« On
ne saurait tolérer la parole raciste car celle-ci est une parole qui
exclut ».
Cimade,
Halde, Mrap, Cogip, ils y vont tous de ce couplet, de ces phrases
automatiques pour discours solennel, depuis Ruquier en robe du
dimanche au proviseur du collège Paul Eluard le lendemain du meurtre
d’Ibrahim Ali en 1995.
« Le
racisme est la lutte pour le vagin des jeunes femmes »
écrit quant à lui Houellebecq, et cette vérité immanente, nous le
croyons, se joue du débat public.
Dans
cette lutte, les Blancs adoptent généralement une attitude
cohérente avec leurs gènes récessifs : ils quittent la cité,
ils se barrent, ils se « referment sur eux-même ».
Instinct de conservation.
Les
non-Blancs eux, se déploient, investissent l’espace vide,
cherchent à déborder sur la couleur de l’autre. Des
« conquérants ? ». L’idée de conquérant
appellant davantage l’image d’un drakkar vent arrière que
celle d’un ferry subventionné, nous dirons qu’ils sont plutôt
des “Naturels” agissant de façon cohérente avec l’axiome « la
nature a horreur du vide ».
Pour
faire du Alain Soral, l’on dira que l’antiracisme des Blancs est
la condition objective pour que le racisme des non-Blancs puissent
s’exprimer efficacement. D’un côté les Blancs antiracistes
disent « il faut s’ouvrir se mélanger », de l’autre
côté les non-Blancs racistes disent « faut leur baiser leurs
meufs qui sont trop bonnes à ces fissdeput’ ». Leur racisme
à eux n’est pas une parole qui exclut mais une parole qui inclut,
ainsi leur racisme a vocation à rester parfaitement impuni.
Que
les WASP d’Amérique deviennent minoritaires presque en même temps
que l’élection de leur premier président non-Blanc n’aura
échappé à personne. Et l’on ne s’étalera pas sur « Obama
le métis ». Le personnage est la preuve vivante que le
métissage est une affaire de paternité et seulement de paternité.
Celle-ci donne l’apparence physique, le patronyme, et l’identité
ethnique de l’individu dans le monde. Bien qu’ayant été élevé
uniquement par sa famille blanche Barrack Hussein est poussé presque
instinctivement à s’affirmer comme Noir, chose qu’il explique
clairement dans son livre « Les rêves de mon père ».
D’autres
exemples ? Les cas de métis connus comme Marie N’diaye,
Booba, Dieudonné, Disiz la peste, Yannick Noah, Harlem Désir
enfoncent le clou : homme noir + femme blanche = enfant « à
fond pour les Noirs contre les Blancs». Simplification à deux
balles ? Peut être mais c’est ainsi, et l’identité d’un
enfant, tout comme celle d’une société, ne peut pas être
multiculturelle. Un choix se fait, un plébiscite que la nature
semble orienter systématiquement vers l’identité du père. Il
n’est pas un seul de ces glorieux métis pour montrer autre chose
envers la France terre et vagin d’accueil, qu’une forcenée
ingratitude elle-même recouverte de mauvaise foi « c’est
pas la France le problème c’est Sarkozy ».
Ils n’acceptent la francitude et la blancheur que si totalement
livrées sans défense à l’ethnie de leurs pères.
Alors
tu m’étonnes que quand les blédards débarquent chez les Blancs
ils font les yeux ronds. La magnifique aubaine !… Regarde
ça frère à
perte de vue des imbéciles tolérants, à perte de vue leurs femmes
les plus belles du monde les plus accomplies porteuses de santé…
et les nôtres en backup en cas de râteau, et voilées, réservées
pour nous. RIEN A PERDRE. Le déracinement, le mal du bled mon cul…
Le bled c’est pas l’Atlantide… Ca l’était peut être du
temps de Carthage et de Saint-Augustin, mais il y a eu quelques
invasions apporteuses de désert depuis. Sait-on les trésors
d’architecture qui recouvraient l’Algérie sous l’antiquité ?
Des colonnes grecques en marbre blancs comme des Parthénon du
Djurdjura… A croire si l’on adopte un point de vue
« macro-chronologique » que l’humanité s’enlaidit et
s’uniformise, se nivelle au diapason des phénotypes les plus
laids, des mentalités les moins innovantes, que « c’était
mieux avant » puisqu’il y a eu une déperdition du génie en
chemin. Difficile de croire à des lendemains meilleurs parfois.
C’est ça le problème, cette impression de déclin objectif,
couvert par toutes sortes de mensonges révoltants « s’ouvrir
aux nouveaux arrivants », le métissage comme alternative à la
consanguinité. Cette lecture imbécile. Plus c’est gros plus ça
passe le mensonge. Car rien de plus consanguin que les Africains chez
qui le mariage entre cousins est chose inhérente à la culture. Rien
de plus pauvre, de moins « diversifié » que ces gammes
chromatiques uniformes. A la lumière du visage d’une Emilie
Dequenne toute en nuances multicolores le mensonge paraît au grand
jour : ce sont eux qui ont besoin de nous pour ne pas sombrer
dans la consanguinité, pour « s’enrichir ». Ils en ont
besoin à peu près autant que la Chine a besoin de pétrole. Ce sont
eux qui sont uniformes, arriérés, fermés, qui sentent le renfermé,
qui en hoquètent de rage de cet encrottement. « Marine
viens chez nous c’est coloré c’est jovial »
s’écrie Diam’s sur un ton de Cruella velue et charmeuse. « Ce
temps est celui des substitutions : chaque chose est remplacée pas
son faux »
lui répond Drieu.
Blackblanbeur
c’est absurde. La société multiculturelle ne peut pas être
linéaire elle ne peut être qu’un processus dynamique.
Blackblanbeur c’est le temps qu’il reste avant Blackmétisbeur et
avant Blackbeur. Connaissez-vous l’histoire d’Haïti ? C’est
une leçon de l’histoire pour apprendre ce qui se passe lorsque les
Blancs perdent. Il s’est passé que les hommes blancs ont été
exterminés et leurs femmes violées mais laissées en vie. Sont nés
des métis. Par la suite ces métis ont développés des capacités
surprenantes par rapport aux Noirs qui eux constituaient la majorité
de la population. Les métis formaient alors la classe dominante. Les
métis ont tous été massacrés avant qu’Haïti ne rentre dans le
vingtième siècle.
Simplifions
outrageusement : Après le blanc il y a le gris et après le
noir il n’y a que le noir. Comme une bobine de film qui arrive en
fin de course et qui tourne à vide parce qu’elle a bouffé toute
la pellicule.
Certains
individus issus de peuples singuliers savent très bien de quoi je
veux parler. On fait de très intéressantes rencontres chez les
Serbes chez les Libanais et chez les Araméens, peuples spoliés s’il
en est. Pour avoir eu une copine serbe, des collègues de travail
libanais chrétiens et résider non loin d’un bar fréquenté par
des Araméens nous pouvons dire qu’à eux il est n’est pas
possible de faire le coup du « multiculturel » pour
justifier de les vampiriser. Ils savent que le métissage, que la
coexistence pacifique et toutes ces choses portent un autre nom.
Celui de « guerre des berceaux », même de « guerre
par le ventre » si l’on est un peu vicieux. Qu’il faut
engendrer pour exister dans le monde, à la manière de ces Hassidim
qui font des enfants pour Israël, de ces catholiques qui prient la
nuit entière de la naissance de leur premier fils, qu’il ne faut
pas déconner avec son mariage ce genre de choses…
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