962, depuis les fameuses « années 30″ (une époque méconnue ou la « haine » n’était pas toujours exactement du côté que l’on croit) et qu’ils le savent très bien. En quoi consiste leur autocritique sur ce sujet? Bredouiller rapidement comme Julien Dray ou comme Jakubowitz qu’ils « appartiennent à une génération qui s’est peut-être trompé sur le racisme »? Ecrire comme Goldnadel un livre de « réflexion sur la question blanche » pour dire en 200 pages et 22 euros des évidences que son sérail interdit à Monsieur Dubois de seulement chuchoter?  Allons allons messieurs les vigilants, ce qu’il faut faire vous le savez très bien. Il suffit en interne de vous passer le mot.
L’esclavage? Depuis combien d’années ils nous font chier les vigilants avec l’esclavage? Oubliant volontairement de dire que c’est précisément l’Eglise honnie qui a interdit cette pratique et ce commerce, y compris aux ancêtres omniscients dont les vigilants se réclament. Oubliant de dire que les cités pirates comme Alger ont vécu de ce commerce pendant des siècles, et idem les muslims et idem les Ashanti et autres tribus d’Afrique de l’ouest. Que l’une des premières « syna » des USA située à Newport Rhode Island s’est élevée dans un contexte plutôt étrange, qu’un certain Aaron Lopez qui a quand même fini par se faire choper (le bouc-émissaire qui cache la forêt) possédait du mot même de ses défenseurs « seulement » 20 bateaux d’esclaves, que les marins misérables opérants sur les slave ships étaient peut-être des souchiens blancs chrétiens mais que les armateurs de ces bateaux n’étaient pas exactement des sédévacantistes wallons etc…
Tous les sujets dangereux lorsqu’on les examine bien, apportent les mêmes surprises désagréables : qui et où sont les gens qui produisent la pornographie (cf ceci et les organigrammes des studios Evil AngelRedlightVivid…), qui et où sont les gens qui dirigent les grands trafics de drogue (cf les récentes affaires Elmaleh et Afflelou), quelles sont les raisons profondes de la persistance des « pompes aspirantes » de l’immigration de masse, qui finance et entretient les structures créatrices de ce climat malsain d’avortement, de divorce et d’infécondité, de chômage et de fiscalité délirante rebaptisé « crise » que personne n’arrive à s’expliquer?
« une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer »
D’autres sujets? Allez : le gender d’ou ça vient? Arnaquer les pauvres avec le microcrédit de Planet Finance ça en est où? Les pressions à l’oeuvre pour supprimer les noms de famille et transformer les patronymes de l’état-civil? Le mot d’ordre passé contre les dead white men qui n’est ni plus ni moins que la volonté de détruire sciemment une culture?
Allons messieurs les vigilants vos trompes renifleuses  n’auraient-elles donc pas détecté tous ces « relents nauséabonds »? Toute cette « montée de l’immonde »? Votre silence participerait-il sciemment d’un « assassinat de la mémoire » du peuple qui vous accueille avec tant de bonté? Où est passé votre « suivi attentif des questions de société » d’habitude si consciencieux, si vigilant?
La vérité: les vigilants SAVENT très bien et leur inaction est non seulement voulue mais complice.
Charles Péguy, que les vigilants aiment tant citer, a écrit ceci dans son livre sur Jeanne d’Arc: « Complice, complice, c’est autant dire auteur. Celui qui laisse faire est comme celui qui fait faire. C’est tout un. Ça va ensemble. Et celui qui laisse faire et celui qui fait faire ensemble, c’est comme celui qui fait, c’est autant que celui qui fait. »
 
L’absence de parti économiquement libéral
On a dit tout et n’importe quoi sur une « crise » qui secouerait le monde depuis environ 2008. Or si nous faisons marcher notre mémoire nous n’avons entendu parler QUE de « crise » depuis notre petite enfance. En 1991 c’était déjà la crise. En 1995 aussi. Tout le temps.
Mais concrètement de quelle crise s’agit-il? Au moindre rayon de soleil les terrasses de café ne sont-elles pas bondées de population très à même de payer 3,50€ un tout petit coca-cola? Cette abondance ne correspond en rien à la définition d’une crise. Les vêtements, les équipements électroniques des voitures, les supports média, les transports et cent autres industries proposent chaque jour toujours plus de nouveautés et d’améliorations. Tout le monde bouffe, boit, ronronne, jacasse autant qu’il veut. Non il n’y a pas de crise.
Ce qu’il y a c’est un boursouflement lent de l’État même aux Etats-unis et au Royaume-Uni, même à Singapour et à Hong Kong, même dans les pays de tradition économique libérale. La spoliation des revenus augmente partout de façon invisible, prenant différents masques: impôts, taxes (dont la fameuse arnaque de la taxe carbone, pratiquée une fois n’est pas coutume, par des gens intitulés « Sakoun » et « Azraa »), amendes, commissions, franchises, abonnements qui appauvrissent les gens honnêtes, font stagner les classes moyennes et monter aux dépens de ces derniers un inépuisable réservoir de sous-prolétariat immigré, rendant la vie impossible au jeune diplômé souchien. Le boursouflement de l’Etat est sans doute proportionnel à l’augmentation de la population et surtout à l’explosion de la part la plus parasitaire de la population (cas typique: la France). L’explication détaillée de cette tectonique des plaques se trouve chez Ayn Rand et chez tous les auteurs qui ont identifié la dualité radicale qui sépare les producteurs des parasites dans une société.
Il n’existe pas un seul parti politique pour dire une parole de bon sens à savoir ceci: «Votez pour moi et je ne gouvernerai pas, je supprimerai 75% des très coûteux conseils départementaux, régionaux, sénats et parlements, abolirai les taxes, les subventions et les dépenses et limiterai l’Etat aux strictes fonctions régaliennes, ainsi 20% d’impôts maximum suffiront à le financer. Pour tout le reste débrouillez vous avec le marché et menez votre vie sans l’Etat« . Voilà exactement le seul programme valable. Tout parti politique qui professe autre chose que 20% d’impôt signe une déclaration de foutage de gueule.
Or l’intégralité du paysage politique français de l’extrême gauche à l’extrême droite, des lobbys jusqu’aux plus infimes dissidents, des pro-trucs aux anti-machins, des diplômés d’ESC aux licenciés d’agriculture durable sont absolument tous d’accord sur au moins une chose: le poncif keynésien il-faut-re-dis-tri-buer. Ainsi il n’y aurait pas encore assez d’Etat dans nos vies. 75% d’impôts ce n’est pas assez il faut payer plus disent-ils tous en substance.
L’absence de parti économiquement libéral révèle la pauvreté des choix qui s’offrent à l’électeur. Il est très normal de ne se sentir représenté par aucun parti puisqu’ils disent tous à peu près la même chose sur le seul sujet qui légitime leur existence en tant que parti: l’argent des électeurs. Je ne sais plus quel auteur disait que si un élu parle d’autre chose que d’argent à la population c’est qu’il se fout du monde.
Le débat économique est rendu aussi pauvre et caricatural parce que les seuls (ou presque) qui militent pour des allègements fiscaux sont ceux qui y ont intérêt parce qu’ils ont de la thune. Or dans la pratique concrète il est dans l’intérêt d’un ouvrier en isolation dans le BTP de vivre dans une société économiquement libérale: perception d’un fixe + d’un pourcentage au mérite, primes défiscalisées, facilité à créer sa propre entreprise après quelques années d’expérience… Il en va de même avec le fameux « combat monarchiste »: c’est dans l’intérêt du petit peuple d’avoir un monarque héréditaire qui fait l’arbitre entre la droite et la gauche pour freiner la gabegie, les gaspillages et les haines civiles stupides, davantage que dans l’intérêt d’une noblesse lettrée.
Mais voilà tout est tordu: libéral = gros con de droite riche ; royco = vieil aristo « rendez-nous les bijoux ».
Dans un système économiquement libéral le parasitisme est puni de disette, l’immigration de masse acculée au travail honnête ou au retour au bled, l’honnête homme est facilité dans toutes ses entreprises, la société tend comme par miracle vers un assainissement moral général.
Qu’est-ce qu’un système économiquement libéral? C’est les impôts à 20% maximum pour payer les seules activités de police, justice et voirie. Tout le reste est du ressort de l’initiative privée, tout.
 
L’absence de travail d’enquête utile dans les grands médias
Si les journalistes d’investigation faisaient leur travail honnêtement ils emploieraient tous les moyens à leur disposition (comparaisons d’archives, infiltration, appels téléphoniques sous une fausse identité, film en caméra cachée….) pour faire connaître les scandales véritables que sont le gaspillage d’argent public dans des subventions absurdes et des arnaques mafieuses, le risque judiciaire zéro encouru par toutes sortes de racailles et de détraqués lorsqu’ils se font attraper, l’abîme du système scolaire et universitaire, les pistons communautaires qui prévalent systématiquement pour obtenir un emploi motivant, le prix des loyers pratiqués pour des logements misérables… Entre autre. Tout ce travail là n’est pas fait. Lorsqu’il est à peine effleuré c’est pour désigner comme responsable le Blanc seul, et identifié comme tel. La quintessence de cette lâcheté du journalisme d’investigation étant incarné le plus parfaitement par John-Paul Lepers.
 
L’absence d’initiative patriote
En Janvier de cette année un mini-scandale permettait de mettre à jour une fois encore la sieste des honnêtes gens. Avec le seul bluff de l’appel anonyme, les gens du site violvocal.com ont révélé publiquement le casier judiciaire de certains rappeurs connus en les demandant à des commissariats de police. Il suffisait d’y penser. Mais pourquoi ce n’est pas un putain de natio, de royco, ou simplement d’honnête patriote qui a des relais dans la police qui y a pensé avant?? Mais quel est le chloroforme que respire ce monde? Il suffisait d’y penser… Un tout petit peu de culot et de volonté. Le résultat est assez grandiose : qu’un petit enculé de racaille qui jouait l’insolent insulteur se retrouve brutalement marqué du sceau des crimes qu’il se gardait bien de confesser (attouchements sexuels sur mineure) c’est absolument formidable. C’est ça la Justice, c’est ça la vraie charité: relever les opprimés et abaisser les ordures.
Des centaines d’autres petites initiatives faciles attendent en sommeil qu’on les découvre. Elles attendent pour exister une bonne volonté gratuite et authentiquement charitable.
Quel soulagement lorsque les faits confirment l’intuition, quel rétablissement admirable, quel juste nettoyage que de pouvoir dire « La Fouine? Mais c’est un pointeur qui tripote des mineures! ». 
Allez une autre juste pour la forme, un petit « le saviez-vous? ». Saviez-vous que Martin Luther King avait pour hobby de donner rendez-vous à des prostituées pour les frapper et les fouetter? Mais ce n’est pas marqué dans sa fiche Wikipédia.
Si une bonne âme qui dispose des relais nécessaires voulait bien fouiller un tout petit peu dans la vie de Jacques Attali et de certaines idoles en forme de gargouille qui vivent sur le dos des Français (au hasard Benzema, Arcizet, Askolovitch, Sibony, Noiriel etc…) il exaucerait à lui seul des millions de prières, neutraliserait le salopard (illustration: Strauss-Kahn a cessé de pavoiser) et contribuerait selon la formule, à un monde meilleur. Occuper ce qui est absent, redresser ce qui est tordu, laver ce qui est souillé, réchauffer ce qui est froid…
 
L’absence de mouches sur les caricatures de racailles
Quelle tiédeur dans la lutte contre les racailles… Les racailles méritent une haine pure, totale, déchaînée, infatigable. Or ni Plantu ni aucun dessinateur mainstream ne s’y est attelé correctement mais en plus les rares qui s’y risquent le font avec une retenue très précautionneuse.
 
L’absence de « méchant » crédible dans les films 
Le « méchant » universellement accepté a le physique de Willem Dafoe. Un bon aryen bien typique à qui l’on fait froncer les sourcils et relever les babines. Mais dans la vie de tous les jours les méchants n’ont pas du tout cette tête là. Ils ont la tête de ce qu’ils sont. Leur aspect crépu, rêche, huileux, leurs airs canaille, babouin, cireux coïncident avec leurs oeuvres. Toute la vie vécue concrètement nous apprend qu’il faut se fier aux apparences.
Il faudrait un livre pour détailler l’évolution physique du personnage du gentil et du personnage du méchant dans les films pour grand public depuis les années 50. Le glissement est observable avec un acteur peu connu : Ryan Philippe. Son physique l’aurait désigné dans les années 50 pour des rôles à la James Dean. Or depuis le début de sa carrière il n’a eu que des rôles d’imbécile, de cocu grotesque, d’incapable.
Il faut mettre pour bien la voir, cette disparité en perspective avec les rôles toujours plus valorisants occupés au fur et à mesure de leur carrière par des acteurs comme Denzel Washington et surtout comme Danny Trejo et Don Cheadle qui représentent quand même, pardon, les caricatures physiques de l’égorgeur et du singe. Que de tels monstres puissent incarner le gars sympathique et victime de préjugés indus est très révélateur du « climat » actuel.

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